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 Rencontres rapprochées avec êtres non-identifiés divers pays

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sumer

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MessageSujet: Rencontres rapprochées avec êtres non-identifiés divers pays   Rencontres rapprochées avec êtres non-identifiés divers pays EmptyVen 30 Juin - 16:58

J'ai trouvé un lien web d'une dénommée : Godelieve Van Overmeire qui recense divers témoignages sur les rencontres plus rapprochées avec êtres non-identifiés (1996-1998) de par le monde. Certains parmi eux proviennent de pays moins industrialisés.

Pour voir qui est Godelieve Van Overmeire : http://users.skynet.be/sky84985/index.html


1996, 20 janvier
BRESIL, Jardim Andere (Varginha)

La rencontre la plus spectaculaire eut lieu au Brésil à Jardim Andere, faubourg de la ville de Varginha. Le samedi 20 janvier 1996, les pompiers de Varginha furent appelés à 8 heures du matin, parce qu'une créature mystérieuse se trouvait dans le parc. Les pompiers sont habitués à devoir évacuer des animaux sauvages sortis des forêts et perdus jusque dans les faubourgs. Ils allaient sur place avec une cage et abasourdis virent une créature comme ils n'en avaient encore jamais vue. Elle mesurait environ 1,20m, avait des yeux rouge-sang, la peau olivâtre, trois longues bosses sur la tête et faisait un bruit bourdonnant. Quatre pompiers l'attrapèrent avec quelque difficulté, appelèrent l'armée et interdirent l'accès au parc. La créature fut chargée dans une caisse en bois et un camion de l'armée l'emporta. Ce même jour, à 15 h 30, trois jeunes filles s'en revenant de leur travail, virent une créature bizarre contre la façade d'une maison. Croyant avoir vu le diable elles s'enfuirent en hurlant. Dans les minutes suivantes des dizaines de gens s'attroupaient dans la rue et certains enfants lançaient des pierres vers la créature. Les pompiers et les militaires arrivèrent à leur tour pour attraper l'être dans un filet. Ces deux créatures seraient mortes rapidement mais il n'y a pas eu de détails concernant leurs dépouilles. Dans les 24 heures les enquêteurs ufologiques étaient sur place. Ils interrogeaient des dizaines de témoins choqués (militaires, médecins, pompiers) et furent tellement impressionnés qu'ils appelèrent à un congrès à Curitiba en juin, consacré entièrement à l'incident. (Jan HERTOGHS "Humo" du 24.9.96, p. 47) (note de vog: les enquêteurs brésiliens rectifient comme suit cette relation:) A 8 heures les pompiers sont appelés pour "un animal étrange" se trouvant dans le parc. Ils s'y rendent vers 10 heures et trouvent un groupe d'enfants jetant des pierres sur l' "animal". Trois adultes observent la capture de cet être par 4 pompiers. A 10 h 30 la créature est attrapée sans opposer de résistance dans un filet, mise dans une caisse qui est recouverte d'une bâche. Une camionnette de l'ESA (Exército) prend ce colis en charge et se dirige vers Três Coraçoes. Le camion des pompiers retourne au quartier de Varginha. A 15 h 30 Liliane, Valquiria et Katia (22, 16 et 14 ans) voient dans la Rua Benevenuto Bràs Vieira, près du n° 76 une créature étrange, à moins de 7 m d'elles. Elles s'enfuient en criant et en pleurant. A 16 h 10 la maman de Katia et Valquiria s'en va sur le lieu de la rencontre. Il n'y a plus de créature mais il règne à l'endroit une odeur très forte, non identifiable. A 18 heures il y a une tempête de grêlons sur Varginha. Le courant électrique est complètement perturbé, des arbres sont déracinés. A 20 heures la police militaire capture la seconde créature (note de vog: il n'est pas spécifié à quel endroit). La créature est envoyée pour soins à l'hôpital où on refuse son admission "puisqu'elle n'est pas humaine". Elle sera livrée finalement à l'Hôpital Régional. Il s'ensuit un va et vient de fonctionnaires. Dans la nuit, vers 2 heures du matin, la créature est transférée à l'hôpital universitaire Humanitas, sous bonne escorte militaire. A 9 heures le 22 janvier la créature morte est mise à disposition de l'ESA. Elle viendra l'enlever seulement dans la nuit du 23 janvier, à 4 heures et elle sera déposée à l'école militaire. Le lendemain (24 janvier) le docteur Fortunato Badan Palhares (qui identifia les restes funèbres de Mengele) pratique une autopsie sur la créature à Campinas. (...) Il y a aux divers stades des événements 48 témoins. Parmi ceux-ci les militaires : le sergent Pedrosa, le caporal Vassalo, le soldat De Melo, le sergent Cirilo, le capitaine Ramires, le lieutenant colonel Olimpio Vanderlei, le commissaire Tibério. (UBIRAJARA F. RODRIGUES DU CBPDV - Centro Brasileiro de Pesquisas de Discos Voadores- et VITORIO PACACCINI DU CICOANI - Centro de Investigaçao Civil de Objetos Aéreos Noa Identificados - "O Caso Varginha, agosto de 1996)
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1996, 7 mars
ESPAGNE, Ferrerias, Friol
.
Un ouvrier assista à l'atterrissage d'un ovni, à 56 m de sa maison. En descendirent trois humanoïdes de petite taille. L'appareil laissa sur le sol des marques triangulaires et en dehors de celle-ci il y avait également des empreintes de pas, de "pieds qui n'ont rien d'humain" (…) (Enquête: Manuel Carbalal, Cnifo Newsletter)
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1996, juin
ROUMANIE, Vidra (Carpathes)

