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Nombre de messages : 940 Age : 50 Localisation : France Emploi : Responsable Sté Sécurité Loisirs : Ufologie Date d'inscription : 30/09/2005
| Sujet: Communiqué de presse N°42-2006 Ven 1 Déc - 15:09 | |
| Communiqué de presse N° 42-2006 Paris, le 30 novembre 2006
Réussite du premier essai à feu du moteur du premier étage de Vega à Kourou
Le plus grand moteur monobloc à propergol solide à structure bobinée jamais réalisé en Europe a passé avec succès le cap de son premier essai à feu statique aujourd’hui à 12 :30 heure de Kourou (16 :30 heure de Paris) au Port spatial de l’Europe, à Kourou (Guyane).
Le moteur P80, qui assurera la propulsion du premier étage du lanceur Vega de l’ESA, a délivré une poussée moyenne de l’ordre de 190 tonnes pendant plus de 100 secondes, soit environ un tiers de celle délivrée par chacun des étages d’accélération à poudre (EAP) d’Ariane-5. Un pic de poussée de 250 tonnes a été atteint pendant 7 secondes.
D’après Antonio Fabrizi, Directeur des lanceurs à l’ESA, « les premières données dont nous disposons montrent que le moteur a suivi de près la courbe de pression escomptée. Ce succès marque l’achèvement de la première série d’essais réalisés pour le développement de Vega en 2006, année à la fois riche en activités et fructueuse pour ce programme. Le franchissement de cette étape importante contribue à renforcer la confiance placée dans le lanceur Vega, dont Arianespace prépare maintenant l’exploitation, sur la base de la Convention également signée avec l’ESA en ce mois de novembre ».
« En ce qui concerne les différentes caractéristiques du programme P80 et au-delà des aspects techniques et des innovations », ajoute Antonio Fabrizi, « il convient de souligner le remarquable investissement de l’industrie dans ce programme, rendu possible par les prévisions optimistes d’exploitation de Vega ».
Au cours de cet essai, les ingénieurs ont enregistré plus de 600 paramètres pour vérifier que les nouvelles technologies utilisées en grand nombre sur ce moteur ont fonctionné comme prévu
Développé sur la base des capacités industrielles acquises avec le moteur à propergol solide à trois segments des EAP d’Ariane-5, le P80 – dont la taille correspond à peu près à celle du segment inférieur d’un EAP – présente bon nombre de caractéristiques innovantes qui pourraient être réutilisées ultérieurement sur le lanceur lourd Ariane pour en améliorer les performances en termes de capacités et de coût.
Démonstrateur technologique
Le moteur P80 – environ 12 mètres de hauteur pour 3 mètres de diamètre – est conçu pour recevoir 88 tonnes de propergol solide. A la différence des précédents moteurs de taille équivalente ou supérieure développés en Europe ou ailleurs, composés de plusieurs blocs de propergol coulés séparément avant leur assemblage, le P80 se compose d’un seul bloc.
Pour des raisons de dimensions, il a été possible de procéder à la coulée du propergol à l’Usine de propergols de Guyane (UPG), à Kourou, dans le puits utilisé pour les segments inférieurs de 100 tonnes des EAP d’Ariane-5. Alors que les EAP sont dotés d’une enveloppe externe en acier inoxydable, le P80 utilise une enveloppe légère en composite à filament bobiné. Il est également équipé d’un allumeur de conception nouvelle, simplifiée, à structure en fibre de carbone.
Une nouvelle tuyère orientable en composite a été développée pour le P80. Elle se caractérise par une architecture simplifiée, dont le nombre d’éléments a été réduit dans un souci de baisse des coûts de production. Cette tuyère comprend des pièces métalliques complexes ainsi qu’un nouveau matériau d’isolation thermique. Le joint de la tuyère est plus souple que celui des modèles précédents, ce qui facilite le pilotage par les actionneurs électromécaniques. Il s’agit d’un progrès technologique supplémentaire pour des moteurs de cette taille, qui utilisent d’ordinaire un système hydraulique plus complexe.
« Comme prévu, le P80 a résisté à des pressions de combustion élevées, supérieures à 80 bar » fait remarquer Stefano Bianchi, Responsable du programme Vega à l’ESA. « En dépit de ces conditions très rigoureuses, il semble d’ores et déjà que le moteur ait parfaitement fonctionné, même s’il nous faut encore un peu de temps pour analyser le volume considérable de données recueillies ».
Cet essai a été mené sur le banc BEAP de Kourou, celui-là même qui sert aux essais à feu des EAP d’Ariane-5. Le moteur sera maintenant démonté en vue d’une analyse approfondie. Certains de ses éléments, par exemple la tuyère, seront réexpédiés en Europe.
Franchissement d’une nouvelle étape dans le programme Vega
Le P80 est développé en tant que premier étage du lanceur Vega et démonstrateur technologique dans le cadre d’un programme spécifique de l’ASE géré par une équipe de projet intégrée pilotée par le CNES. Cette équipe de projet travaille avec une équipe industrielle pilotée par la société franco-italienne Europropulsion, qui s’est vu déléguer l’ensemble du développement par la société italienne Avio SpA. Parmi les principaux sous-traitants figurent la société belge SABCA (système de pilotage TVC), l’entreprise française Snecma Propulsion Solide (Tuyère) et le Néerlandais APP (allumeur).
Il est prévu de mener au total deux essais à feu pour le P80, le deuxième devant avoir lieu à la mi-2007. Des essais à feu supplémentaires du Zefiro 23, puis du Zefiro 9 – qui assureront respectivement la propulsion des deuxième et troisième étages de Vega – sont également programmés en 2007. L’essai qui vient d’être réalisé représente pour le programme Vega ainsi que pour les compétences européennes dans le domaine de la propulsion à poudre une avancée majeure qui s’ajoute à une série d’autres étapes clés franchies en 2006. Ce résultat témoigne de la maturité du programme et permet de procéder à la consolidation finale du calendrier des activités ultérieures, dans la perspective d’un vol inaugural en 2008.
Le lanceur Vega de l’ESA, destiné à la mise en orbite de petits satellites, comprend trois étages de propulsion à propergol solide ainsi qu’un module d’injection à ergols liquides développé avec le soutien de sept Etats membres de l’ESA (Italie, France, Belgique, Suisse, Espagne, Pays-Bas et Suède). La responsabilité du développement de ce lanceur a été confiée à ELV SpA, filiale commune d’Avio SpA et de l’Agence spatiale italienne (ASI).
Vega a été conçu pour placer une ou plusieurs charges utiles sur des orbites pouvant atteindre 1 500 km d’altitude. Si le scénario de référence prévoit l’injection d’une charge utile d’environ 1 500 kg sur une orbite circulaire héliosynchrone à 700 km d’altitude, Vega sera également en mesure d’emporter des satellites allant de 300 kilos à plus de 2 tonnes, ainsi que des microsatellites en tant que passagers secondaires. Cet éventail de capacités permettra de répondre à une multitude de besoins dans des domaines aussi divers que la télédétection, le suivi de l’environnement, les sciences de la Terre, la science spatiale, la recherche fondamentale, ou encore la recherche et la technologie concernant les futures applications et systèmes spatiaux. Une fois qualifié, le lanceur sera commercialisé et exploité par Arianespace au Centre spatial guyanais, aux côtés d’Ariane-5 et de Soyouz, avec pour débouché le marché des lancements de petits et moyens satellites.
