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 Emission radio-Ici &Maintenant- Budd Hopkins- Marie-Thér

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MessageSujet: suite   Emission radio-Ici &Maintenant- Budd Hopkins- Marie-Thér EmptySam 11 Mar - 16:14

Marie-Thérèse de Brosses : Dans votre espèce de construction de ce monde fou des abductions, que faites-vous de ces témoignages qui se multiplient?


Budd Hopkins : Je ne sais vraiment pas quoi penser de ces cas. Je les enregistre, je les classe afin de voir si on peut distinguer une sorte de modèle à travers eux. Ce sont aussi des sortes de vacances par rapport aux cas habituels d'enlèvements où, cas après cas, on voit toujours la même chose se produire, mais je suis le premier à dire combien cela paraît fou.

Marie-Thérèse de Brosses : Nous allons revenir à une autre face de cette enquête que vous poursuivez. Il y a de plus en plus de cas de témoignages, de bonne foi, qui décrivent des êtres qui ne sont plus des aliens. En même temps, dans certains cas, comme le cas de Linda Cortile (un des cas les plus fous, vous avez d'ailleurs écrit un livre rien que sur ce cas, son histoire est hallucinante), on voit à un moment que Linda agit comme si elle était une alien. Donc il y a une sorte d'interprétation de la psychologie humaine par la psychologie alien. Qu'est-ce-que cela veut dire?

Budd Hopkins : L'incident auquel vous faites allusion est celui quand elle est sur la plage et qu'elle commence à accuser les gens de ne pas s'occupper de l'environnement en brandissant un poisson mort de manière accusatrice.


Marie-Thérèse de Brosses : Il faut tout d'abord dire à qui elle faisait ces reproches, pour ceux qui ne connaissent pas ce détail car c'est quand même très important.

Budd Hopkins : Ell montrait ce poisson à deux agents du gouvernement qui avaient été enlevés ainsi qu'à un personnage politique très important, enlevé lui aussi en même temps qu'eux. Donc, ce qu'elle exprimait là avait un sens par rapport aux personne à qui c'était destiné.

Marie-Thérèse de Brosses
: Une condamnation du pouvoir politique de la Terre qui gère mal le rapport avec l'environnement.

Budd Hopkins :Ce qu'elle a réalisé après l'incident, c'est que ce n'était pas sa voix à elle, ni sa facon de parler. Elle a dit "Dans la vie de tous les jours, je ne touche jamais au poisson, c'est le poissonier qui l'ouvre et le vide pour moi". Elle parlait de certains minéraux qui sont en fait impliqués dans des problèmes d'environnement et c'était des noms qu'elle ne connaissait même pas dans son état d'esprit habituel. C'est ce que j'appelle "la co-optation extraterrestre". Il semble que les aliens soient capables de prendre en charge quelqu'un d'autre. J'ai un certain nombre de cas où la même chose s'est produite, où la personne qui a été enlevée se retrouve à agir comme si elle était un alien. C'est simplement un autre aspect de cette capacité qu'ont les extraterrestres à contrôler les esprits.S'ils sont capables de faire croire à une petite fille dans une forêt qu'elle est en train de parler à un cerf, apparement, ils sont capables de faire prendre à une femme un poisson mort et le brandir en faisant un sermon sur les problèmes écologiques auxquels nous faisons face, alors que normalement elle déteste toucher le poisson.


Marie-Thérèse de Brosses
: C'est une piste que John Mack avait beaucoup abordé puisqu'il voyait des sujets qui disaient qu'ils avaient été aliens dans une autre vie et qui venaient se réincarner sur Terre. C'est comme s'il y avait parfois une interpénétration des deux natures.


Budd Hopkins : Je n'ai moi-même, jamais rencontré un cas dans lequel une personne pensait avoir été un alien dans une vie antérieure, mais le lavagge de cerveau extraterrestre fonctionne bien apparament. Cela ressemble un peu au syndrome de Stockholm dans lequel des gens qui ont été faits prisonniers s'identifient à leurs ravisseurs. Et c'est peut être ce qui se passe ici.

Marie-Thérèse de Brosses : Nous avons ces expériences de prélèvement de matériel génétique qui sont faits de facon tout à fait absurde puisqu'il suffirait pour avoir le génome humain entier, de prélever une fois pour toute un petit fragment d'ongle et de cheveu. Nous avons ces visions de foetus hybrides et nous avons en plus cette multiplication d'êtres hybrides.
Budd vous dites que vous n'hypnotisez jamais les enfants, en règle générale vous n'hypnotisez qu'à partir de l'âge de 18 ans. Vous avez quand même des cas d'enfants très jeunes qui vous racontent, spontanément, qu'ils sont enlevés, qu'ils se retrouvent dans de grandes pièces souvent d'apparence terrestre, confrontés à une multitude d'enfants qui ne sont pas comme eux, qui ne réagissent pas comme eux, qui les regardent. On demande à ces enfants de jouer, d'agir comme si ils devaient éduquer ces bébés ratés.

Budd Hopkins : Il me semble qu'un but éducatif soit poursuivit dans ces cas là, les aliens essaient d'obtenir que ces êtres qu'ils ont crèé réagissent comme des humains. Je crois que les extraterrestres sont jaloux de nous, je crois qu'ils réagissent a la manière dont nous aimons nos bébés. C'est comme si c'était quelque chose qui aurait disparu chez eux et qu'ils essaient d'obtenir de nous.

Marie-Thérèse de Brosses : C'est une hypothèse car on peut également imaginer qu'ils essaient d'imiter notre comportement pour ne pas pouvoir être différenciés de nous.