MOI-TV DE Bucarest rapporte qu'une soucoupe a atterri à Vidra, village très isolé dans les Carpathes. Tout le village l'a vu, ainsi qu'une flopée d'occupants, plus petits que des humains, ayant de grandes oreilles et de gros yeux, de teinte grise pour la peau. Effrayés les villageois se sont enfuit, s'enfermant chez eux. Le lendemain une sphère rouge est vue au-dessus des bois de Galati, à 150 km à l'est de Vidra, près de la frontière avec l'Ukraine. (Email Interview) (Ufo Roundup, vol. 1 n° 38 - Masinaigan)
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1996, 16 juillet
Espagne, Los Villares (Jaèn
)
Un campagnard, Dionisio A., a fait une rencontre en plein jour avec trois êtres qui semblaient ne pas appartenir à notre monde. Bien qu'il nous reçut aimablement, cet homme de 66 ans fut encore sous le choc, se méfiait de nous, et ne voulut dire que « juste ce qu'il faut ». A plusieurs reprises lors de l'entretien il entrecoupait la narration du constat : « Je ne passerai plus jamais par là, plus jamais. » L'endroit était à un kilomètre du village. Dionisio dit : « Comme je suis pensionné, je me promène beaucoup dans la campagne. Je venais presque tous les jours par ici vers midi. Il y a cette pierre sur laquelle je m'assieds pour me reposer. En arrivant ici, je vis un appareil juste à côté du pylône d'électricité. Il y avait un odeur insupportable, comme quand on brûle de l'huile de vidange. J'ai cru que c'était un conteneur de ICONA. Mais ce n'en était pas un. L'objet était fait d'un métal très brillant, transparent comme du cristal, et il y avait quatre écoutilles de cristal noir. Il n'était pas par terre, mais suspendu à 30 cm du sol. C'était comme une cloche de trois mètres de large et de 1 m 50 de haut mais en forme de demi-lune. Sur un côté il y avait comme un symbole ressemblant à un « yoyo ». Et puis j'ai aussi vu cette chose surprenante : deux câbles de couleur sombre sortaient de la partie arrière et allaient s'unir à la ligne de haute tension au-dessus. » C'est alors que le cœur de Dionisio se mit à battre violemment, car il vit trois êtres immobiles, comme des statues. D'où étaient-ils sortis, il ne le sait pas. Ils mesuraient environ 1 m 70. C'étaient deux hommes et une femme, portant des tenues si près du corps qu'il crut d'abord qu'ils étaient nus et qu'ils s'étaient peints une couleur argentée sur la peau. Leurs vêtements ajustés reflétaient la lumière du soleil . Ils étaient de type asiatique avec les pommettes hautes, de couleur très pâle, les yeux en fente. Ils aviaent de grandes mains avec cinq doigts bien définis. Ils portaient des bottes de la même couleur que la tenue. Il n'y avait aucune expression sur leur visage et c'est ce qui mit Dionisio encore plus mal à l'aise. « Tout à coup je reçus comme un grand coup dans la poitrine ce qui me fit baisser les yeux. Quand je levai à nouveau le regard, la femme me désignait à l'un des compagnons plus en arrière. Ils avaient des petites bouches sans lèvres, comme une raie.. En parlant ils n'ouvraient pas la bouche. Leur voix je ne l'entendais pas avec les oreilles, mais à l'intérieur de ma tête. Alors je me suis senti mal. Quand je me suis à nouveau aperçu de la mauvaise odeur de carburant brûlé acompagné d'un bourdonnement, j'ai levé les yeux : il n'y avait plus rien ici, ni appareil, ni hommes, rien. » Depuis la rencontre Dionisio va mal : il est toujours fatigué, il ne mange plus et il a peur « qu'ils » vontrevenir pour l'emmener. Le lendemain le fils allait sur les lieux et trouvait des traces. Deux semaines plus tard elles étaient toujours visibles : quatre trous cylindriques de 9,5 cm de diamètre et de 1,5cm de profondeur, formant les coins d'un carré parfait d'un mètre de côté. Pas de végétation calcinée, mais pliée et courbée come ayant subi un grand poids, et cela malgré le fait que Dionisio dit que l'appareil était à 30 cm du sol ©Midwar Flash-Net 1993-1998, All Rigths Reserved.
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1996, vers le 18 août
ITALIE, Valtellina

Trois jeunes garçons observent un humanoïde volant dans les bois. Il volait à 50 cm du sol d'abord, pour ensuite s'élever de plus en plus en s'éloignant. (Archivi NEWS Settembre 1996 su concessione del CISU).
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1996, 14 septembre
ISRAEL, Nazareth