Pour tout complément d’information, contacter : ESA – Bureau Relations avec les médias Tél. : +33(0)1.53.69.7155 Fax : +33(0)1.53.69.7690 | |
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| Sujet: Communiqué de presse N°41-2006 Ven 1 Déc - 1:37 | |
| Communiqué de presse N° 41-2006 Paris, le 30 novembre 2006
L’ISS accueillera bientôt l’astronaute suédois Christer Fuglesang
L’astronaute de l’ESA Christer Fuglesang sera bientôt le premier Suédois – et le premier Scandinave – à participer à un vol orbital. Dans la nuit du 7 au 8 décembre, il prendra place en qualité de spécialiste mission à bord de la navette Discovery (vol STS-116). Avec les six autres membres de l’équipage, il rejoindra la Station spatiale internationale (ISS) pour une mission qui a pour objectif d’intégrer un nouveau segment à l’ossature de la station et de raccorder le nouvel ensemble de panneaux solaires et de radiateurs au réseau électrique et de régulation thermique du complexe orbital.
Discovery décollera du Centre spatial Kennedy à Cap Canaveral (Floride) le 8 décembre à 3h36 heure de Paris (2h36 TU). Son amarrage à la station spatiale est prévu le 10 décembre à 0h00 heure de Paris (le 9 décembre à 23h00 TU).
Christer Fuglesang retrouvera alors son collègue allemand Thomas Reiter, qui fait partie de l’équipage actuel de la station depuis le 6 juillet dernier. C’est la première fois que deux astronautes de l’ESA seront réunis dans le cadre d’une même mission ISS. Ils regagneront la Terre ensemble à bord de Discovery.
A l’occasion de sa mission de 12 jours, Christer Fuglesang effectuera deux sorties dans l’espace sur les trois qui sont prévues.
Baptisée Celsius, en hommage au célèbre astronome suédois Anders Celsius (1701-1744), la mission de Christer Fuglesang consistera notamment à réaliser plusieurs expériences européennes dans le domaine de la physiologie humaine et de la dosimétrie des rayonnements ainsi que des expériences de type éducatif sur les mêmes sujets.
Avec Celsius, l’ESA confirme la place importante qu’elle occupe dans le programme ISS et dans l’assemblage de la station. D’autres astronautes de l’ESA s’entraînent d’ores et déjà pour les prochaines missions d’assemblage. Le prochain à partir, l’Italien Paolo Nespoli, participera au vol STS-120 qui acheminera l’élément de jonction européen n°2 vers l’ISS en septembre 2007. En octobre 2007, c’est l’Allemand Hans Schlegel qui rejoindra à son tour la station spatiale dans le cadre de la mission STS-122, destinée à la mise en orbite du laboratoire Columbus de l’ESA.
Des bulletins d’actualité, des informations générales sur la mission, ainsi que des images et des vodcasts sont disponibles en anglais et en suédois sur le portail internet de l’ESA http://www.esa.int/celsius
Le vol STS-116 étant programmé à une heure avancée de la nuit pour l’Europe, l’ESA ne compte pas organiser d’événement pour la presse dans ses centres opérationnels. Les séquences vidéo fournies en direct par la NASA seront accessibles sur le site de la mission Celsius de l’ESA http://www.esa.int/celsius
Le service de télévision de l’ESA (ESA-TV) assurera la retransmission du programme de télévision de la NASA du début du commentaire relatif à la mission (21h30 heure de Paris) jusqu’à la fermeture de l’écoutille (environ 1h30 heure de Paris), et reprendra la retransmission pour la chronologie finale et le lancement. Il proposera aussi un résumé des événements le 8 décembre à 5h30 heure de Paris.
ESA-TV assurera ensuite la couverture quotidienne de la mission en retransmettant à 9h00 heure de Paris les communiqués de la NASA récapitulant l’essentiel des informations du jour, et couvrira par ailleurs, à temps pour la préparation des journaux du matin, les deux sorties dans l’espace (EVA) de Christer Fuglesang.
Les caractéristiques des liaisons satellite et les horaires de transmission seront publiés sur le site http://television.esa.int le 4 décembre.
A l’occasion de la mission du premier astronaute suédois, l’ESA organise avec le Swedish National Space Board (SNSB) et la ville de Stockholm une manifestation spéciale dans le « Kulturhuset », SpaceCamp Stockholm, où seront présentées - du 7 au 20 décembre - une série d’activités ayant trait à la promotion de l’espace et de ses applications : expositions, conférences, ateliers, films etc. Un événement y sera organisé en direct à l’intention du grand public et des représentants des médias pendant le lancement de la navette Discovery.
Pour tout renseignement supplémentaire sur le SpaceCamp Stockholm, prière de contacter Rosita Suenson (Tél : +31 652 06 21 58 ).
Pendant la durée de la mission, vous pouvez joindre des représentants ESA en charge des relations avec les médias aux numéros suivants :
Stockholm, Kuluturhuset du 7-20 Décembre: Rosita Suenson Mob :+31 652 06 21 58
ESA au NASA Kennedy Space Center du 6-8 Décembre et du 18-20 Décembre: Franco Bonacina Mob :+33 6 08 74 61 09
ESA au NASA Johnson Spaceflight Center à partir du 9 Décembre jusqu’à l’atterrissage : Clare Mattok Mob : +33 6 75 69 58 63 | |
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| Sujet: Re: ESA - les news de l'Espace (2006) Mar 24 Oct - 14:54 | |
| N° 39-2006 – Paris, le 23 octobre 2006
L’astronaute de l’ESA Christer Fuglesang prépare son départ pour l’ISS sur le prochain vol de la navette spatiale. Ouverture de la procédure d’accréditation des journalistes pour l’accès aux sites de la NASA.
L’astronaute de l’ESA Christer Fuglesang, de nationalité suédoise, fera partie de l’équipage du prochain vol de la navette spatiale Discovery (STS-116), qui doit décoller dans la nuit du 7 au 8 décembre à 1h38 GMT (2h38 heure de Paris). Premier astronaute scandinave appelé à rallier la Station spatiale internationale (ISS), Christer Fuglesang se soumet actuellement à un entraînement intensif au Centre spatial Johnson de la NASA, à Houston.
