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B- ÉVALUATION1. Technologie: Les observations réalisées, les documents militaires déclassifiés et les textes législatifs dont nous disposons, suggèrent tous que l’humanité est effectivement confrontée à une technologie aérienne supérieure à celle que nous avons mise au point jusqu’ici. Il est implicite que cette technologie repose sur une connaissance des lois physiques plus complète que la nôtre. Cet état de chose perdure depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Les engins détectés par radar paraissent matériels au sens usuel du terme. A priori, disques volants, missiles scandinaves et triangles belges ressemblent assez à des avions terrestres pour que leur identification en tant que véhicules soit plausible. Hélas, d’autres observations compliquent notre tâche. Les ballons suivis par Jean Kisling avaient changé de forme avant d’accélérer. Des disques observés au dessus d’Oak Ridge avaient gardé le même diamètre apparent quand ils étaient vus à plusieurs kilomètres de distance ou quelques centaines de mètres. Les trajectoires des engins observés et détectés au radar au dessus de Washington en juillet 1952 suggéraient des accélérations énormes, suivies d’arrêts sur place et de vols stationnaires.
Certaines de ces performances paraissent hors de portée de l’aéronautique humaine. Beaucoup demeurent inexplicables dans le cadre actuel de la physique. Elles confirment en tout cas la présence, dans notre environnement proche, d’une technologie aérienne et spatiale hors de notre portée et d’origine inconnue. Un certain nombre d’indices accrédite la possibilité que les forces aériennes américaines aient pu effectivement récupérer un ou plusieurs engins exotiques, sur le territoire des USA ou ailleurs. Si elles ont effectivement eu lieu, ces récupérations ne semblent pas avoir révolutionné la physique ni permis aux USA des percées technologiques importantes. Ce dernier point mérite une étude plus approfondie.
2. Comportement / actions: Tous les événements connus, survenus depuis la seconde guerre mondiale, suggèrent que les engins observés manifestent un comportement intelligent. Les combats tournoyants entre avions de chasse et disques volants, la destruction sélective des intercepteurs lancés à leur poursuite, le survol des bases atomiques, la déprogrammation sélective, elle aussi, de missiles intercontinentaux, rend improbable que les engins décris par les témoins soient seulement programmés ou automatiques. Il serait donc imprudent de ne pas envisager l’hypothèse d’une mission permanente, encore présente dans notre environnement. Dans ce cas, un nombre limité de scénarios est envisageable ; ils devront être comparés au données historiques connues afin d’en évaluer la probabilité et le bien fondé*. [* L’hypothèse d’une destruction planifiée de l’humanité, par exemple, est très peu probable dans la mesure où elle aurait pu être réalisée beaucoup plus facilement au 19ème siècle ou au néolithique !]
Une forme de communication existe donc de facto entre les entités responsables des incursions et certains responsables politiques et militaires. Le message transactionnel envoyé par le survol des installations nucléaires, par exemple, semble évident et complexe : « Nous savons où vous dissimulez vos installations stratégiques les plus secrètes ; vous connaissez notre supériorité scientifique et technique ; nous savons où vous êtes mais vous ne savez pas où nous sommes, donc vous êtes complètement à notre merci.» Après réflexion les responsables américains on du compléter ce qui précède :
« Nous aurions pu détruire toute votre filière atomique militaire, mais nous avons choisi de ne pas le faire ; vous pouvez en conclure que nous souhaitons régler pacifiquement nos différents, néanmoins, nous abattons vos avions quand ils se montrent trop agressifs. Notre patience a donc des limites. Faites en sorte de les évaluer correctement et de ne pas en franchir les bornes. »
Ce message transactionnel, fut renouvelé en 1954 par le survol de Fort George Meade (Maryland) où la National Security Agency croyait pouvoir dissimuler ses services. Il est probable que la Russie a reçu, en son temps, les mêmes mises en demeure implicites. Après quelques atermoiements, ces communications ont sans doute fini par être comprises des deux belligérants potentiels.
3. Situation actuelle: Les menaces les plus évidentes qui pèsent sur l’ensemble de ce qui vit sur terre sont liées. Elles proviennent à la fois de la surpopulation et d’une surexploitation des éléments non renouvelables de la planète : énergies fossiles et minerais. Elles sont aggravées localement par des pollutions provoquées par des déchets toxiques de plus en plus souvent exportés vers le tiers monde. De nombreuses espèces vivantes sont menacées à terme de disparition : forêts, flores spécifiques, ainsi que faunes à la fois marines et terrestres. Nos hypothétiques visiteurs ou tout au moins leurs machines volantes, sont toujours là. S’ils se soucient de notre survie et de celle des espèces vivant sur notre planète, ils pourraient être tentés d’agir comme ils l’on fait pour parer à la menace d’une guerre nucléaire : envoyer dans un premier temps des messages transactionnels aux puissants de ce monde, agir fermement si leurs demandes ne sont pas suivies d’effet.