Youri Iskov (Isakov) est sain de corps et d'esprit. (...) Portant moustache, la soixantaine alerte, cet immigré de l'ex-URSS affirme avoir reçu la visite d'extraterrestres. A en croire sa description: des humanoïdes chauves, de petite taille, affublés de deux yeux, d'une bouche et de trois doigts à chaque main. Ces êtres bizarres auraient fait irruption dans sa maison de Nazareth près du lac de Tibériade et l'auraient emmené sans ménagement en le tirant par les cheveux, dans leur soucoupe volante. Là, incapable de parler - sa langue inexplicablement collée au palais, il aurait fait l'objet de diverses expériences durant trois heures. Les extraterrestres lui auraient notamment enduit le corps d'une mixture gluante verte et jaune, tout en commentant leurs opérations dans un baragouin audible mais impénétrable. Sur quoi, ramené à son point de départ, Youri a foncé droit à la police pour raconter ses malheurs. Sans le prendre très au sérieux, les enquêteurs ont tout de même fait analyser le produit resté sur son corps. A leur grande surprise ils n'y ont trouvé aucune trace des substances les plus courantes sur terre, relevant une composition chimique inhabituelle avec 55% d'aluminium - un taux anormalement élevé. (Le Figaro - samedi 21 sept. 1996 "Les extraterrestres sont chauves" - signé Ph. G. qui date l'événement au 16 septembre 1996). Uri Sahov (Shakov, cuisinier retraité), habitant de Nazareth, partait poster une lettre lorsqu'il entendit soudainement un sifflement ( et fut survolé à très basse altitude par un énorme ovni) et se sentit agrippé par les cheveux et les épaules. Il fut emmené dans ce qu'il décrivit comme un ovni en forme d'oeuf à l'intérieur duquel il vit plusieurs petits êtres d'un mètre de haut avec des têtes comme des ampoules et des membres maigrichons. Ils émettaient des sons incompréhensibles et paraissaient avoir pour chef un être plus grand qu'eux, plutôt verdâtre, avec une tête bizarre, plutôt étroite, avec un oeil de chaque côté comme les poissons. Uri se souvient alors qu'un des petits êtres se serait avancé vers lui, l'aspergeant d'une sorte de poudre jaune. Il affirme avoir subi un certain nombre de tests médicaux horribles au cours desquels il finit par perdre connaissance. Lorsqu'il revint à lui, il était allongé sur le dos au milieu d'un stade de football situé à 500 mètres de son domicile. Se sentant très mal et pris d'étourdissements il rentra chez lui et appela la police. Emmené à l'hopital il dut subir une nouvelle batterie d'examens. Il avait encore sur le visage de la poudre jaune dont on l'avait aspergé et les médecins en prélevèrent pour effectuer des analyses. Les résultats indiquèrent qu'elle était composée à 60% d'aluminium (ainsi que du fer, du calcium et du potassium, mais ne contenant aucune trace de silicium) et ne ressemblait en rien à la terre des environs. Les échantillons auraient été envoyés à la NASA, . (PHENOMENA n° 34 de 1997, p. 13) (Ufo Roundup, vol. 1 n° 25, cite l'Associated Press) Barry Chamish, journaliste, dans un article paru sur Internet "Ufo Folklore Center" sous le titre "Yuri Isaacov - another blow to Israeli ufology" explique que Michael Heseman de "Magazine 2000" (Allemagne) appelé par lui pour rencontrer Yuri, proposa, puisque le témoin prétendit être malade, de le faire examiner à Houston par l'expert en abductions Derrel Sims. Si Yuri n'avait pas d'argent Heseman aurait payé le voyage à condition d'obtenir une copie du rapport médical de Yuri. A l'hopital il leur fut raconté par le Dr Michael Kedem que Yuri avait signé un contrat d'exclusivité avec un avocat du nom de Michael Luxemburg. Sans l'accord de Luxemburg, rien ne put être copié. Luxemburg contacté voulut $ 5,000 pour ce "travail". Fin février 1997 Heseman filmait un interview avec Yuri où ce dernier prétendit que la semaine précédente encore que deux extraterrestres étaient dans son appartement ainsi que chez une vieille dame du voisinage. (...) Finalement Barry Chamish conclut que Yuri a monté toute l'histoire dans un but financier, et que pour le voisinage Yuri Isaacov est un menteur pathologique. (note de vog: DONC, si nous en croyons Barry Chamish, cette affaire est un CANULAR, cependant, ce même journaliste n'est-il pas sujet à caution? Il est le premier a avoir assommé la presse étrangère avec cette histoire, ainsi qu'avec celles du mois de décembre 1996 )
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1996, 15 septembre
PORTUGAL, Cabeca da Penha (Serra da Guardunha - Beira Alta)

Un jeune homme part à la chasse dans cette région frontalière avec l'Espagne. En cours de route il décide de visiter une caverne au sujet de laquelle on raconte qu'au 14e siècle une petite fille fut retrouvée après trois jours de disparition. (voir XIVe siècle - Fundao) Une fois dans cette grotte, le jeune homme perd conscience. Il revient à lui dans un énorme "hangar souterrain" entouré par trois sortes d'extraterrestres. Plusieurs ovni ovoïdes argentés y étaient garés. Les humanoïdes, raconte le jeune homme, font partie d'une alliance interstellaire d'observation de la Terre. Leur base sous la Serra da Guardunha est l'une des quatre bases qu'ils ont chez nous, les autres se trouvent à Warminster (Angleterre), le Grand Canyon (Arizona USA) et au Pérou. Après avoir entendu tout ceci, le jeune perdit à nouveau conscience. Il recouvre ses esprits à huit heures du soir, sur le sol, à côté de la grotte. (ne dirait-on pas que ce jeune homme répète mot pour mot ce que racontait William Hermann de Charleston (Caroline du Sud) fin 1978 et largement exploité par des auteurs?) (Masinaigan@aol.com)