Ce vol aux objectifs ambitieux marque le démarrage d’une série de missions complexes destinées à terminer l’assemblage de la station spatiale. Deux jours après son lancement, Discovery s’amarrera à l’ISS et les sept membres de son équipage pénétreront dans la station. Ils y seront accueillis par les occupants actuels de la station (14e équipage permanent), parmi lesquels l’astronaute de l’ESA Thomas Reiter, de nationalité allemande, qui se trouve à bord de l’ISS depuis juillet. La mission STS-116 a pour principaux objectifs d’intégrer la poutre P5 à l’ossature de la station et d’assurer le raccordement électrique de deux grands panneaux solaires qui se trouvent à bord de la station depuis septembre dernier. Ces panneaux assureront en permanence l’alimentation en énergie de l’ISS, qui fonctionnait sur un dispositif d’alimentation temporaire depuis sa mise en orbite en 1998. Pendant cette mission de douze jours, Christer Fuglesang et son homologue de la NASA Robert Curbeam effectueront deux sorties dans l’espace (EVA). Ils procéderont pendant la première EVA à l’installation de l’élément P5 et pendant la deuxième au recâblage de la moitié de la station. L’autre moitié de la station sera recâblée au cours de la troisième EVA, réalisée par Robert Curbeam et Sunita Williams. Pour les opérations de recâblage, les astronautes vêtus de leur combinaison EVA quitteront l’ISS et attendront que l’équipe de contrôle de la mission coupe le courant de la station. Après avoir obtenu le feu vert, ils déconnecteront les câbles existants et les reconnecteront à d’autres endroits de la station.
La mission de Christer Fuglesang a été baptisée Celsius, en hommage à Anders Celsius, célèbre astronome suédois du dix-huitième siècle à qui nous devons l’invention du thermomètre et dont les travaux ont eu une influence considérable sur ses contemporains, à l’image des répercussions de la conquête spatiale sur notre vie quotidienne.
A l’issue de sa mission, Christer Fuglesang rejoindra la Terre en compagnie de Thomas Reiter, qui aura alors terminé un séjour de six mois dans l’espace au titre de la mission Astrolab.
La navette atterrira au Centre spatial Kennedy au plus tôt le 18 décembre à 22h04 GMT (23h04 heure de Paris).
Accréditation des journalistes dans le cadre de cette mission La NASA a ouvert la procédure d’accréditation des représentants des médias souhaitant couvrir le vol STS-116. Tous les journalistes, qu’ils soient américains ou étrangers, doivent demander une accréditation pour pouvoir assister au lancement au Centre spatial Kennedy (Floride). Ils peuvent avoir à soumettre des demandes auprès de plusieurs centres de la NASA.
Centre spatial Kennedy (KSC - Floride) Les demandes peuvent être soumises en ligne à l’adresse suivante : https://media.ksc.nasa.gov
Elles doivent être envoyées à partir d’adresses électroniques professionnelles et non personnelles. Une fois l’accréditation approuvée, les journalistes recevront une confirmation par courrier électronique. Les journalistes accrédités pourront assister aux activités de répétition générale du lancement - ce qu’il est convenu d’appeler le Terminal Countdown Demonstration Test, ou TCDT, qui aura lieu du 13 au 16 novembre – ainsi qu’aux événements entourant ce lancement. Le laissez-passer de la mission STS-116 sera accepté dans les deux cas. La date limite de dépôt des demandes, applicable à tous les médias, est fixée au 6 novembre pour le TCDT et au 27 novembre pour les seuls événements de la « semaine de lancement ».
Les journalistes qui auraient des besoins logistiques particuliers (place de stationnement pour un studio mobile de production, connexions électriques, postes de travail en salle de presse, etc.) sont priés de contacter Laurel Lichtenberger (laurel.a.lichtenberger@nasa.gov) d’ici au 30 novembre.
L’espace de travail sera attribué selon l’ordre d’arrivée des demandes et dans la limite des disponibilités. Les journalistes souhaitant l’installation d’une ligne temporaire de téléphone, télécopie, ISDN ou Internet doivent prendre contact avec la compagnie BellSouth au numéro suivant : +1.865.694.2480. Ils doivent préalablement disposer d’un siège attribué dans la salle de presse du KSC. De plus, l’accès à toutes les zones du KSC nécessite d’être accompagné d’un représentant des relations publiques de la NASA, sauf pour la cafétéria du Complexe de lancement 39.
Les accréditations délivrées pour le KSC seront également valables, pendant toute la durée de la mission STS-116, au Centre spatial Johnson de la NASA (Houston) et au Dryden Flight Research Center (Edwards Air Force Base, Californie). Il n’en sera pas moins nécessaire de contacter le service Relations publiques de la NASA à Dryden pour obtenir l’accès à la base Edwards.
Centre spatial Johnson (JSC - Houston, Texas) Les représentants des médias pourront y accéder avec une accréditation du KSC pour la mission STS-116 ou demander une accréditation propre au JSC en contactant le service de presse au numéro suivant : +1.281.483.5111. Ceux qui prévoient de ne couvrir la mission qu’à partir du JSC doivent adresser leur demande d’accréditation uniquement à ce centre.
La date limite de dépôt des demandes d’accréditation a été fixée au 14 novembre pour les représentants des médias non américains, toutes nationalités confondues, et au 1er décembre pour les représentants des médias américains qui sont ressortissants des Etats-Unis.
Les journalistes qui comptent couvrir la mission à partir du JSC en étant munis d’accréditations du KSC doivent contacter le service de presse d’ici le 1er décembre pour convenir des dispositions logistiques, notamment en ce qui concerne les postes de travail ou les lignes téléphoniques. Si la navette doit finalement atterrir sur la base de White Sands, au Nouveau Mexique, c’est également le JSC qui prendra en charge les formalités d’accréditation.
Dryden Flight Research Center (Californie)
La décision peut être prise au dernier moment de faire atterrir la navette à Dryden. Les médias devraient envisager de demander une accréditation pour leurs représentants basés à Los Angeles et qui seraient en mesure de se rendre rapidement à Dryden.
Les demandes d’accréditation pour ce centre doivent être adressées au service des relations publiques de Dryden d’ici le 8 novembre pour les représentants des médias non américains, toutes nationalités confondues, et d’ici le 11 décembre pour les représentants des médias qui sont citoyens des Etats-Unis.
Les représentants des médias étrangers, quelle que soit leur nationalité, devront préciser leurs nom et prénom complets, leurs date et lieu de naissance, le nom de l’organe de presse qu’ils représentent, le numéro et le lieu de délivrance de leur permis de conduire, leur nationalité, le numéro et la date d'expiration de leur visa ou passeport, ainsi que le numéro et la date d’expiration de leur titre de séjour s'ils sont résidents étrangers.
Les demandes d’accréditation à Dryden doivent être envoyées par fax sur du papier à en-tête professionnel au numéro suivant : +1.661-276-3566. Les représentants des médias qui se sont déjà rendus à Dryden au cours de l’année passée peuvent adresser leur demande par courrier électronique (pao@dfrc.nasa.gov). Chaque demande doit impérativement comporter un numéro de téléphone et une adresse électronique professionnelle.
Les accréditations sont strictement nominatives.