Budd Hopkins : Nous ne savons absolument pas pourquoi ils font cela et évidement, c'est une possibilité. Ils seraient en train d'apprendre la manière de pouvoir se fondre parmis nous, mais je n'ai pas beaucoup de preuves à ce sujet. Je crois qu'ils sont vraiment jaloux de nous, de notre énergie, de nos différences. nous avons en tant qu'êtres humains une spiritualité qu'ils semblent ne pas avoir. Beaucoup de gens ont décrit les Extraterrestres comme paraissants avoir une mentalité étant celle d'une ruche. Personne, lors des expériences, n'a dit qu'un alien paraissait avoir le sens de l'humour, ou qu'un autre paraissait plus gentil. Ce sont là de simples exemples, et c'est peut être parce que je suis un être humain que je pense que nous avons certaines choses qu'ils nous envient.

Marie-Thérèse de Brosses : D'ailleurs Budd, vous ne les aimez pas et vous êtes absolument furieux contre la théorie que soutiennent certains abductologues qui veulent que les aliens viennent ici pour nous faire évoluer, pour nous aider. C'est tout à fait l'opposé de ce que vous pensez.

Budd Hopkins : Après avoir travaillé pendant plus de 30 ans avec des gens qui ont vécu ces expériences, je vois tous les domages émotionnels qui ont été causés. Je n'ai rien vu parmis tout ce que j'ai examiné qui me suggérait qu'ils sont là pour nous aider. Mais je suis complètement conscient aussi que je n'ai rien vu non plus qui tendrait à suggérer qu'ils veulent nous faire du mal. Dans le cas de nos espérances religieuses de base, nous espérons qu'il y a Dieu et des anges, et nous avons peur qu'il y ait le diable et des mauvais démons. Il est donc très humain de prendre ces expériences et de les replacer dans le cadre des bons anges et des mauvais démons.
Je n'ai vu aucune preuve qu'ils veulent être considérés comme bons ou mauvais. Pour autant que je puisse juger, les domages émotionnels qu'ils causent ne sont pas délibérés. Nous utilisons le terme de "domages collatéraux", ce qui signifie, en temps de guerre, qu'on essaie de faire sauter une base radar et nous sommes absolument désolés d'avoir fait sauter un orphelinat à sa place. Ce n'était pas notre intention de faire sauter l'orphelinat. Les aliens ne semblent pas vouloir crèer délibérément des domages émotionnels, mais ils le font.

Marie-Thérèse de Brosses
: Est-ce que vous considerez que le phénomène est en train de s'éteindre, de continuer ou de se développer? Je parle en nombre j'entends.

Budd Hopkins : Il est très difficile de répondre à cette question , il y a, au fur et à mesure, plus de publicité faite autour de ce sujet, c'est peut-être la raison pour laquelle de plus en plus de gens se rendent compte de ce qui leur est arrivé et donc, racontent leur histoire.
Nous ne savons absolument pas s'il y a plus ou moins de cas d'enlèvements, mais il y a plus de gens qui paraissent accepter et donc, racontent.
J'ai fait une conférence en Angleterre et un sceptique a déclaré que les enlèvements sont un phénomène américain qui se repand en Angleterre à cause de la publicité américaine. Il a dit "vous n'entendrez jamais parler de cas d'enlèvements en Arabie Saoudite ou dans les pays d'Afrique". Je lui ai répondu que c'est parce que là-bas les gens ne savent absolument pas à qui rapporter ce genre d'expérience. Il n'y a probablement personne là-bas qui puisse essayer de les aider. Il insistait et disait que ce n'était pas du tout le cas. J'ai donc donné une deuxième conférence en Angleterre et je l'ai intitulée:"Il n'y a pas d'abus sur les enfants en Iran" et j'ai dit lors de cette conférence :Je mets au défi quiconque de me présenter ne serait-ce qu'un seul cas d'abus sur des enfants en Iran" et qu'apparament, cela ne doit arriver qu'en Amérique et en Angleterre puis qu'on n'en entend jamais parler pour l'Iran. Cela pour montrer qu'il est très difficile, simplement à partir de ce que nous entendons, de dire de quelle manière le phénomène est répandu.
Imaginez un instant qu'une enfant, en Arabie Saoudite, soit victime d'un enlèvement. La petite fille va raconter cela à sa mère et celle-ci va lui dire qu'en fait, elle a vu un Djinn donc elles doivent prier et lire le coran. L'enfant sait très bien que ce n'étaient pas des djinns, mais sa mère lui affirme le contraire. Donc, la lecon pour l'enfant est : Ne dit rien à ta mère, elle ne te croira pas. L'enfant grandit en ayant encore ce genre d'expériences et apprend en même temps qu'il n'y a personne à qui elle puisse raconter cela. Habituellement cette personne sera considérée comme bizarre, elle aura des problèmes d'estime de soi. Le gouvernement lui déclare que cela n'existe absolument pas. Les domages psychologiques viennent des aliens, mais aussi des humains et de sa propre famille. C'est là la desmontration montrant à quel point il est très difficile pour beaucoup de gens de parler de leurs expériences.

Marie-Thérèse de Brosses :Je vous donne un exemple: j'ai fait de l'éthnologie et une population m'a beaucoup intéressée parce qu'il y avait une grande croyance dans les djinns. Quand on a commencé à me parler des enlèvements par les djinns, j'ai simplement cherché à savoir comment ils se produisaient. J'ai retrouvé à peu près toutes les caractéristiques d'enlèvement rapporté par n'importe quel abducté dans un groupe de soutien aux USA ou en Angleterre. Ils appellent cela des "djinns" car c'est conforme à leur culture, mais c'est exactement la même chose. Débarrassez vous du contexte religieux, les sujets vivent l'expérience exactement de la même facon.