1996, 6 octobre
PALESTINE, Tulkarem

Les habitants voient des créatures, de taille plus grande que l'homme, et avec une peau ressemblant à celle des grenouilles. Les témoins expliquent qu'ils font très peur aux gens, avant de repartir dans le ciel (sans autres précisions). Ces témoignages sont très pris au sérieux par la presses palestinienne. D'après les scientifiques de Palestine, il s'agirait probablement de "produits hautement technologiques" envoyés par les colons juifs... (© 1997, UFO nieuwsbrief jaargang 2, nummer 1)
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sumer

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MessageSujet: Re: Rencontres rapprochées avec êtres non-identifiés divers pays   Rencontres rapprochées avec êtres non-identifiés divers pays EmptyVen 30 Juin - 17:00

1996, 14 octobre
ISRAEL, Jenin

Abdul Alharzrad, arabe vivant à Jenin, roulait de nuit vers le poste de Dotan. Sur le bord de la route il vit un homme faire de l'auto-stop. Il le prit à bord. A sa stupéfaction, cet auto-stoppeur changea complètement d'apparence: il devint énorme, habillé de noir, avec une tête de chien aux oreilles pendantes et un unique oeil de cyclope. Pris de panique à cette vue Abdul freina à bloc, provoquant une que de poisson. Il sortit en hâte du véhicule. L'entité sortit également, fit quelques pas en sa direction et s'estompa sur place. (Ufo Roundup vol. 1 n° 31)
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1997, 14 octobre
ISRAEL, désert du Néguev, Tel Sheva

M. Bashad, bédouin arabe élevé en Europe et son ami M. Massoud, quittent le ville arabe de Tel Sheva en direction de Beersheba. Roulant de nuit sur l'autoroute non éclairée, M. Bashad vit le long de la route un homme sur le bas-côté, debout. Cette présence insolite le fit s'arrêter devant l'individu et il lui demanda s'il pouvait l'aider. A ce moment, l'humanoïde passait la paume de la main à travers le métal de la portière, comme si elle n'existait pas, tandis que les deux automobilistes virent sa face horrible de "mutant". Ils mirent les gaz sans demander leur reste. L'entité resta accrochée à la portière sur une distance de 2 km, à la vitesse du véhicule (75 miles à l'heure) avant de se dissoudre comme s'il était fait d'air. (Journal Ma'Ariv du 15.10.1996 - Ufo Roundup vol. 1 n° 36)
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1996, 23 octobre
ISRAEL, Tel Aviv

A 2 heures du matin, Rachel et Leah Gorovitz roulaient en jeep dans une rue latérale de Montefiore street à Ahuzat Bayit, quartier de Tel Aviv. La rue était déserte. Ils virent là un individu de petite taille (1m50) mais très obèse en costume rouge, portant un sac à dos qui sembla faire partie intégrale du veston. Il marchait comme un robot, avait un visage pâle de cire sans aucune expression. L'individu venait dans leur direction. La conductrice, prise de panique, manœuvra pour faire demi tour et partir à grande vitesse. Plus tard le magnétisme de la jeep fut mesuré, il attesta plusieurs centaines de milligauss plus élevé que la moyenne des véhicules de Tel Aviv. (Ufo Roundup vol. 1 n° 36 - 1997)
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1996, 21 et 22 décembre
ISRAEL, Achihod-Ahyud (Akko)

Dans la nuit la police fut appelée par les habitants du village. Les gens signalaient le présence de disques luminescents bleus survolant leurs fermes. Le lendemain Mme Tziona Damti observa un "alien" près de la grange de son beau-père. De type humanoïde, il mesurait une vingtaine de centimètres de haut, était de couleur verdâtre, avait des membres (bras et jambes) sans doigts et de grands yeux noirs. Elle le trouva dans la matinée du 22 décembre, couché sur le sol dans une flaque de liquide vert et appela la police. Afin de préserver le petit cadavre de la décomposition, Tziona Damti et son époux le déposèrent dans le compartiment surgélateur du frigo. A l'arrivée de la police, le corps de la créature sorti du surgélateur, avait rétréci pour n'avoir plus que 5 centimètres de long. Il fut envoyé pour autopsie au Technion Institute d'Haifa. Ayant vu des images de la créature par une émission télévisée, la microbiologiste, le Dr. Rachelle Fishman, suggéra qu'il pouvait s'agir d'un embryon absorbé (par un autre animal) ou nouveau-né d'un vertébré, comme par exemple d'une salamandre. Un autre scientifique suggéra un embryon de caméléon. Le liquide trouvé sur les lieux aurait été le liquide amniotique. ( note de vog: cela s'est avéré à l'analyse, paraît-il) Un autre fermier de la région dit que les extraterrestres lui ont dérobé 18 moutons dans la nuit du 21 au 22 décembre, tandis que dans la ville proche de Tamara, un berger arabe se plaignit également du vol de moutons cette nuit-là. (Life & Time, electronic telegraph issue 610 25.1.1997) ( Ufo Folklore Center produit sur Internet sous le titre "It's a bird, it's an alien, it's a fraud" (c'est un oiseau, c'est un E.T., c'est un canular) un article du journaliste-uflogue Barry Chamish, mais très curieusement transmis par Dr Rachelle H.B. Fishman, dont l'adresse est: The Sea View, PO BOX 387, Zichron Ya'akov - 30900 ISRAEL. Cet article met en scène les protagonistes déjà cités plus haut, en y ajoutant des détails encore moins vraisemblables, comme par exemple que la veille la créature fut observée et qu'elle sautillait en l'air si on voulait l'attraper, comme également le fait peu ragoûtant qu'elle commença à se désintégrer par la tête qui se liquéfia... Mais sont également cités, sur les lieux, se disputant les restes de l'E.T. qui est mis aux enchères au prix de départ de 10.000 dollars, Uri GELLER lui-même et Michael HESEMAN (Allemagne). Ce dernier fit déjà parler de lui lors de la fameuse autopsie de Roswell montrée sur TF 1 il y a quelque temps. Heseman prétendit à Leeds, lors d'une conférence, qu'il avait interviewé et filmé au magnétoscope cet entretien avec le caméraman Barnett (qui vendit les film à Santili) pour le cas où il arrivait un malheur à Barnett. Il va sans dire qu'à l'heure actuelle personne ne vit cet interview. L'article continue en prétendant que "le peu de matière" de l'ET fournit au laboratoire pour analyse, n'a pas permis d'arriver à une conclusion. Tout ceci me semble dériver d'un fantasme malsain, ou d'une manipulation de l'opinion dans des buts de désinformation.)
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1996, décembre (vers le 22?)
ISRAEL, Rishon Lezion