Pour tout complément d’information, veuillez contacter : NASA – Service relations publiques Centre spatial Kennedy : Jessica Rye, +1.321.867.2468 Centre spatial Johnson : James Hartsfield, +1.281.483.5111 Centre Dryden : Leslie Williams, +1.661.276.3893 Pour plus d’informations sur la mission STS-116 et son équipage, consulter le site : http://www.nasa.gov/shuttle
Pour en savoir plus sur Christer Fuglesang et le Corps des astronautes européens : http://www.esa.int/esaHS/eurastronauts.html
Pour tout complément d’information sur l’ESA : http://www.esa.int
ESA – Bureau Relations avec les médias Téléphone : +33(0)1.53.69.77.13 Fax : +33(0)1.53.69.76.90 Courriel : media@esa.int | |
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| Sujet: lancement de MetOp au siège de l’ESA Sam 7 Oct - 3:07 | |
| Paris, le 6 octobre 2006
Le lancement du premier satellite météorologique européen sur orbite polaire, MetOp-A est maintenant prévu pour le Mardi 17 octobre depuis Baïkonour (Kazakhstan) à bord d’un lanceur russe Soyouz ST/Frégate opéré par Starsem. Le décollage est prévu à 18h28 heure de Paris et la confirmation de la séparation aux environs de 20h30 .
Une retransmission en direct du lancement aura lieu au Siège de l’ESA à Paris (8/10, rue Mario Nikis). Le programme débutera à 17h45 et se terminera aux environs de 20h40. L’accueil se fera à partir de 16h30.
Les journalistes souhaitant participer à cet événement sont invités à remplir le formulaire ci-joint et le retourner soit par fax (01.53.69.76.90) soit par e-mail : (anne-marie.remondin@esa.int).
Pour plus d’informations, veuillez contacter : ESA, Bureau des Relations avec les médias Tel : +33(0)1.53.69.7155 Fax : +33(0)1.53.69.7690
MetOP launch – Tuesday 17 October 2006 Videotransmission at ESA HQ – 8/10, Rue Mario Nikis - PARIS
Surname.……………………………………………First name…………………………………
Media……………………………………………………………………………………………
Business address………………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………………………. Telephone…………………………………………..Fax…………………………………………
Mobile………………………………………………e-mail…………………………….………
( ) will attend the videotransmission of the launch at ESA/HQ
( ) will not attend
Please return by fax to: Anne-Marie Rémondin ESA Media Relations - Paris Tel: +33.(0)1.5369. 7155 Fax: +33.(0)1.5369.7690 e-mail: anne-marie.remondin@esa.int | |
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| Sujet: Re: ESA - les news de l'Espace (2006) Mar 29 Aoû - 19:59 | |
| Paris, le 28 août 2006 L’Europe redécouvre la lune grâce à SMART-1 Conférence de presse le lundi 4 septembre Tôt le matin du 3 septembre 2006, la mission d’exploration du satellite SMART-1 de l’Agence spatiale européenne prendra fin en atterrissant dans une zone baptisée le «Lac de l’Excellence », située au milieu de la région méridionale de la face visible de la Lune. Les derniers instants qui précèderont cet impact seront suivis par les contrôleurs de l’ESA (ESOC), situé à Darmstasdt, Allemagne. Le lundi 4 septembre une conférence de presse au cours de laquelle seront exposés les premiers résultats de l’impact sera organisée à l’ESA/ESOC et sera retransmise au Siège de l’Agence (programme ci-joint). Les journalistes souhaitant assister à la retransmission de cette conférence de presse sont priés de bien vouloir compléter le formulaire d’accréditation ci-joint et de le retourner par fax (01.53.69.76.90) ou par e-mail (anne-marie.remondin@esa.int) au plus tard le jeudi 31 août. Pour tout complément d’information, veuillez contacter : ESA, Service des Relations avec les médias Tel : +33(0)1.53.69.7155 Fax : +33(0)1.53.69.7690 Impact de SMART-1 sur la Lune PROGRAMME Lundi 4 septembre 2006 : Conférence de presse récapitulative sur la mission SMART-1 Horaires d’ouverture aux médias : 10h30 11h00 – Accueil à l’ESA/ESOC par Gaele Winters, Directeur des Opérations ; Introduction par David Southwood, Directeur du Programme scientifique de l’ESA ; 11h05 – Opérations en vol, opérations au sol et impact sur la Lune, Octavio Camino, ESA ; 11h15 – Résultats technologiques du satellite, importance de la propulsion hélio-électrique, Giorgio Saccoccia, ESA ; 11h20 – Science lunaire : - présentation de la mission scientifique, Bernard Foing, ESA - imagerie lunaire, Jean-Luc Josset (responsable de recherche de l’expérience AMIE) - la Lune dans le rayonnement X - minéralogie, Manuel Grande (responsable de recherche de D-CIXS) - campagne d’observations au sol, Pascale Ehrenfreund, Observatoire de Leyde 11h50 – Conclusion : contribution aux futures missions lunaires, coopération internationale avec l’Inde et la Chine, Gerhard Schwehm, ESA ; 11h55 – Questions/Réponses animées par Jocelyne Landeau-Constantin, ESA. FORMULAIRE DE DEMANDE D’ACCREDITATION Impact de SMART-1 sur la Lune Retransmission de la Conférence de Presse au siège de l’ESA 8/10, rue Mario Nikis – 75015- PARIS Prénom : ___________________ Nom : ______________________ Média : _________________________________________________ Adresse : _______________________________________________ ________________________________________________________ Tél. : _______________________ Fax : ________________________ Mobile : ___________________ E-mail : ________________________ ( ) J’assisterai à la retransmission au siège de l’ESA ( ) Je n’assisterai pas Veuillez retourner ce formulaire à : Anne-Marie Rémondin Fax : 01.53.69.76.90 E-mail : anne-marie.remondin@esa.int | |
| | | sumer
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| Sujet: Re: ESA - les news de l'Espace (2006) Sam 19 Aoû - 16:36 | |
| Tite mini nouvelle--> Navette spatiale
C'est reparti Mise à jour le mercredi 16 août 2006 à 17 h 12 La NASA a confirmé mercredi qu'elle prévoyait lancer la navette spatiale Atlantis le 27 août prochain. La mission STS-115 marquera la reprise de l'assemblage de la Station spatiale internationale, interrompu depuis l'accident de Columbia le 1er février 2003. La NASA a pris la décision après deux jours de tests et de révision de l'orbiteur. Six astronautes, dont un Canadien, participeront à cette mission. Depuis la désintégration de Columbia, la NASA a procédé à deux lancements de Discovery, mais les missions avaient pour principal objectif de tester de nouvelles règles de sécurité. http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Science-Sante/2006/08/16/006-navette-SSI-Atlantis.shtml | |
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| Sujet: L’Europe redécouvre la Lune grâce à SMART-1 Mer 16 Aoû - 13:31 | |
