Sur le site de la revue "UFO" brésilienne ( http://www.ufo.com.br/ ), on peut lire une intéressante interview d'un météorologue, Rubens Junqueira Villela (né en 1930), qui a participé à des expéditions dans l'Antarctique dans les années 1960, et y a observé un ovni en février 1961 (ce qu'il décrivit à l'époque, dans son carnet de notes, comme une "lumière solidifiée" multicolore, d'environ 6 m de diamètre, évoluant à basse altitude à une vitesse approximative de 80 km/h).
Le scientifique brésilien confie également que certains de ses collègues ont observé, en d'autres occasions, des phénomènes analogues - mais il est réticent à témoigner pour d'autres, et se borne à mentionner l'observation, faite par un de ses camarades (les relations sont étroites entre les membres de ces équipes travaillant dans des conditions extrêmes), d'un "vaisseau-mère", grand comme un navire, tout illuminé, qui disparut en un instant.
Villela a étudié aux Etats-Unis et travaillé au Goddard Space Flight Center, de la NASA, entre 1962 et 1963. Entre collègues, en privé, le sujet des ovnis était souvent débattu. Il a eu l'occasion de relater son observation antarctique au NICAP, et fut invité en France, à en discuter en comité restreint avec des scientifiques intéressés à la question.
Interrogé sur la réaction de ses collègues de l'université de Sao Paulo à son observation, Villela est peu disert. Mais il ajoute savoir que de grands noms de la science sont parfaitement au fait de ce qui se passe dans ce domaine, pour participer eux-mêmes à des projets de pointe de leur gouvernement, et travailler avec les extraterrestres. Villela précise qu'il s'agit plus spécifiquement de scientifiques étasuniens (on s'en serait douté) mais, devant l'insistance de la Revista UFO pour lui en faire dire plus, il se ferme quelque peu, évoquant la difficulté qu'il y a à exposer des personnes "déjà suffisamment menacées". "Juste un détail, ajoute-t-il, pour donner une idée: une certaine recherche conjointe [terriens/E.T.] a connu un retard de six mois car les extraterrestres avaient, intentionnellement, changé un signe dans les équations"...
Questionné sur la possibilité d'une telle collaboration entre humains et ET au Brésil même (après Varginha, p. ex.), Villela exprime son scepticisme: "En cas de crash, à Varginha comme dans les autres cas, tout part immédiatement pour les Etats-Unis."