Derrel Sims, ufologue, et Barry Chamish, journaliste, rapportent l'histoire d'un adolescent du nom d'Alex Lemkin. A 23 heures ce jeune homme se promenait dans le parc lorsqu'il vit une petite fille d'environ 6 ans, au comportement bizarre. La croyant perdue il s'en approcha et à son ébahissement la fille avait une couleur d'albinos et de longs cheveux du même teint. Pendant qu'il la regardait, la fille se brisa en des douzaines de petites lumières. Ses souvenirs s'arrêtent là. Il reprend connaissance couché sur la pelouse du parc, plusieurs égratignures inexpliquées sur le dos lui font mal. (Joseph Trainor -Masinaigan - Ufo Folklore Center)
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1996, 29 au 30 décembre
PALESTINE, Nur-a-Shamat

Après avoir passé la nuit dans son lit, Daoud Ahmad voulut se lever le 30 décembre, quand deux créatures lui sautèrent dessus et le mordirent. Les intrus mesuraient environ 60 cm. Ils avaient une vilaine tête avec une seule frange de cheveux du style Mohawk, ils n'avaient qu'un seul oeil (note de vog: deux cyclopes évadés de l'encyclopédie?) Ces créatures avaient une force énorme, elles étaient vêtues de vêtements de cuir. "Après qu'ils me mordirent, je perdis connaissance" dit Daoud Ahmad qui fut promptement transporté à l'hôpital, soigné et relâché le jour même. D'après la télévision palestinienne, les voisins entendirent des sons bizarres émanant du lit, mais pas un seul ne vit émerger quoi ou qui que ce soit de la maison par après. (CNI News, Vol. 2 n° 21, part 3 - Mike Lindemann)
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1997, 5 janvier
FRANCE, Ille et Vilaine

Au lieu-dit Chantepie, vers 2 h du matin, B.C. 57 ans, fermier, est réveillé par un bruit d'explosion et un sifflement strident. Son épouse, elle, continue de dormir. Il se lève, va dans la cuisine pour manger un morceau. Soudain, à l'extérieur, un grand flash. Il regarde par la porte-fenêtre et voit au milieu de ses champs, comme des phares. Il sort en prenant son fusil de chasse. Il se hâte vers la lumière aveuglante et essaie de crier, mais aucun son ne sort de sa bouche. Il se sent stoppé par une force invisible. Il ne peut plus bouger. Il voit alors deux êtres sortir de la forme lumineuse bleue. Les formes d'aspect visqueux et transparent passent près de lui semblant l'ignorer en se dirigeant sers la grange sur sa droite. Il sent des picotements sur tout le corps, il transpire et prend conscience d'être dans la neige en chemise de nuit et pantoufles. Il a peur. Les petites formes humanoïdes repassent à proximité et il les voit se fondre dans la forme électrique qui disparaît à la verticale instantanément. Ensuite B.C. retourne à grand peine vers la cuisine. Il est 5 h 15. Il vient de passer 2 h 45 dehors dans le froid par -9°C en petite tenue et il transpire. Ses pantoufles sont gelées. Lorsqu'il entre sa femme dort toujours. Les lumières sont toutes allumées (Sentinel News n° 6; juill.août '97 p. 36)
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MessageSujet: Re: Rencontres rapprochées avec êtres non-identifiés divers pays   Rencontres rapprochées avec êtres non-identifiés divers pays EmptyVen 30 Juin - 17:00