| N° 30-2006 – Paris le 16 août 2006 L’Europe redécouvre la Lune grâce à SMART-1 L’Europe peut désormais dire qu’elle aussi est allée sur la Lune. Si vous observez attentivement l’astre lunaire tôt le matin du 3 septembre (aux environs de 07h40 heure de Paris, selon les prévisions actuelles), il se pourrait que vous aperceviez un satellite européen percuter sa surface. L’histoire a débuté en septembre 2003, lorsqu’un lanceur Ariane-5 a décollé de Kourou, en Guyane française, pour placer la sonde lunaire SMART-1 de l’Agence spatiale européenne sur une orbite terrestre. Cette sonde automatique de petite taille pèse 366 kg et ressemble à un cube d'un mètre de côté, si l'on ne tient pas compte de ses panneaux solaires de 14 mètres d'envergure (repliés pendant la phase de lancement). Après le lancement puis l’injection sur une orbite terrestre basse, la poussée, faible mais constante, fournie par le moteur à propulsion électrique très innovant de SMART-1, qui expulse des ions de gaz xénon sous forte pression, a donné à la sonde une trajectoire en spirale autour de la Terre, afin qu’elle s’en éloigne de plus en plus, jusqu’à être capturée par la gravité lunaire, après un long périple d’environ 14 mois. Pour couvrir les 385 000 kilomètres qui séparent la Terre de la Lune en ligne droite, la sonde a parcouru 100 millions de kilomètres en ne consommant que 50 litres de carburant grâce à son moteur remarquablement performant ! Après avoir été capturée par le champ gravitationnel lunaire en novembre 2004, la sonde a suivi une orbite elliptique autour des pôles de la Lune et a pu débuter sa mission scientifique. SMART-1 est, à l'heure actuelle, le seul satellite en orbite autour de la Lune, ouvrant la voie à la flotte de sondes lunaires internationales qui seront lancées à partir de 2007. L’histoire touche désormais à sa fin. Dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 septembre, vous pourrez peut-être, avec un télescope suffisamment puissant, assister à un événement tout à fait exceptionnel. En effet, comme la plupart de ses prédécesseurs, SMART-1 terminera son voyage et son activité d’exploration lunaire en atterrissant de façon quelque peu brutale dans une zone baptisée le « Lac de l’Excellence », située au milieu de la région méridionale de la face visible de la Lune, à 07h41 heure de Paris (05h41 UTC). L’épilogue est proche Après 16 mois d’activité scientifique en orbite elliptique autour des pôles lunaires (à une distance variant entre 300 et 10 000 km), la mission touche à sa fin. La sonde, qui est désormais à moins de 300 km de la surface de la Lune, va observer de plus près des cibles bien définies, avant de s’y poser, de façon contrôlée (du moins en ce qui concerne le lieu et l'heure), et de mettre un terme à sa carrière. SMART-1 heurtera la Lune à faible vitesse (2 km/s) et creusera un cratère mesurant 5 à 10 m de diamètre et environ un mètre de profondeur, comparable à celui créé par une météorite de 2 kg sur une surface déjà très marquée par les impacts naturels. Les derniers instants qui précèderont cet impact seront suivis avec la plus grande attention par les contrôleurs de la mission depuis le centre de contrôle de l’ESA (ESOC), situé à Darmstadt, près de Francfort (Allemagne). Dernières étapes de l’exploitation en vol de SMART-1 En juin et juillet, les contrôleurs de la mission SMART-1 de l’ESOC ont procédé à une série de mises à feu du propulseur, destinée à optimiser l’heure et le lieu de l’impact du satellite. Par le passé, on a choisi, dans de nombreux cas, de mettre fin à des missions en provoquant un impact, ce qui permet en outre de collecter des informations scientifiques sur les effets qui en résultent. Les manœuvres et changements apportés à la vitesse ont modifié le lieu et l’heure de cet impact, qui aurait dû se produire à la mi-août sur la face cachée de la Lune ; il est désormais prévu sur la face visible et les meilleures estimations actuelles indiquent qu'il devrait avoir lieu à 07h41 heure de Paris (05h41 UTC) le dimanche 3 septembre. « Les contrôleurs de la mission et les ingénieurs en dynamique des vols ont analysé les résultats de la campagne de manœuvres afin de confirmer et d’affiner cette estimation », explique Octavio Camino-Ramos, Responsable de la conduite des opérations du satellite SMART-1 à l’ESA/ESOC. « D’importantes manœuvres d’ajustement sont prévues le 25 août, qui pourraient encore modifier l’heure définitive de l’impact, ainsi que d’ultimes manœuvres dans la nuit du 1er au 2 septembre », ajoute-t-il. De grands télescopes au sol, utilisés avant et pendant l'impact, permettront de faire des observations, avec plusieurs objectifs : - étudier la physique de l’impact (matériaux éjectés, masse, dynamique et énergie) ; - étudier la chimie de la surface lunaire en analysant le rayonnement spécifique (le « spectre ») émis par les matériaux éjectés ; - contribuer à l’évaluation technologique de la mission : étudier le comportement du véhicule dans ces circonstances permettra de mieux préparer de futures expériences d’impact (par exemple, pour des satellites destinés à intercepter des météorites menaçant la Terre). Présentation aux médias le 3 septembre, grande conférence de presse le 4 septembre Les représentants des médias souhaitant participer à cet événement à l’ESOC et partager l’enthousiasme des spécialistes et des scientifiques qui seront disponibles pour des entretiens tôt le matin du 3 septembre, ou souhaitant assister à la conférence de presse du lundi 4 septembre au cours de laquelle seront exposés les premiers résultats de l’impact, sont invités à compléter le formulaire de demande d’accréditation ci-joint et à le retourner par fax au Bureau Communication de l’ESOC avant le jeudi 31 août. Note aux rédactions Pourquoi SMART-1 est-il si exceptionnel ? Le satellite SMART-1 comporte des équipements de haute technologie et des instruments scientifiques de pointe. Son moteur ionique, par exemple, fonctionne en expulsant de manière continue un faisceau de particules chargées, ou « ions », qui produisent une poussée propulsant le satellite vers l’avant. L’énergie nécessaire pour alimenter le moteur est fournie par des panneaux solaires, d’où le qualificatif « hélioélectrique » utilisé pour ce mode de propulsion. Ce moteur génère ainsi une impulsion très douce qui déplace le véhicule de manière relativement lente : SMART-1 accélère d’à peine 0,2 mm/s2, poussée équivalente au poids d’une carte postale. Pour toutes ces raisons, le voyage de SMART-1 vers la Lune n’a été ni rapide ni direct. L’ESA souhaitait en effet tester pour la première fois la propulsion électrique au cours d’une mission comparable à un voyage interplanétaire. Après son lancement, le satellite s’est placé sur une orbite elliptique autour de la Terre. Il a ensuite allumé son moteur ionique pour élargir graduellement son orbite elliptique et se diriger vers le plan orbital lunaire selon une trajectoire en spirale. Mois après mois, SMART-1 s’est ainsi rapproché de la Lune. Sa trajectoire en spirale l’a entraîné dans un périple de plus de 100 millions de kilomètres, alors que la Lune n’est distante de la Terre, en ligne droite, que de 350 000 à 400 000 km ! En approchant de sa destination, SMART-1 a commencé à utiliser la gravité lunaire afin de se mettre en position d’être capturé par le champ gravitationnel de la Lune, ce qui s’est produit en novembre 2004. Après sa capture, SMART-1 a commencé à suivre une trajectoire en spirale pour atteindre, en janvier 2005, son orbite polaire elliptique opérationnelle finale, avec un périlune (distance la plus proche de la surface lunaire) à 300 km et un apolune (distance la plus éloignée) à 3 000 km, ce qui lui a permis d’entamer sa mission d’exploration scientifique. Qu’y avait-il à apprendre de nouveau ? Malgré le grand nombre de véhicules spatiaux qui ont exploré la Lune, bien des questions scientifiques concernant notre satellite naturel sont demeurées sans réponse, comme celles qui portent sur l’origine de la Lune et son évolution, notamment les phénomènes qui façonnent les corps célestes rocheux (tectonique, volcanisme, impacts, érosion,…). Grâce à SMART-1, les scientifiques européens et du monde entier disposent aujourd’hui d’images de la surface de la Lune présentant une résolution encore jamais obtenue depuis une orbite lunaire, et peuvent ainsi également améliorer leurs connaissances des minéraux lunaires. Pour la première fois, ils