Nous devrions attacher une grande importance à ce qui suit afin de pouvoir, le cas échéant :
•alerter les responsables politiques quant à la situation où nous nous trouvons, •parer aux conséquences éventuelles d’actions extérieures que nous n’aurions pas pu empêcher, •convaincre les décideurs de prévenir ces éventualités en mettant eux-mêmes en œuvre des actions correctrices adaptées, •obtenir un contact plus ou moins direct avec nos visiteurs (?) afin de confirmer nos soupçons et comprendre ce qu’ils attendent de nous, •provoquer des contacts entre les visiteurs (?) et des responsables politiques.
C – INTENTIONS DE NOS VISITEURSElles ne sont peut être pas aussi obscures que l’on pourrait le penser. Les intéressés eux-mêmes ou certains de leurs représentants humains peuvent être plus proches de nous que nous l’imaginons et plus accessibles à un éventuel contact. (Un tel contact ne sera pas nécessairement reconnu pour ce qu’il est par l’humain qui y participe.)
L’évaluation de certaines options offertes à nos visiteurs n’est pas a priori impossible.
1° Ils sont évidemment capables, quand ils le désirent, d’influencer le comportement de certains individus et de certains groupes humains,… tout comme les publicistes, les propagandistes, les prédicateurs, les politiciens, les escrocs et les marchands humains savent le faire.
2° Ils mesurent sans doute mieux que nos scientifiques les conséquences de nos actions les plus néfastes pour l’environnement et les espèces vivantes. Ils peuvent influencer discrètement certains écologistes pour relayer leurs mises en garde.
3°Il est possible qu’ils puissent observer certaines conséquences de nos expériences nucléaires sur le tissu même de l’espace/temps alors que nous en sommes pour l’instant incapables. Cependant, ils ne peuvent pas nous faire partager leurs inquiétudes (ou leurs certitudes) sans effectuer en notre faveur des transferts technologiques et scientifiques importants, auxquels ils se refusent. Ils sont donc forcés d’agir secrètement sur nous s’ils souhaitent nous faire abandonner ces comportements dangereux ou irresponsables.
Même avec les meilleures intentions du monde vis-à-vis des populations autochtones, un civilisé – quelque soit son origine, terrestre ou non – ne pourra pas toujours persuader un primitif d’abandonner ses habitudes ou ses traditions, même pour son plus grand bien. Des considérations irrationnelles, religieuses ou tribales, auront beaucoup plus de poids pour le primitif que des conclusions logiques qu’il ne comprendra pas. De ce fait, un civilisé devra parfois se résoudre à employer la contrainte pour faire changer le primitif de comportement.
Dans les années 50, l’Air Defense Command a réagit comme l’aurait fait un groupe primitif en continuant d’envoyer des intercepteurs se faire descendre inutilement pour défendre le mythe d’une supériorité aérienne illusoire de l’U.S. Air Force au dessus du territoire des USA. Les visiteurs avaient impérativement besoin de survoler le territoire des USA pour découvrir les installations militaires qui élaboraient et stockaient les armes nucléaires.
D – QUESTIONS ÉVENTUELLES Vous arrive-t-il de détecter des échos présentant des caractéristiques inhabituelles, voire “impossibles”, telles que : accélérations longitudinales importantes / arrêts brutaux ; vitesses élevées à relativement basse altitude (échauffement cinétique) ; dimensions très supérieures à celles des plus grands avions connus ; vols stationnaires suivis de déplacements brusques en altitude ; accélération vers l’espace après une phase de vol à altitude constante ; etc. ?
Pourrions nous recevoir les strips des observations anormales, ou tout au moins certains d’entre eux ? Pourrions nous recevoir sur une longue période, un an ou plus, les dates, heures, positions, vecteurs vitesses, altitudes, accélérations éventuelles, des incursions non corrélées ?
Vous serait il possible de donner aux opérateurs l’ordre d’enregistrer systématiquement les traces radar, y compris des radars de site, concernant toutes les incursions non corrélées ? Elles pourraient, dans certains cas, faire l’objet d’études fines et permettre d’évaluer certains paramètres.
Si vous pouvez observer certains satellites, avez-vous noté des disparitions, des changements d’orbite ou des objets se satellisant et semblant venir de l’extérieur ? Si vos installations ne possèdent pas cette capacité, la DRM et certains observatoires doivent utiliser une partie de leurs moyens à la surveillance des objets en orbite. Ont-ils noté certaines des anomalies ci-dessus ? En tant que station “centrale”, vous êtes certainement ampliateurs en temps réel de ces informations ?
Toute information de ce type pourrait s’avérer utile, en particulier la fréquence, l’altitude et la durée de ces comportements anormaux.
D’autres données pourraient s’avérer utiles : vitesses différentes de la vitesse de satellisation à une altitude donnée ; valeur des accélérations lors des changements d’orbite ; modalités des disparitions et apparitions ; interférences éventuelles avec des satellites terrestres identifiés.
Source : http://www.federation-airplane.eu/site/fr/nouvelles/initiatives_publiques/suite.php?newsid=144
Auteur : Jean Gabriel Greslé
Images : Michel Ribardière