Comment expliquer, par exemple, les vitrifications des dalles géantes de Baalbek, au Liban ?
Un professeur russe (Agrest) affirme, pour sa part, que cette vitrification est due au fait que cette terrasse servait de point de décollage à des navires interplanétaires mus par l’énergie atomique.
Et quel cerveau a construit, conçu ces accumulateurs trouvés à Bagdad et datés de 4000 ans ?
Et qui a pu façonner ce petit objet en forme de cloche, fait d’un métal ressemblant au zinc mais sonnant comme un alliage d’argent, découvert en 1851 au cœur d’une roche vieille de plusieurs millions d’années ?
De même la découverte en 1885 en Allemagne, dans une mine de charbon, d’un cube de 785 grammes de 67 mm sur 47 mm, composé d’acier dur au nickel et carbone, parcouru par une rainure profonde sur son pourtour.
Les savants de l’époque, et encore ceux de 2007, qui ont examiné le « Cube de Gurit » ont finalement conclu à sa fabrication artificielle. Comment alors a-t-il pu se trouver inclus dans une couche datant du tertiaire ?
Mais revenons à nos O.V.N.I. Depuis des temps immémoriaux, en Irlande, en Ecosse, au Tibet, dans les îles du Pacifiques, dans toutes les religions, toutes les légendes, on signale la présence d’objets et de personnes venus du ciel.
Les indiens de Californie décrivent des personnages lumineux, qui paralysent avec un petit tube. On se croirait transporter en pleine science-fiction ! La mythologie celte évoque, elle aussi le voyage dans l’espace. Le dieu de Corbridge en est la représentation. Le Moyen Age n’échappe pas à la règle. On verra l’apparition de nombreux chars volants et de créatures aux vêtements de lumière.
Le 13 août 1491, Facius, père du Mathématicien italien, Jérôme Cardan, note et décrit sa rencontre avec sept hommes « venus d’un autre monde »
En avril 1661, on mentionnera la venue d’un « étrange objet » dans le ciel de Nuremberg. Au XVI e siècle, le ciel de la Suisse est brusquement envahi par une multitude d’engins volants de toutes formes. La terreur s’empare d’ailleurs des populations témoins de cette intrusion inexpliquée.
Claude Burkel