1997, 12 janvier
PORTO RICO, entre Caguas et Humacho

Pedro Viera, policier en retraite, roulait vers 2 h 30 du matin sur la Route 40 entre Caguas et Humacho. Soudainement il vit un ovni discoïdal planer au-dessus d'un pré, soulevant dans un "faisceau de tracteur" un bovin. L'animal passait dans une ouverture sur le fond de l'ovni et fut alors hors de vue. Viera mit les gaz, engageant une sorte de poursuite. Filant à toute vitesse sur la Route 40, il gardait continuellement l'ovni à l'oeil. Sa chasse s'arrêta brusquement par l'arrivée d'un modèle 4x4 ancien, et il dut s'arrêter sur le bas-côté de la route. Deux hommes en uniformes noirs surgirent du 4x4, s'approchèrent de lui et lui dirent " de leur laisser faire ce qu'ils avaient à accomplir." D'abord Viera ne comprit pas, mais ensuite il dut se rendre à l'évidence que ces paroles concernaient l'ovni. Entre-temps il l'avait évidemment perdu de vue et Viera rentrait chez lui. Cinq heures plus tard, vers 7 heures du matin, des Portoricains trouvèrent une vache mutilée le long de la route 40. Ils dirent que l'animal semblait avoir été jeté là d'une hauteur considérable. (Scott Corrales) (Ufo Roundup vol. 2 n° 8, Joseph Trainor)
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1997, janvier
USA, Colebrook (New Hampshire)

Dans ce village de 1070 personnes, une dame de 73 ans prétend avoir eu la visite de 12 extraterrestres, assis autour de sa table, prenant des notes et murmurant pour eux-mêmes. Ils n'ont pas voulu la quitter avant 3 h 30 du matin, malgré ces demandes polies réitérées.... Jusqu'à cette visite, la personne en question avait une parfaite réputation, depuis elle ne se ressemble plus. (source : UFO Folklore Center)
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1997, 13 février
CHILI, Llano (Santiago)

Vers 23 h 30, Marta Aguilar Montoya et ses deux jeunes enfants dormaient dans leur chambre du domicile à Gran Avenida, dans la section Llano de Santiago. Tout à coup, la mère de famille fut réveillée par un bruit de crachotements dans le téléviseur, alors qu'elle était certaine qu'il n'était pas allumé. Elle se leva et aperçut une "personne mince" de 1.5 à 1.6 mètres de haut, habillée d'une tenue collante fermée et d'un casque à visière. Elle ne put voir les yeux. Cette apparition portait aussi un sac à dos ajusté au casque par deux bretelles passant sur les épaules. Son mari étant au travail, là ; seule avec ses deux petits dormant la seule chambre, Marta était morte de peur. Elle attrapa les deux enfants dans les bras, et resta là, à regarder. L'occupant ne cessa de la "regarder" mais ne fit aucun mouvement. Après plusieurs minutes il se tournait vers le mur de la pièce, et Marta entendit à nouveau ce crachotement électrique, une sorte de bruit crépitant "SSHH". La créature disparut à travers le mur, laissant l'empreinte de sa silhouette sur le mur. Cette empreinte disparut au bout de deux minutes. Les cas de Lago de Rapel et de Llano sont enquêtés par le groupement ufologique AION. ( Luis Sanchez Perry) (Ufo Roundup vol. 2 n 8 - Joseph Trainor)
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1997, 20 février
ESPAGNE, Paradeseca (Orense - Galicie)

Heliodoro Nunez tondait des moutons dans une pâture à 3 km de la route vers Chandrexa, le long de la rivière Devesas. Il était environ 16 heures quand j'étais avec le troupeau, dit-il. Soudainement les chiens se mirent à aboyer et je reçus un rai de lumière sur moi. Me retournant je voyais ces étranges créatures. Il décrit plusieurs entités de 3 m de haut et portant des chapeaux coniques bizarres. Le groupe entier changeait de couleur simultanément, du rouge au bleu, ensuite au jaune et encore au vert. "Ce n'était pas de ce monde, et à la vue de cette apparition je me suis mis à prier". Un voisin, Juan Gonzalez Gonzalez confirme en disant qu'il a vu dans cette prairie à la même heure quelque chose de bizarre. C'était une lumière rouge d'un ton très intense planant au-dessus des arbres. Mais à cause de la distance le séparant de Nunez, il n'a pas vu les géants. L'enquête est faite par le groupe Fenix de La Coruna. A l'enquêteur l'épouse de Nunez raconte, que son mari arrivait ce jour-là à la maison complètement apeuré. Il ne fit que prier, ne put dormir deux nuits durant et ne put rien manger. (journal La Region du 23.2.97) (Ufo Folklore Center - Roundup vol. 2 n° 18 du 4.5.97)(vog : coïncidence pour le moins : le Vatican venait d'émettre un nouveau timbre, antisémite de surcroit, où l'on voit des Juifs portant le fameux chapeau pointu obligatoire pour eux au Moyen Age)
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1997, 29 avril
ITALIE, région d'Udine

Le media se font les gorges chaudes après l'annonce faite par Antonio Chiumiento, prétendant avoir récolté le témoignage relatif à un cas d'abduction survenu dans la périphérie d'Udine, peu après minuit le 29 avril. Un jeune homme de 22 ans, en compagnie de quelques amis, à une séance de pranothérapie (exercices respiratoires) aurait été aspiré par un rayon conique de lumière rouge qui l'aurait soulevé, l'aurait fait passer au travers des murs et aurait alors disparu à la vue de ses amis. Ceux-ci regardant par la fenêtre aurait vue des traînées lumineuses en rotation dans le ciel se dissoudre petit à petit. Quatre heures plus tard, le jeune homme serait réapparu dans le divan d'où il avait été "capturé" et aurait raconté qu'il s'était retrouvé à l'intérieur d'une chambre luminescente, où trois êtres d'aspect monstrueux et hauts d'au moins 3 mètres, l'auraient examiné avec prélèvement de sang et lui auraient administré une substance dans le bras. Ce produit aurait causé une inflammation et il aurait dû subir une opération à la suite de cette piqûre. (dans un hôpital terrestre cette fois) (Adn-Kronos, 23 maggio; Televideo RAI, 23 maggio; La Stampa e vari altri quotidiani del 24 maggio, rapporté par le CISU dans Avvistamenti).
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1997, 10 septembre
PALESTINE, Tulkarem