Budd Hopkins
: L'un des problènmes est qu'il y a un certain nombre de groupes de religions. Dans certains cas, il y a des rituels assez douloureux pour débarasser ces personnes de ces djinns, des esprits msléfiques ou d'êtres, quels qu'ils soient, qui sont percus comme "infestant" ces personnes. Donc, les exorcismes qui sont pratiqués peuvent blesser ces personnes également (psychologiquement, comme physiquement).
Donc, ce qu'on peut dire c'est que, peu importe le nom qu'on leur donne, les aliens causent de grands domages émotionels.


Marie-Thérèse de Brosses : Vous avez donc à peu près décimer leur programme, ce qu'ils veuulent faire...


Budd Hopkins : Quel est leur but ultime? Une fois de plus, on ne le sait pas. Nous n'avons aucune idée d'où viennent ces êtres, nous n'avons aucune idée de ce que leur but final peut être, nous n'avons aucune idée sur leur technologie, nous savons seulement ce qui semble arriver aux êtres humains qui tombent entre leurs mains. Nous comprenons les êtres humains, mais nous ne comprenons pas les aliens.

Marie-Thérèse de Brosses : Il y a un jeu de mot subtile en anglais qu'on ne peut rendre en fancais, le mot ALIEN qui définit ce qui est étranger, mais également étrange, pas seulement extraterrestre. Finalement, le mot ALIEN est peut-être meilleur que le terme ET pour parler de ces visiteurs
Est-ce-qu'on peut faire quelquechose pour leur résister? Une célèbre chercheuse américaine a écrit sur ce sujet. Est-ce-qu'il faut leur résister ou ne faut-il pas?

Budd Hopkins : : J'ai l'impression que la résistance n'est pas une option car lorsque vous êtes face à des êtres capables de vous paralyser, de vous immobiliser et contrôler, qu'est ce que cela peut vous apporter si vous avez une grenade dans la main? Je ne voudrais pas paraître violent, mais en fait, les cartes sont dans leurs mains.

Marie-Thérèse de Brosses : Nous devons donc nous résigner á être des cobayes alors?

Budd Hopkins : Ce qui se passe, c'est que nous avons amassé énormément d'informations sur les évènements qui arrivent lors des enlèvements. Et tout ce que nous pouvons faire, c'est de continuer à amasser ces faits et à discerner les modèles qu'il peut y avoir à leur travers.
D'après ce que je peux voir parmis tous les cas, en commencant par celui de Betty Hill, ce qui a été entregistré en 1961 s'est répété encore et encore. J'ai écrit 4 livres sur une période de 24 ans et je n'ai jamais eu besoin de revenir sur une partie d'un de mes livres et de dire que tel ou tel fait n'est plus valable aujourd'hui. Une partie de ce que nous connaissons se répète encore et encore, en fait, cela signifie que nous connaissons une partie de la vérité.

Marie-Thérèse de Brosses : Vous avez concentré votre travail sur le scénario "sexogénétique", mais il y a toute une partie de l'abduction qu'on trouve dans les anciens cas, qu'on ne retrouve plus maintenant comme les voyages galactiques, la visite du vaisseau, le discours du "capitaine". Il y a toute sorte de parties qui n'existent plus comme s'il ne restait finalement que l'enlèvement, l'examen médical et les processus génétiques.


Budd Hopkins : En fait, nous nous concentrons fortement sur les moments les plus forts comme l'examen médical, les procédures génétiques et que certains épisodes comme le voyage sur d'autres planètes ou la visite du vaisseau se font de plus en plus rares.

Marie-Thérèse de Brosses : J'aimerais savoir si la communauté des psy commence à s'ouvrir un peu plus ou si c'est toujours réservé à une tranche toujours aussi minuscule?

Budd Hopkins : Au cours des années, de plus en plus de psychiatres, psychologues et savants se sont intéressés d'une manière ou d'une autre à ces cas. Huit psychiatres sont déjà venus me trouver pour leur expériences d'enlèvements personnelles.

Marie-Thérèse de Brosses : Il ne reste plus qu'à espérer que d'ici 10 ans la communauté des psy en France en soit au même point que la communauté psy aux USA ,puisque les Etats-Unis semblent avoir 10 ans d'avance sur nous à ce sujet .
Merci beaucoup Budd d'être venu.


Un grand merci à "Maya" d'avoir retranscrit cette diffusionn radio !
(récupérée sur le Forum NOUSNESOMMESPASSEUL - Partenaire de La Centrale )
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MessageSujet: suite   Emission radio-Ici &Maintenant- Budd Hopkins- Marie-Thér EmptySam 11 Mar - 16:14

Marie-Thérèse de Brosses : Annie a fait une tentative de régression hypnotique. Qu'est-ce-que vous avez découvert?

Annie: J'ai découvert qu'en fait, c'était moi qui était attirée et comme j'étais inquiète, je me suis accrochée à François pour l'entrainer avec moi.
J'ai vu dans le ciel comme des tours Eiffel molles à trois pieds, cela faisait trois arcades et des petites qui étaient sous mon toit comme si c'était des branches d'étoiles. J'habite sous les toits, je voyais comme si c'était le vide derrière avec ces petites branches d'étoiles qui me regardaient, mais sans regard, ni visage. Je me suis sentie tout à coup attirée par le milieu du ventre, comme aspirée dans l'espace, vers le ciel, c'est à ce monment là que j'ai accroché François pour qu'il vienne avec moi.

Marie-Thérèse de Brosses : Et vous êtes partie tous les deux... Ce qui est intéressant sur les dessins que vous avez réalisé, ces petites tours eEiffel, comme vous les décrivez, on en voit une qui vient se loger carrément au dessus de votre ventre, vous êtes à l'horizontale, toute molle et sur le dessin, on voit que vous êtes aspirée, comme par une ventouse.
Il a fallu que ce soit l'hypnose qui vous rappelle ce scénario? Depuis que vous avez découvert cela sous hypnose, qu'est-ce-que cela vous a fait?