ont pu détecter du calcium et du magnésium au moyen d’un instrument fonctionnant dans le rayonnement X. Ils ont mesuré les différences de composition du sol au niveau des pics centraux des cratères, des plaines volcaniques et des gigantesques bassins d’impact. SMART-1 a également étudié des cratères d’impact, des éléments du relief volcanique et des tubes de lave, sans oublier les régions polaires. De plus, la sonde a découvert, à proximité du pôle nord, une zone éclairée en permanence par le Soleil, même en hiver. Le survol des pôles de la Lune a permis à SMART-1 de cartographier l’ensemble de la surface lunaire, y compris celle, moins connue, de sa face cachée. Les pôles présentent un intérêt particulier pour les chercheurs car ils demeurent relativement inexplorés. De plus, certaines formations des régions polaires ont une histoire géologique différente de celle des régions équatoriales, qui ont été davantage étudiées car c’est là où se sont posés tous les atterrisseurs lunaires précédents. Grâce à SMART-1, l’Europe joue un rôle actif dans la mise en place du futur programme international d’exploration lunaire et y apporte une importante contribution par l’intermédiaire des données collectées au cours de la mission. Ces données ainsi que l’expérience acquise contribuent également à la préparation de futures missions lunaires, comme le projet indien Chandrayaan-1, qui réutilisera les spectromètres dans l’infrarouge et le rayonnement X de SMART-1. SMART-1 est équipé d’instruments entièrement nouveaux, jamais utilisés à proximité de la Lune. Il s’agit notamment d’une caméra miniaturisée et de spectromètres dans l’infrarouge et le rayonnement X, destinés à mieux observer et à étudier la Lune. Les panneaux solaires de SMART-1 utilisent des photopiles à l’arséniure de gallium, qui ont été préférées aux photopiles traditionnelles au silicium. OBAN, l’une des expériences embarquées, a servi à tester un nouveau système de navigation qui permettra à de futurs véhicules spatiaux de naviguer de manière autonome, sans intervention des installations de contrôle au sol. Les instruments et les techniques expérimentés à bord de SMART-1 pour étudier la Lune faciliteront ultérieurement la mission BepiColombo de l’ESA, qui ira explorer la planète Mercure. Pour tout complément d’information, veuillez contacter : ESA - Service Relations avec les médias Tél. : +33 1 53.69 7155 Fax : +33 1 53.69 7296 Les questions sont à adresser à : media@esa.int Pour plus d’information sur les événements se déroulant à l’ESOC, veuillez contacter : Jocelyne Landeau-Constantin Chef du Bureau de la Communication ESA/ESOC Darmstadt, Allemagne : Tél. + 49 6151 90 26 96 / email : jlc@esa.int Impact de SMART-1 sur la Lune – ESA/ESOC Darmstadt Robert Bosch Strasse 5, Darmstadt, Allemagne a) Dimanche 3 septembre 2006 b) Lundi 4 septembre 2006 Prénom : ___________________ Nom : Média : Adresse : Tél. : _______________________ Fax : Mobile : ___________________ E-mail : J’assisterai aux événements suivants : (Remarque : les horaires sont susceptibles d’être modifiés suite à d’importantes manœuvres de SMART-1 le 25 août. Merci de consulter les toutes dernières informations à cette adresse : www.esa.int/smart1) ( ) Dimanche 3 septembre 2006 : Suivi de l’impact de SMART-1 sur la Lune Horaires d’ouverture aux medias : de 06h00 à 10h00 06h30 – 09h00 : Présentation à la presse des toutes dernières opérations de vol ; possibilité de suivre en direct les activités de télémesure de SMART-1, juste avant l’impact dont l’heure estimée est 07h41 heure de Paris. Cette présentation aura lieu dans la salle de contrôle principale de l’ESOC, en présence d’experts scientifiques et de spécialistes européens de la conduite des missions. ( ) Lundi 4 septembre 2006:Conférence de presse récapitulative sur la mission SMART-1 Horaires d’ouverture aux médias : 10h00 – 13h00 / Conférence de presse : 11h00 - 12h00 11h00 – Introduction par David Southwood, Directeur du Programme scientifique de l’ESA ; 11h00 – Présentation de la mission (exploitation) et de l’impact sur la Lune, par Octavio Camino, ESA ; 11h15 – Résultats technologiques, notamment ceux des instruments scientifiques miniaturisés, par G. Saccoccia, ESA ; 11h20 – Science lunaire : - présentation de la mission scientifique, par B. Foing, ESA - imagerie lunaire, par J.L. Josset (responsable de recherche de l’expérience AMIE) - la Lune dans le rayonnement X - minéralogie, par M. Grande (responsable de recherche de D-CIXS) - observations combinées SMART-1 et sol, par P. Ehrenfreud, Observatoire de Leyde 11h50 – Conclusion : contribution de SMART-1 aux futures missions lunaires, par M. Coradini, ESA ; 11h55 – Questions/Réponses. Veuillez retourner ce formulaire par fax à : Jocelyne Landeau-Constantin Tél. : +49.6151.902.696 Fax : +49.6151.902.961 Email : jlc@esa.int | |
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| Sujet: - Au service des télécommunications civiles et militaires - Lun 7 Aoû - 16:13 | |
| Pour son 3e lancement de l'année, Arianespace mettra sur une orbite de transfert géostationnaire le satellite de télécommunications JCSAT-10 pour l'opérateur japonais JSAT Corporation et le satellite de télécommunications spatiales SYRACUSE 3B pour le Ministère français de la Défense. Fenêtre de lancement : GMT : De 22h15 à 23h52 le 11 août 2006. PARIS : De 00h15 à 01h52 le 12 août 2006. WASHINGTON : De 18h15 à 19h52 le 11 août 2006. KOUROU : De 19h15 à 20h52 le 11 août 2006. TOKYO : De 07h15 à 08h52 le 12 août 2006. Suivez le lancement en direct sur Internet : http://www.videocorner.tv/index.php?langue=fr (Diffusion à partir de H-20 mn). Des flux aux formats RealMedia et WindowsMedia seront disponibles
------------------------------------------------------- - A mission for civil and military communications - Arianespace will be sending two satellites into geostationary transfer orbit on its third mission of the year: the JCSAT-10 communications satellite for Japanese operator JSAT Corporation, and the Syracuse 3B communications satellite for the French Ministry of Defense. Launch window: GMT: Between 10:15pm and 11:52pm on August 11, 2006. PARIS: Between 00:15am and 01:52am on August 12, 2006. WASHINGTON: Between 06:15pm and 07:52pm on August 11, 2006. KOUROU: Between 07:15pm and 08:52pm on August 11, 2006. TOKYO: Between 07:15am and 08:52am on August 12, 2006. Follow the launch live on the internet: http://www.videocorner.tv/index.php?langue=en (Starting 20 minutes before lift-off). Video streaming will be available in RealMedia and WindowsMedia formats | |
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| Sujet: Communiqué de presse N° 29-2006 Ven 28 Juil - 14:47 | |
| Paris, le 28 juillet 2006
Station spatiale internationale : sortie dans l’espace pour l’astronaute de l’ESA Thomas Reiter le 3 août
Le 3 août à 15h55 (heure de Paris), l’astronaute de l’ESA Thomas Reiter sortira de la Station spatiale internationale (ISS) afin d’effectuer des activités extra-véhiculaires (EVA), autrement dit une « sortie dans l’espace ». Durant six heures et demie passées hors de l’ISS, lui et Jeff Williams, de la NASA, installeront du matériel destiné à préparer de futures activités d’assemblage de l’ISS et entameront le déploiement d’un certain nombre d’instruments et d’expériences à l’extérieur de la Station. Il s’agira de sa troisième sortie spatiale après ses deux précédentes EVA réalisées lors de la mission Euromir 95 en 1995.
