En 1973 en détaillant des photos aériennes de la région niçoise, notre attention fut attirée par des aménagements de terrains dont la structure géométrique témoignait d’un important travail architectural.
Claude Minghelli, du Centre d’Etude et de Recherche d’Eléments Inconnus de Civilisations, transforma ces clichés en vues stéréoscopiques et la vérité éclata. L’édifice qui nous avait polarisé, était une pyramide de plus de 50 m de large et à sa base de près de 200m.
Situé à la sortie de Nice, le territoire de la commune de Saint-André, ce monument enfoui sous une végétation abondante échappe totalement à la vue des promeneurs.
Cette construction date de plusieurs siècles, et le célèbre archéologue Octobon assure dans ses écrits, que le lieu fut occupé jadis par les Ligures qui y avaient construit un oppidum. Les architectes qui érigèrent cette pyramide s’aidèrent de la topographie du terrain pour élever ce gigantesque mastaba à trois faces qui s’épaule contre une haute colline.
Onze étages successifs pourraient donner à croire que l’édifice a été dressé pour pratiquer la culture en paliers, comme on la pratique dans toute la région, mais une prospection poussée du terrain dément très vite cette hypothèse, car les « planches » sont trop étroites et il n’y a aucune trace de terre ou d’humus pouvant favoriser des plantations. Seuls, de petits pins et des buissons touffus s’accrochent sur un sol ingrat.
Aucune recherche sérieuse n’a été effectuée sur les lieux, en 1974 le sommet du monument a été rasé. L’orientation de l’édifice a été calculée avec soin, chaque côté faisant face à un point cardinal.
Dernièrement, le monument a été totalement déboisé laissant apparaitre son architecture qui s’apparente aux constructions égyptiennes du même type.
Les moines de la communauté de Mérindol qui vécurent sur une colline voisine, en furent peut-être les gardiens.
Maintenant, l’édifice fait place à une autoroute, mais il a eu des découvertes importantes, qui restent secrètes, comme la pyramide de Falicon, toujours au nord de Nice.
De nombreux OVNI furent aperçut depuis la disparition de cette construction, et nous de sommes pas loin du Col de Vence…
Sources : Confidence de Francis Maziére
Ancien Directeur de Editions Laffonts collection des
Livres noires 1974
(1) J’ai eu le privilège d’avoir vu certains endroits ou des restent d’appareils sont encore dans la terre en France, pour ne parler que de notre territoire, sur informations de Francis, quelques années avant sa mort.
Courton le bas le 31 Octobre 2009
Claude BURKEL