Annie: Après l'hypnose, j'avais vraiment l'illusion d'avoir rencontré des gens très doux, très bons et que j'étais dans un espace de chaleur et de bonheur parfait. Nous étions habillés avec des êtements de lin blanc, et ces petits bonshommes, qui avaient l'air de capucins un peu, nous regardaient, mais sans regard et se penchaient l'un vers l'autre pour communiquer. Ils s'approchaient de nous, mais ne nous faisaient rien, juste nous regarder. On était dans l'espace, entourés d'étoiles.

Marie-Thérèse de Brosses : On ne pas entrer dans ce cas trop en détail afin de profiter de la présence de Budd. Il faut savoir comment l'hypnose a été faite, si elle ne vous a pas infléchie dans une direction ou dans une autre. Ce qui est intéressant pour Budd, c'est qu'on voit une thématique un peu plus "new age" dans cette histoire d'enlèvement. Vous êtes vêtus de lin blanc, vous baignez dans une atmosphère d'amour. Ce qui m'amène à demander à Budd, vous ne trouvez pas que le dossier évolue et comment évolue-t-il?

Budd Hopkins :Je ne peux pas vraiment intervenir dans un cas comme celui-là car je ne peux questionner correctement les personnes et j'ai des difficultés à communiquer avec elles. Ces personnes me paraissent tout à fait honorables, elles ne paraissent pas essayer de rechercher de la publicité ou de l'attenttion. La manière dont une personne semble se souvenir de ce qui s'est passé peut être très différente de ce qui s'est réellement passé. Nous ne savons pas comment traiter cela, excepté avec une hypnose plus profonde. Mais les choses changent souvent en matière de souvenirs.

Dans un cas que j'ai étudié, une femme se souvenait d'avoir vu sa mère décédée qui était entrée dans sa chambre avec des extraterrestres.Sa mère lui avait dit qu'elle venait pour lui secouer un petit peu les puces, afin qu'elle mène une vie meilleure.Elle s'est souvenue que sa mère l'avait emmenée devant un miroir, lui disant de regarder son visage et ses pêchés, une sorte de souvenir religieux. Sous hypnose, la personne qu'elle pensait être sa mère était en fait un extraterrestre, et quand elle s'est retrouvée devant le miroir, toujours sous hypnose, elle a dit :"Mias ce n'est pas un miroir! C'est une fenêtre, et nous passons au travers!" Donc, finalement, toute l'histoire était différente, son souvenir était tel qu'elle voulait qu'il le soit.
Je ne dis pas que c'est le cas ici pour Annie et François, parce que je n'en sais rien, mais nous avons à être toujours très méfiants des souvenirs conscients parce que les extraterrestres sont capables d'introduire des images dans nos esprits.
Dans un des premiers cas que j'ai traité, une jeune femme se souvenait avoir vu un cerf avec de très beaux yeux sombres. Sous hypnose, il s'est transformé en Gris.
La seule chose qui soit aussi trompeuse que les extraterrestres, c'est certainement le gouvernement et la manière dont il traite ce problème. Ne croyez jamais ce que vous dit un officiel du gouvernement sur ce sujet et ne croyez jamais ce que vous dit un alien au sujet de ses intentions, le plus sûr est d'être légèrement cynique.

Il y a des ressemblances dans le cas sur lequel nous venons de discuter ici avec des cas que j'ai étudié les années précédentes. Comme le cas d'une femme au Texas. Elle était chez elle et a ressentit le besoin de rouler avec son camion, elle n'avait aucune idée pourquoi, elle devait conduire. Elle a laissé ses enfants chez ses parents, elle a roulé durant des heures sans savoir où elle allait. La nuit est tombée, elle s'est arrêtée sur le côté et s'est endormie dans son camion. Elle s'est réveillée le matin, le soleil brillait et un fermier était en train de frapper à la vitre de son camion. Il lui a demandé si elle se sentait bien, elle a répondu que oui, qu'elle s'était tout simplement endormie et le fermier lui a répondu :"Mais quand je suis passé hier matin devant votre camion, il n'y avait personne dedans!". Cette femme avait perdu une journée entière, ses parents, inquiets de ne pas la voir rentrer avaient alerté la police. Pour elle c'était simplement le matin suivant.

Marie-Thérèse de Brosses : Avant, nous avions des histoires bien classiques, un peu toujours les mêmes, des gens enlevés par des aliens, généralement, des petits Gris. Mais il commence à se manifester sur Terre des présences assez bizarres. Budd parle carrément d'êtres transgéniques. Il faut savoir que dans le dossier des elèvements, classiquement, les aliens prélèvent du sperme et des ovules. Les enlevés, quand ils se retrouvent à bord du vaisseau, voient des conteneurs dans lesquels flottent des foétus dans du liquide, ils voient des enfants assez monstrueux, ni tout à fait humains, ni tout à fait aliens, qui sont pâlichons, maigrichons, le poil rare, des grandes têtes et les malheureuses enlevées sont obligées de les materner, de les tenir dans leur bras. Au début, elles les trouvent repoussants, quelquefois, elles sont persuadées que ce sont leurs enfants. Dans d'autres cas, elles vont raconter qu'elles ont senti, confrontées à ses enfants, qu'ils détiennent toute la sagesse du monde et qu'ils ont un savoir absolument incroyable.Le dossier est quand même assez lourd. Seulement maintenant, il semblerait que c'est sur Terre que les gens sont confrontés à des êtres étranges. Un des autres grand ténor de la recherche sur les abductions, le Dr David Jacobs, est sur de connaître le schéma, la volonté des aliens qui sont en train de mener une gigantesque expérience d'hybridation et cette expérience va se faire à plusieurs niveaux. Ces hybrides vont être mariés de facon génétique à d'autres humains et vont, peu à peu, nous remplacer. Voilà le scénario du Dr Jacobs. J'aimerais savoir quel est le scénario de Budd Hopkins ? Pourquoi toutes ces possibles expériences génétiques et surtout que sont ces êtres que vous sujets disent avoir rencontré?