Grâce à la réussite de la mission STS-121 de la Navette spatiale Discovery début juillet et à l’arrivée de Thomas Reiter à bord de la Station spatiale internationale, celle-ci abrite de nouveau un équipage de trois astronautes pour la première fois depuis mai 2003. Le commandant russe Pavel Vinogradov et le scientifique Jeff Williams de la NASA constituent avec Thomas Reiter les membres de ce 13e équipage permanent.
Cet équipage doit consacrer un temps considérable aux activités de maintenance et d’exploitation de la Station. Depuis que la Navette Discovery a quitté l’ISS le 15 juillet, il exécute également des expériences dans des domaines aussi différents que les sciences de la vie appliquées à l’homme, les sciences physiques ou l’observation de la Terre et réalise des démonstrations à des fins éducatives et technologiques.
Les activités d’assemblage de la Station comprendront la préparation de l’extension de la poutre maîtresse de l’ISS et de l’installation de panneaux solaires supplémentaires. STS-115, la prochaine mission de Navette, qui doit avoir lieu au cours du séjour de ce 13e équipage permanent, donnera le signal du redémarrage des activités majeures d’assemblage de la Station. Les équipages de la Navette et de la station travailleront ensemble pour ajouter des éléments à la structure en treillis de l’ISS. Fin août, Pavel Vinogradov et Jeff Williams seront remplacés par Michael Lopez-Alegria (commandant) et Mikhaïl Tiourine (ingénieur de bord), qui arriveront à bord d’une capsule Soyouz pour former avec Thomas Reiter le 14e équipage de la station. Ce dernier verra l’arrivée de deux vaisseaux cargo russes automatiques Progress et celle de la mission STS-116 qui amènera à bord l’astronaute suédois de l’ESA Christer Fuglesang.
Pendant le séjour de Thomas Reiter, l’équipage doit réaliser deux sorties dans l’espace – l’une à l’initiative des États-Unis et l’autre conduite par le cosmonaute russe – en vue de préparer l’installation de nouveaux éléments à l’extérieur de la Station ainsi que la mise en œuvre d’expériences scientifiques externes.
La première des deux sorties, qui aura lieu le jeudi 3 août de 15h55 à 22h15 (heure de Paris), sera effectuée par Thomas Reiter et Jeff Williams. Ils porteront des combinaisons américaines, blanc uni pour T. Reiter (EV2) et à rayures rouges pour J. Williams (EV1).
Dans le cadre de leurs activités extra-véhiculaires, les astronautes installeront des équipements extérieurs, tels que l’unité de mesure des variations du potentiel électrique (FPMU), destinée à surveiller la charge électrique de l’ISS afin d’offrir une meilleure sécurité lors des opérations de rendez-vous et d’amarrage et des activités extra-véhiculaires. Ils mettront également en place deux expériences sur les matériaux (MISSE 3 et 4). T. Reiter et J. Williams prépareront certains éléments de la poutre de la Station en vue des futures activités d’assemblage par l’installation d’une commande motorisée sur le joint rotatif du radiateur thermique et par le déploiement de la nouvelle caméra infrarouge utilisée pour les EVA, qui doit surveiller l’état des éléments critiques en carbone-carbone renforcé.
La première demi-heure de l’EVA constitue une phase préparatoire, consacrée à la dépressurisation du sas, à la sortie hors de l’ISS et à des tâches de réglage. Commencera ensuite l’installation de la FPMU, qui devrait durer environ deux heures, suivie par la mise en place des MISSE 3 et 4, qui nécessitera à peu près une heure. Puis il faudra procéder à l’installation de la commande motorisée sur le joint rotatif du radiateur thermique, à l’inspection du radiateur et à la mise en place de la caméra infrarouge pour les EVA, ce qui devrait prendre environ deux heures. La dernière demi-heure de l’emploi du temps est consacrée aux activités de rangement et à la rentrée des astronautes.
Ces derniers jours, T. Reiter et J. Williams ont préparé activement leur sortie dans l’espace, apprenant à nettoyer les circuits de refroidissement du sas de sortie Quest et des combinaisons ainsi qu’à configurer les systèmes du sas et l’ensemble de leurs instruments, parmi lesquels un pistolet de serrage programmable – clé/tournevis à batterie avec plusieurs têtes interchangeables permettant de fixer les unités remplaçables en orbite et autres éléments. Ils disposent également de câbles rétractables et ajustables, d’un sac leur permettant de récupérer les déchets et d’un dispositif spécial destiné à placer et à maintenir l’astronaute dans la position voulue pendant le temps de l’intervention. Les astronautes se sont également entraînés à l’utilisation du bras télémanipulateur (Canadarm 2).
Cette sortie dans l’espace prépare les travaux ultérieurs d’assemblage et de reconfiguration à mener sur les systèmes d’alimentation électrique de la Station dans le cadre des missions STS-115 et 116 de la Navette spatiale, prévues pour août/septembre et décembre, qui emporteront vers l’ISS des panneaux solaires et des équipements électriques supplémentaires.
Comment suivre l’événement
La sortie dans l’espace sera retransmise en direct au Centre de contrôle Colombus, dans les locaux du Centre aérospatial allemand (DLR), situé à Oberpfaffenhofen, près de Munich. Des astronautes de l’ESA et des spécialistes missions répondront à vos questions pendant toute la durée de la retransmission.
Les représentants des médias qui souhaitent se rendre en Allemagne pour suivre cet événement sont invités à remplir le formulaire d’accréditation ci-joint.
La sortie dans l’espace sera également retransmise sur internet.
Un blog (anglais/allemand) en ligne tenu par l’ESA et le DLR offrira une couverture en temps réel des activités de Thomas Reiter pendant les 6h30 qu’il passera en-dehors de l’ISS. Les auteurs alimenteront le blog depuis le Centre de contrôle, aux côtés de l’ancien astronaute de l’ESA Reinhold Ewald, avec des images et des commentaires sans cesse actualisés sur les activités en cours ainsi que des informations sur les coulisses de l’événement et des renseignements complémentaires sur les technologies en œuvre.