Muhand Faras, 16 ans, revenait chez lui après les cours, quand il rencontra "un homme étrange, avec une sorte de petite "racine" au milieu du visage. Il avait la peau verte comme celle des grenouilles. Ses mains étaient très minces, se terminaient par trois doigts, et les ongles étaient très longs. L'étranger fait quelques gestes menaçants vers Muhand, criait quelque chose, et s'envolait dans le ciel. Muhad, trop effrayé, n'essaya même pas de suivre des yeux cette créature, pensant également qu'elle aurait pu "tirer quelque chose de dangereux" sur lui. (Yerushalayim for September 19, 1997; CNI News, volume 3, number 15, part 1, for October 1,
1997. Mike Lindemann)
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1997, 18 septembre
PALESTINE, Dir al Ajwan (Tulkarem)

La police enquête sur une tentative d'enlèvement sur une fillette de 10 ans, par un "alien" de l'espace. Le magazine israélien, Yerushalayim, raconte que la fillette, Suha A'anam, faisait ses devoirs d'école au balcon du second étage de leur maison à Dir Al Ajwan (à 64 km de Jérusalem) Soudainement elle se sentit prise par le bras, et levant la tête, vit un "alien". Elle hurlait hystériquement si bien que les voisins purent intervenir à temps pour la sauver. Elle fut conduite à l'hôpital de Tulkarem, présentant des égratignures sur le bras. Une voisine a raconté à la police qu'elle entendit un bruit d'hélicoptère et regardant par la fenêtre, vit une sorte de "tornade rejetant des cendres" face au balcon de la petite Suha. (Yerushalayim for September 19, 1997. CNI News, volume 3, number 15, part 1, for October 1, 1997; Mike Lindemann)
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1998, 2e semaine de janvier
CROATIE, près de Sibenik

Le journal "Vercernji List" rapporte que quatre extraterrestres ont atterri dans une prairie au nord de la ville portuaire de Sibenik (sur la Mer Adriatique) Selon ce journal, le fermier Jako Vrancic se trouvait avec son troupeau quand un ovni atterrit sans faire aucun bruit. L'objet est décrit comme ressemblant à un fer à repasser. Il dit que les extraterrestres avaient la grandeur et l'aspect d'enfants. Le fermier leur proposa de partager son casse-croûte, du jambon et des figues séchées, mais ils répondirent qu'ils n'avaient pas faim. Il n'y avait aucun problème de communication, semble-t-il, puisque les petits étrangers parlaient un mauvais croate. Vrancic n'avait aucune peur, puisque "il avait déjà vu des choses pareilles à la télévision". Après leur brève visite, les quatre créatures rentraient dans leur appareil qui décolla. Le journal ajoute que Vrancic est un homme honnête, et connu pour être plutôt terre à terre. (CNI News volume 3, number 22, part 2, Mike Lindemann et James Sutton.)
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1998, 18 février
PAYS-BAS, Pendrecht (?)

"Le 18 février, à 21 h 15, je me rendais avec ma fille auprès d'une connaissance. Ma fille vit arriver quelque chose et je m'écriais :"qu'est-ce que c'est cela?" et nous nous sommes arrêtées de marcher pour regarder l'objet. Il était totalement silencieux, pas un souffle de vent, pas de moteur, rien, nous l'avons regardé bouches bées. Il avait un étage avec des fenêtres semi-circulaires, tout était silencieu et on aurait dit que nous n'étions que nous deux . On aurait dit que nous étions seules au monde. je me suis mise à hurler, mais personne ne nous entendit jusqu'à ce que l'objet était passé, qui tout à coup basculait et venait vers nous. j'ai vu la face ventrale et je voyais tout à coup trois très grandes lampes (sphériques) qui ressemblaient à un triangle (sic). Puis j'ai vu un tas de petites lampes et ensuite ma fille et moi ne voyions plus qu'un trou noir très profond. Nous nous sommes mises à courir. Quelques mois plus tard j'avais une tumeur au sein, avec des petites tumeurs tout autour. Le médecin n'avait aucune idée de ce que c'était mais les tumeurs n'étaient pas malignes. " (suite en décembre 1999) (lettre recommandée de C.V.d.L. à Ufo Belgium, Marc Broux, reçue le 7.2.2000 après un entretien téléphonique du 19.1.2000)
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sumer

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1998, 21 août
ITALIE, Citta di Castello, Perugia.