Budd Hopkins : Mon sentiment personnel est que les aliens sont surtout intéressés à crèer des êtres hybrides, en partie humains et en partie aliens. C'est un intérêt pour la reproduction et non pour la sexualité. Dans le premier cas dont nous avons entendu parler, celui de Betty Hill, une aiguille a été introduite dans son nombril, Ils lui ont dit que c'était un test de grossesse, quoi que cela signifie et ils avaient prélevé un échantillon de sperme sur son mari Barney. Donc, dès le premier cas de ce phénomène, tel que nous le connaissons, il semble donc qu'il y ait eu un intérêt pour la reproduction, ce qui nous amène aux hybrides. Annie, qui est ici présente, lorsqu'elle a décrit son ventre qui lui paraissait gonflé, se trouve dans une situation dont nous avons déjà entendu parler par ailleurs. Cela est déjà apparu dans certains rapports d'enlèvements, cette sorte d'impression d'être gonflé, mais en tout cas, dans tous les cas que je connais, il n'y en a eu aucun dans lequel une sorte d'appareil aspirateur se trouvait au dessus de la victime pour l'attirer. Mon sentiment est que cette impression d'avoir une marque intérieure et d'avoir été "gonflé" est lié à quelque chose concernant la reproduction, et non pas au fait d'être attiré vers l'extérieur, de s'élever dans les airs. Il semble qu'il y ait un certain nombre de preuves indiquant que les aliens, quels qu'ils soient, sont en fait intéressés par les émotions. ils paraîssent être émotionnellement complètement neutres et paraîssent extrêmement intéressés par la manière dont nous, les humains, réagissons à certaines situations.

Marie-Thérèse de Brosses : Je vous coupe Budd, car cela est une partie du dossier qu'on commence à connaître un peu, avec ces expériences atroces auxquelles ont été soumis des abductés, où on les oblige à faire un choix, par exemple de devoir torturer quelqu'un de proche, qui, au dernier moment va s'avérer être un alien, juste pour savoir comment il va agir: Est-ce-que je vais lui faire du mal parce qu'on me l'ordonne? Est-ce-que ca va me broyer de faire du mal?
On sait qu'ils étudient nos sentiments et nos réactions.
Mais vous, vous allez plus loin. Vous avez l'air de dire que ces manipulations génétiques, ces expériences d'hybridation faites par les aliens tentent à mettre au point une nouvelle race avec des gènes différents, une race qui va être lâchée sur Terre, ou plutôt, qui est lâchée sur Terre, car vous avez beaucoup de témoignages de gens qui ont rencontré ces êtres qui ne sont pas tout à fait normaux. Evidement, c'est une hypothèse de votre part, mais dans le futur, ces êtres seront débarrassés des gènes dont ils n'ont plus besoin pour la vie sur Terre et épurer cette nouvelle race, qui a quand même une partie de nous dans son patrimoine génétique, et nous serons évincés au profit de cette race transgénétique. Vous avez rencontré des personnes qui ont été confrontées à des êtres bizarres. Pouvez-vous nous raconter quelques expériences?


Budd Hopkins :La première chose que nous devons dire, c'est que nous ne savons pas ce qui arrivera finalement. Est-ce-que leur but est d'infiltrer la société et de prendre le pouvoir? Est-ce-que leur but est de s'enrichir eux-même en s'appropriant certaines des richesses de l'esprit humain et ensuite de partir et peupler un autre endroit? Il peut y avoir encore beaucoup d'autres possibilités, En fait, nous ne savons absolument pas ce qui peut arriver.
Dans plusieurs cas, il semble que les êtres hybrides aient les capacités des aliens, ils paraissent capables de paraître humains et d'être acceptables parmis nous.
Dans un cas, une femme qui avait une invitée chez elle pour la nuit, toutes deux des enlevées, s'est trouvée, ainsi que son invitée, réveillée en pleine nuit, la pièce était remplie de lumière et un être hybride se temait là, debout. L'hotesse le connaissait depuis son enfance (il pouvait apparament entrer dans son appartement en passant par un mur ou une fenêtre fermée, il était capable de provoquer sa paralysie par l'action de son esprit mais il pouvait aussi aller dans un restaurant et commander un repas!). Ce qui est arrivé à la suite de l'apparition de cet hybride est que les aliens sont arrivés à travers le mur et il a escorté les deux femmes, en accompagnant les extraterrestres dans le vaisseau.
Elles ont, un peu plus tard et séparément fait chacune des dessins de cet homme. Un des dessins était particulièrement terrifiant, l'autre, assez grossier, mais les deux étaient identiques dans leur représentation. Des membres de la famille de la première femme se sont souvenus aussi d'avoir également vu cet homme au cours des années. Apparement, il ne prenait pas d'âge. Je sais que ca paraît complètement fou, mais nous avons de nombreux cas avec ces êtres hybrides qui ont les capacités des aliens.

Marie-Thérèse de Brosses : Et qui jouent un peu le rôle d'ambassadeurs des extraterrestres, qui lweur facilite les choses.


Budd Hopkins : (Budd hopkins rapporte le cas de Terry qu'il a raconté lors de sa conférence à Chalons, et il ajoute...) Il semble qu'il y ait eu un contrôle sur Terry, sur sa mère, et un contrôle de son comportement en général. Ceci est un cas parmis trois autres similaires qui impliquent de faux entretiens de travail. il est très difficile de savoir ce que cela peut signifier.

Marie-Thérèse de Brosses : Il y a des cas où les gens ont à faire à des êtres pas tout à fait achevés qui ne sont pas capables de parler normalement et de se comporter normalement. Quelquefois, pour parler vulgairement, ils se plantent carrément dans leur facon de s'habiller. Je sais que vous avez évoqué un trio d'êtres qui étaient habillés commes des clowns dans un restaurant, comme s'ils avaient cherché à attirer l'attention. Ce qui est intéressant à la lecture de votre dernier livre, vous parlezz d'une histoire très curieuse de deux amis roulant sur une autoroute, qui dépassent un petit vieux à bicyclette (alors qu'il est totalement exclu qu'un cycliste s'aventure sur l'autoroute aux USA). Les deux amis trouvent cela excessivement étrange, d'autant que le personnage sur sa bicyclette portait un chapeau haute forme. Ils continuent leur route et, plusieurs miles plus loin, ils dépassent à nouveau exactement le même petit vieux sur sa bicyclette.
En lisant cet épisode (c'est le genre d'histoire que je n'ose pas publier, mais j'en ai quand même pas mal dans mes dossiers). Je traduis un jour ce passage de votre livre à une amie parisienne et à sa famille qui ne parlent pas anglais. Elle est excessivement médium, mais pas mythomane, très sérieuse. Et je les vois tous ouvrir de grands yeux tous ronds, et voici ce qu'elle me raconte: "Un jour, je prends le métro pour aller voir mes parents qui habitent dans le 14ème, je monte dans le métro et je vois un couple incroyable, vêtu comme des comédiens de cirque. J'ai une impression très désagréable, je ne sais pas pourquoi. Je descends au métro République, je prends la correspondance, et dans le wagon, ce couple de faux comédiens était à nouveau là. Je suis très mal à l'aise car il est impossible qu'ils aient pu monter dans le métro avant moi. Et lorsque je sors de la station de métro près de chez mes parents, le couple était à l'extérieur et il m'attendait." Elle a tellement été traumatisée par cette expérience qu'elle avait mis sa famille au courant en racontant à chaud ce qui venait de se passer.

Budd Hopkins : Cette histoire dans le métro avec ces comédiens de cirque est absolument fascinante et une chose qui est pratiquement sure, ils voulaient qu'elle les voit et qu'elle se souvienne d'eux. C'est un peu comme s'ils voulaient dire :"regarde comme je suis étrange, souviens toi de moi!". Et il est quasiment impossible de comprendre pourquoi ils agissent ainsi.
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MessageSujet: Emission radio-Ici &Maintenant- Budd Hopkins- Marie-Thér   Emission radio-Ici &Maintenant- Budd Hopkins- Marie-Thér EmptySam 11 Mar - 16:12

Marie-Thérèse de Brosses :
Bonsoir. Je suis particulièrement ravie d'acceuillir ici Budd Hopkins qui, il faut le dire, et vous le savez sans doute, est un véritable pionnier dans le domaine de la recherche sur les abductions. C'est l'homme qui a complètement initié la recherche du dossier, déjà dans les années 75, donc, vous voyez, ce n'est pas tout jeune. Et contrairement à ce que disent des gens qui ne sont pas très bien informés, c'est à Budd que revient le grand mérite d'avoir amené, d'avoir intéressé à ce dossier non pas seulement des ufologues, des chercheurs et des allumés, mais des gens de poids dans le domaine de la psychiatrie. Il ne faut pas oublier que si jamais John E. Mack a eu la curiosité de se plonger dans ce dossier c'est parce que Budd Hopkins lui parlait de ses sujets. Au début, le défunt Dr Mack lui disait :"Mais ce n'est pas possible, ce sont des phénomènes psychiatriques, moi, en tant qu'expert, je peux vous dire que cela n'a rien de sérieux!" Budd a insisté et a litéralement traîné John Mack devant certains cas d'abduction et c'est comme cela que Mack s'est intéressé au dossier. Ce ne sont pas les travaux de John Mack qui ont mis en évidence le côté psychologique et psychiatrique du dossier, ce sont les expériences que Budd a faites, notamment avec une psychologue américaine, Elisabeth Slater. Tout le mérite revient à Budd. Bon, je ne vais pas lui tresser des couronnes pendant 100 ans, vous connaissez toute l'estime profonde, en dehors de l'amitié, que j'ai pour ce personnage qui, entre parenthèse, a eu le courage de sacrifier à sa passion pour les enlèvements une grande carrière de peintre. Parce que Budd est un grand artiste et ses toiles sont exposées dans les plus grands musées américains. Budd aurait pu continuer, faire une carrière éblouissante et gagner énormément d'argent. Il a préféré, courageusement, se plonger dans ce marécage incroyable dont il essaie peu à peu de débroussailler les fils et cela dit, sans jamais aucun esprit de lucre et avec, ca je peux l'attester car je l'ai souvent vu travailler, une chaleur, une gentillesse et une profonde ampathie de la détresse des abduqués qui viennent se réfugier chez lui et qui ne savent pas comment prendre ce qui leur arrive.

Alors Budd, hello, please to see you!

Budd Hopkins : Please to see you, very much!

Marie-Thérèse de Brosses : Vous revenez d'un congrès en Italie, est-ce que vous avez eu des révélations?

Budd Hopkins
: La conférence s'est très bien passée, il n'y a pas eu de nouveaux cas d'abduction qui sont apparus là-bas, mais la conférence en elle même a été très intéressante.

Marie-Thérèse de Brosses : Tout le monde connait le dossier des enlèvements. Moi je considère que c'est un dossier qu'on connait de plus en plus mal parce qu'il est totalement pollué par internet. C'est à dire que les gens se contentent de surfer sur le net, de lire des informations, de ne pas les vérifier, de continuer à les propager. Et il y a plus grâve encore, des amateurs se piquent de faire de l'hypnose. Alors, avant tout, je voudrais demander à Budd lorsqu'on est abducté, est-ce qu'il est nécessaire de passer par l'hypnose?