Des personnes d'un des faubourgs de Perugia, à Citta di Castello prétendent avoir vu "un extraterrestre humanoïde volant". La rencontre eut lieu aux confins du faubourg, où les témoins virent "un petit extraterrestre courbé comme une vieille qui ramasse des herbes". Comme la silhouette ne répondit pas aux appels des gens, ceux-ci s'en rapprochaient avec précaution.
" Arrivés à 200 mètres de l'être, il apparut une chose comme un cylindre argenté. Ce cylindre se mit à planer à deux mètres du sol. L'humanoïde s'élevait alors jusque dans l'objet planant, qui accélérait alors rapidement à la verticale, en disparaissant en quelques secondes." (Corriere dell'Umbria du 28.8.1998 et le Cisu, cfr Edoardo Russo, Simone Cumbo)
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1998, 17 septembre
Himalaya, Mont Everest

Craig Calonica, escaladeur américain descendait d'un site de campement à haute altitude quand il vit deux Yétis déambuler dans la neige. C'est lors de sa descente de 6500 mètres vers le site situé à 5200 mètres qu'il vit les créatures. Il dit qu'ils avaient une grosse fourrure noire et brillante et qu'ils marchaient à la façon des humains, mais avec les épaules voûtées. "Je vis quelque chose et ce que je vis n'était pas humain, n'était pas un gorille, ni un ours, ni une chèvre ou un renne" dit Calonica. Ces créature avaient de très longs bras et une grosse tête." Le cuisinier népalais de Calonica est co-témoin. La description du Yéti est identique à celle faite par le Lt. Col. C.K. Howard-Bury lors de son expédition dans l'Himalaya en 1921. La présente observation eut lieu sur la face nord de l'Everest, à environ 56 km au sud-est de Dinggye, Tibet. (Agence Reuters et Erik Beckjord du Sasquatch Research Project)
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1998, 30 et 31 octobre
USA, Baca Grande (Colorado)

Dans le nouveau quartier partiellement construit, une femme regardait par la fenêtre et vit des petits extraterrestres traverser le jardin en courant. Cette personne raconte son histoire à l'auteur-ufologue Christopher O'Brien. "On aurait dit qu'en même temps des petits objets heurtaient le mur de la maison, dit-elle. On voit les alentours car il n'y a pas d'arbres du tout sur une bonne centaine de mètres. Les petits extraterrestres avaient des têtes proportionnées à leur taille, qui était de 1,20 m environ. Dans leur course ils étaient accompagnés d'une sorte de cochon fort poilu. " Le lendemain, samedi 31 octobre, la femme aperçut un objet ovale volant rapidement entrer par la porte de jardin et puis ralentir en montant jusque dans le hall, au-dessus d'elle. L'objet avait la couleur du lait avec une bande réfléchissante tout autour, qui semblait chromé Le témoin était tellement abasourdi qu'elle ne voulait plus regarder cette chose, moment qui fut mis à profit par l'objet pour disparaître. Elle estime que cette chose se trouvait à environ 3 mètres d'elle. (Ufo Roundup , Volume 3, Number 45 November 9, 1998, Editor: Joseph Trainor - Christopher O'Brien, auteur de THE MYSTERIOUS VALLEY)
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1998, 25 novembre
Espagne, Séville, Base de Moron de la Frontera.

Déclaration du radioamateur D.B.R. indicatif « Alfa » résidant à Alacala de Guadeira, Séville : « Je suis militaire de carrière et affecté au service de garde. A 5 heures du matin, environ deux heures avant la fin de ma garde devant les hangars spéciaux n° 1-509 avec mon équipier Pastor-Aleman, j'ai entendu un bruit dans les buissons, comme si l'on sciait du bois. Mon équipier me dit : « Allons y ! Allons y !» et mitraillette en main, j'ai vu un mouvement et j'ai crié « Qui va là » sans recevoir de réponse et j'ai tiré deux coups en l'air. Des buissons est sorti un homme de haute stature, plus de 2 mètres. Nous n'avions pas de lampes-torche et nous n'avons donc pas vu ses traits car il faisait encore nuit. Mais ce qui nous apeura c'étaient ses yeux brillants, d'un vert fluorescent et du coup je lui ai envoyé un chargeur de 20 balles en plein corps. L'homme n'a pas bougé, il restait tranquille. J'ai crié en panique à mon équipier de tirer lui aussi. Mais quand il s'est trouvé devant l'énorme homme (il devait avoir pas loin de 2 m 50) il s'est mis à reculer, puis s'est mis à geindre en venant mettra sa tête sur mon épaule. J'ai introduit un autre chargeur de 40 balles. Quand j'étais prêt à tirer, l'homme à levé la main comme en un signe de salut, me regardant tranquillement de ses yeux lumineux verts et il est retourné dans les buissons. J'ai un peu cherché, mais je ne l'ai plus retrouvé. J'ai appelé la centrale par talkie-walkie. Ils m'ont envoyé une patrouille et ceux-ci m'ont conduit devant le commandant. Quand j'ai raconté ce qui c'était passé il m'a dit : « Voir, entendre et se taire, et cela vaut dès que tu sortiras de cette pièce." »l m'accorda tout de suite une semaine de congé non sollicité. En retournant prendre mon service une semaine plus tard, je suis retourné sur les lieux : il n'y avait plus aucune trace de rien : ni les douilles, ni même les cendres de ma cigarette ! Depuis cet événement je me sens mal, j'ai des sueurs froides et je tremble des mains rien qu'en y pensant. Pourtant sur la base il arrive souvent des choses bizarres, mais aucune ne m'a tant perturbée. » (suite au 5 décembre 1998, même lieu, même témoin) L'enquêteur ajoute que ce militaire âgé de plus de 25 ans, se conduit comme s'il était persécuté, et ne fait plus qu'observer la rue autour de sa maison en proie à une véritable paranoïa. (Carmen Pina, Box 1129, Séville, 19.6.1999)
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Source web d'où proviennent ces informations :
http://users.skynet.be/sky84985/chron27.html
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