Budd Hopkins
: Beaucoup de gens se souviennent de leur abduction sans hypnose et la plupart se souviennent d'une partie d'elle sans hypnose. L'hypnose a prouvé qu'elle est extrêmement utile.

Marie-Thérèse de Brosses : Mais est-ce qu'il faut sytématiquement hypnotiser quelqu'un ? Car vous avez l'air de dire que vous n'hypnotisez que quand les gens sont en cas de détresse, qu'ils vivent mal leur aventure.

Budd Hopkins : Les gens avec lesquels je travaille, ceux sur qui je pratique l'hypnose sont essentiellement des gens qui semblent souffrir de problèmes émotionnels qui sont le produit de leur abduction. Si la vie de quelqu'un est très heureuse, qu'il dorme bien la nuit, qu'il ait une bonne relation amoureuse et un travail, je lui dis habituellement qu'il n'a pas besoin de s'ennuyer avec cela.

Marie-Thérèse de Brosses : C'est ce que je voulais vous entendre dire mais je voulais que vous le précisiez bien. Avant d'entrer dans les domaines très pointus que Budd aborde maintenant, je voudrais justement lui présenter un couple qui fait partie de ces gens qui ont vécu des expériences d'enlèvement mais qui les vivent bien et ne sont pas traumatisés. Comme les gens sérieux qui ne cherchent pas la publicité, nous allons les présenter simplement de leur prénom, ils ne veulent pas être connus. Il s'agit donc de Annie qui est décoratrice, et de son compagnon François qui est un homme très sérieux puisqu'il est physicien. Je vais vous demander, puisque vous avez la chance d'être devant Budd, de raconter non pas toutes vos aventures puisque vous avez vécu pas mal de choses : François a commencé très jeune à voir des êtres, il a fait des observations OVNI dont une, curieusement qu'il a mal vécu, il a eu très peur, alors qu'il était adulte.
Un jour où il était avec quelques collègues physiciens comme lui, ils dinaient ensemble, lorsque François, un peu plus tard dans la soirée a voulu parler des ses observations OVNI, il a vu la tête de ses collègues litéralement se décomposer, on le regardait avec mépris et il s'est juré que plus jamais il ne reparlerais de cela. Heureusement, ce soir, il accepte sous l'anonymat de nous raconter.

Je voudrais François et Annie, que vous racontiez l'expérience que vous avez vécue et pour laquelle je vous ai fait rencontrer Budd.

François : Cette dernière expérience en fait, c'est un trou noir d'une journée, c'ètait au cours d'un weekend, nous nous sommes réveillés le lundi matin sur un coup de fil de quelqu'un qui appelait Annie pour le travail. Nous lui avons fait remarquer quand même que ce n'était pas bien de déranger les gens un dimanche matin. Il a fallu que la personne au téléphone insiste lourdement pour nous faire comprendre que ce n'était pas le dimanche, mais le lundi. Et là, vraiment, nous sommes tombés tous deux des nues.

Marie-Thérèse de Brosses : L'un comme l'autre vous étiez persuadés que vous étiez dimanche matin?

François : Persuadés d'être dimanche matin, en train de faire une bonne grasse matinée comme tout le monde. On est allé cherché la dâte sur l'ordinateur et c'était bien le lundi.. Nous avons cherché par tous les moyens à retrouver ce jour qui nous manquait, on se disait :"Ce n'est pas possible, on a du oublier quelque chose!" Perdre un jour de la semaine est très mal vécu, surtout pour une personne assez pragmatique. Donc, nous avons essayé par plusieurs méthodes de retrouver ce qui s'ètait passé.

Marie-Thérèse de Brosses : Je vais laisser Budd maintenant vous poser quelques questions

Budd Hopkins : Est-ce-que vous vivez dans une région où il y a des observations d'OVNIs?

Annie: Je suis de la région de Pontoise et il y a pas mal d'OVNI d'observés, c'est vrai.

Marie-Thérèse de Brosses : Ca c'est incroyable parce que nous avons beaucoup d'observations OVNI dans la région de Pontoise, une des plus belle affaire celle de Aravilliers qui n'est pas très loin de Pontoise. C'est une sorte de nid d'OVNIs.

Budd Hopkins :Est-ce-que par hasard, un voisin aurait vu un rayon de lumière?

François :Nous n'en avons parlé à personne

Budd Hopkins : Est-ce-que vous avez remarqué quelque chose de spécial sur vous?

Annie: Le lundi matin justement, après le coup de téléphone, j'étais mal parce que je sentais comme une pression sur le ventre

Marie-Thérèse de Brosses : Est-ce-qu'il y avait une marque visible sur le ventre?

Annie: Non, j'avais l'impression d'avoir le ventre marqué intérieurement.

Budd Hopkins : Est-ce-que vous avez eu inhabituellement faim ou soif?

Annie : Non, il ne me semble pas...

Budd Hopkins : Est-ce-que dans les jours suivants vous avez quelques souvenirs qui sont revenus?

Annie: Dans les jours suivants, j'avais juste toujours cette impression de vide, mais il a fallu que je passe par autre chose pour pouvoir avoir des souvenirs. J'avais besoin d'avoir ces souvenirs, de savoir ce qui s'était passé...

Marie-Thérèse de Brosses : Et vous François, est-ce-que vous aviez des souvenirs?

François : En ce qui me concerne, c'était un trou noir, j'étais surtout paralysé par le fait que pour moi, perdre une journée était inadmissible. Donc, j'ai voulu à tout prix comprendre ce qu'on avait fait. Nous avons par plusieurs méthodes, que ce soit par les courses qu'on avait faites, que ce soit rechercher ce qu'on avait mangé tel jour, le midi et le soir, pour découvrir finalement qu'il nous manquait effectivement un jour, mais qui n'était pas le dimanche comme nous le croyions, mais le samedi.

Budd Hopkins : Est-ce-que vous avez remarqué quelque chose de différent dans vos habits, ceux que vous portiez pour la nuit ou ceux que vous avez mis par la suite?

François Non, pour ma part, non...

Annie: Je n'en portais pas pendant la nuit, donc, je n'ai vu aucun changement.

François Nous étions tout à fait normaux en apparence, si ce n'est ce grand trouble par une journée qui nous manquait et qui nous manque toujours.

Annie: Et quand même cette douleur au ventre qui était étrange, qui était sur tout le ventre, pas vraiment une douleur. mais une sensation qui me dérangeait, qui n'était pas une douleur habituelle.

Budd Hopkins :Est-ce-que vous avez des enfants?

Annie: Oui, deux

François :Pour ma part, un, puisque nous sommes compagnons, mais nous n'avons pas d'enfants ensemble. Ils ne vivent pas avec nous car ils sont assez grands aujourd'hui.

Budd Hopkins : Quand vos enfants étaient petits, est-ce-qu'ils ont rapporté des expériences bizarres qu'ils auraient vécu?

François: Non, mon fils ne m'a jamais rien rapporté de tel, par contre moi, j'ai eu une expérience bizarre quand j'avais 6 ans. J'étais en Haute-Savoie et je jouais à un jeu de cache-cache dans une partie de forêt qui voisinnait la maison de mes parents. Au moment où j'allais me cacher, je me suis retrouvé dans une clairière nez à nez avec un être qui pour moi faisait à peu près 3 mètres de haut, qui n'avait pas de forme définie, qui lévitait en quelque sorte au dessus du sol. et qui me communiquait quelque chose. Je n'ai jamais su quoi, je n'ai pas été troublé, je trouvais cela habituel, peut être était-ce du à mon âge. Je sais qu'il m'a été dit quelque chose mais je n'en ai malheureusement pas le moindre souvenir. Cela m'a paru assez long et pourtant, je pense que cela n'a guère duré plus d'une ou deux minutes puisque j'ai rejoint aussitôt mes petits camarades pour continuer à jouer.

Marie-Thérèse de Brosses : Outre cette expérience, vous en avez eu d'autres Quant à Annie, elle a également eu un certain nombre d'expériences et votre rencontre est marquée par le sceau de l'étrange. J'explique brièvement:
Annie avait des visites, ce qu'on appelle en psychologie classique un compagnon imaginaire.Ce personnage était toujours vêtu d'un gilet bordeaux et d'une chemise blanche à jabot. Au fil des années, ce compagnon continuait à se manifester, il vieillissait et alors, curieusement, alors qu'il portait un costume du 18ème, il avait une coiffure moderne. Et lorsque vous avez rencontré François pour la première fois, Annie, vous avez reconnu le visage de votre visiteur.

Annie : Oui, je lui ai dit qu'il était mon fantôme, le fantôme que je voyais régulièrement, en costume 18ème, assis sur mon lit la nuit, qui me protégeait en fait.

Marie-Thérèse de Brosses :Et qui vous faisait la tête quand vous étiez au lit avec un autre...

Annie : Exactement, il n'acceptait pas les autres compagnies.

François : Et ce qui est curieux, c'est que quand j'étais jeune, je m'imaginais toujours, quand je faisais des rêves, avec une chemise blanche à jabot. Et quand elle m'a effectivement expliqué ce qui lui était arrivé, je lui ai répondu :"Ce n'est pas possible! Tu me racontes des bobards!"

Marie-Thérèse de Brosses :Finalement, votre histoire d'amour s'est bâtie sur cette reconnaissance de visite non acceptable pour la psychologie classique...

François :Ce n'est pas ce qui nous a permis d'aller plus loin, mais c'est un sujet qui nous a permis effectivement de comprendre qu'on avait vécu l'un comme l'autre des choses particulières et qu'on pouvait donc en parler ensemble, ce qui, en règle générale, est quasiment impossible car la plupart des gens se moquent de vous dès que vous avez une idée particulière.

Marie-Thérèse de Brosses : Budd, nous retrouvons là la thématique des "Dream mates" qui vous est familière

Budd Hopkins :C'est vraiment très intéressant, j'aurais encore une ou deux questions...
Est-ce-que vous avez eu l'un comme l'autre, des problèmes inhabituels de santé?

François :Non, rien de particulier

Annie: Non, je ne pense pas

Budd Hopkins :Avez-vous eu des problèmes de grossesse? Des grossesses quii se sont mal déroulées, interrompues, qui n'aurait pas aboutit comme vous l'auriez voulu?

Annie: Non, pas de problèmes particuliers.

Budd Hopkins : Bien souvent, les gens développent des peurs, des phobies particulières. Est-ce-que vous avez remarqué cela depuis votre aventure? Avez vous peur des arraignées, de prendre l'avion, est-ce-que vous avez le vertige par exemple?

Annie: Non, aucune phobie

François :Moi non plus. Mon problème est surtout pragmatique, j'aimerais bien comprendre.

Budd Hopkins :Ce qui est particulièrement intéressant, c'est que cela vous est arrivé à vous deux

Marie-Thérèse de Brosses :Vous connaissez d'autres cas comme cela, où des gens ont disparu à plusieurs? Et plus longtemps que deux heures?

Budd Hopkins : Oui, je connais un certain nombre de cas comme cela où plusieurs personnes ont disparu

Marie-Thérèse de Brosses : Qui peut vérifier s'ils ont bien disparu? Ce qui m'intéresse dans le cas d'Annie et François c'est que leur famille a essayé de les joindre au téléphone et qu'il était impossible d'entrer en contact avec eux.

Budd Hopkins :On leur a téléphoné et ils ne répondaient pas... C'est la meilleure preuve qu'il leur est bien arrivé quelque chose durant 24 heures.
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