Les blogs seront accessibles à partir du 2 août aux adresses suivantes : http://www.esa.int/evablog_en (anglais) http://www.esa.int/evablog_de (allemand)
L’événement sera également couvert en direct par NASA TV : http://www.nasa.gov/multimedia/nasatv/index.html
Note aux rédactions
Thomas Reiter est le premier astronaute qui ne soit ni américain ni russe à s’intégrer dans un équipage permanent de l’ISS. Il sera suivi ultérieurement par d’autres astronautes de l’ESA, du Japon ou du Canada. En tant qu’ingénieur de vol, il est chargé de tâches vitales concernant le guidage et le pilotage de l’ISS, la régulation d’ambiance et le soutien vie, l’alimentation en énergie et les communications, la santé et la sécurité de l’équipage, ainsi que les activités extra-véhiculaires. Le 3 août, il deviendra le premier astronaute de l’ESA à avoir effectué une sortie dans l’espace depuis l’ISS – domaine dans lequel il possède d’ailleurs une solide expérience puisqu’il a déjà réalisé deux EVA pendant les six mois qu’a duré la mission EuroMir en 1995.
En septembre, Vinogradov et Williams retourneront sur Terre ; ils seront remplacés par le commandant Michael Lopez-Alegria de la NASA et l’ingénieur de bord russe Mikhaïl Tiourine, avec lesquels Reiter poursuivra sa mission.
Pour tout complément d’information : ESA – Division Relations avec les médias Téléphone : + 33 1 5369 7155 Fax: + 33 1 5369 7690 Demande de renseignements : media@esa.int
Pour en savoir plus sur la mission Astrolab : http://www.esa.int/astrolab
Pour en savoir plus sur les astronautes de l’ESA : http://www.esa.int/astronauts
Pour en savoir plus sur les Vols habités de l’ESA : http://www.esa.int/spaceflight EVA Thomas Reiter – Jeudi 3 août 2006, à partir de 15h00 Centre de contrôle Columbus, Münchner Strasse, 20, Oberpfaffenhofen 82234 Wessling
Nom :_______________________ Prénom : _____________________
Adresse :___________________________________________________
___________________________________________________________
Tél.:_______________________ Fax:__________________________
Mobile:_____________________ E-mail: ______________________
[ ] assistera à l’événement EVA [ ] N’assistera PAS à cet événement
Formulaire à renvoyer par fax au plus tard mardi 1er août 2006 à :
Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt e.V. Unternehmenskommunikation Dr. Michaela Kircher Oberpfaffenhofen 82234 Wessling Fax: +49.(0)8153/28 - 1243 Tél:+49.(0)8153/28 - 2297 | |
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| Sujet: le Laboratoire européen Columbus à l’ISS Jeu 27 Juil - 14:09 | |
| Communiqué de presse N°28-2006 Paris, le 20 juillet 2006
L’astronaute Hans Schlegel de l’ESA est désigné pour participer à la mission qui livrera le Laboratoire européen Columbus à l’ISS
L’astronaute Hans Schlegel de l’ESA, de nationalité allemande, a été désigné aujourd’hui comme membre de la mission de la Navette spatiale qui livrera le Laboratoire Columbus de l’Agence spatiale européenne à la Station spatiale internationale en septembre/octobre 2007. Jean-Jacques Dordain, Directeur général de l’ESA, a annoncé cette nomination à l’occasion de la visite officielle de la chancelière allemande Angela Merkel au Centre européen d’opérations spatiales (ESOC) à Darmstadt (Allemagne).
Vétéran des vols spatiaux de la NASA, le commandant Stephen Frick de la Marine américaine commandera la mission STS-122 de la Navette (Discovery), tandis que le commandant Alan Poindexter de la Marine américaine en sera le pilote. Les spécialistes mission seront le colonel Rex Walheim de l’Armée de l’air américaine, ainsi que Stanley Love et Leland Melvin. Pour Poindexter, Love et Melvin, ce sera le premier vol dans l’espace. Hans Schlegel, qui fait partie du Corps des astronautes européens depuis 1998, a quant à lui déjà volé dans l’espace à l’occasion de la mission STS-55 (Spacelab D-2) qui s’est déroulée du 26 avril au 6 mai 1993.
Au cours de cette nouvelle mission, Hans Schlegel jouera un rôle clé : il participera aux différentes activités d’installation et de mise en service initiale du Laboratoire Columbus de l’ESA. Le Laboratoire Columbus, qui constitue la principale contribution de l’Europe à la Station spatiale internationale, est le premier laboratoire européen affecté à des activités de recherche spatiale conduites sur la longue durée.
Le laboratoire Columbus destiné à l’ISS sera transporté dans la soute de la Navette, en même temps que cinq installations de bâtis internes (Biolab, le laboratoire de sciences des fluides, l’installation des modules de physiologie européens, le bâti à tiroirs européen et le module européen de transport). Les deux installations destinées à des expériences à l’extérieur de Columbus (EuTEF et SOLAR) voyageront elles aussi dans la soute de la Navette et seront fixées à l’extérieur de la structure du module Columbus pendant le vol de Hans Schlegel.
Note aux rédactions
Après le lancement de la mission depuis le Centre spatial Kennedy à Cape Canaveral en Floride, deux jours seront nécessaires avant que la Navette effectue son rendez-vous et son amarrage avec l’ISS. Columbus sera extrait de la soute de la Navette par le bras télémanipulateur canadien de la station spatiale (Canadarm-2) et, au cours du quatrième jour du vol, sera positionné sur le dispositif d’amarrage tribord de l’élément de jonction n° 2 développé par l’Europe. Après le raccordement du module à l’ISS et sa mise sous tension, les installations de bâtis de charge utile de Columbus, jusque là en configuration de lancement, seront transférées sur leurs emplacements opérationnels à l’intérieur du module.
Trois sorties dans l’espace (activités extra-véhiculaires ou EVA) sont prévues au cours de cette mission. La première servira à installer et à mettre sous tension le laboratoire Columbus. La deuxième aura pour but l’installation des charges utiles extérieures. Les installations de bâtis de charge utile seront également vérifiées. Quant à la troisième EVA, elle permettra d’installer un réservoir d’azote à bord de la station, tâche qui n’est pas directement liée à la partie de la mission relative à Columbus. La recette finale du laboratoire ainsi que les premières expériences scientifiques auront lieu au cours des semaines qui suivront la fin de la mission de la Navette et seront effectuées par l’équipage permanent de l’ISS.
Dès que Columbus sera raccordé à la Station, le Centre de contrôle Columbus d’Oberpfaffenhofen en Allemagne, situé dans les locaux du Centre des opérations spatiales du DLR, prendra la responsabilité du contrôle et de l’exploitation du laboratoire européen. Ce centre assurera également la coordination de la conduite des expériences européennes.
Pour davantage d’informations sur Hans Schlegel : http://www.esa.int/esaHS/ESAKDVZUMOC_astronauts_2.html Pour davantage d’informations sur les astronautes de l’ESA : http://www.esa.int/esaHS/ESA75G0VMOC_astronauts_0.html Pour davantage d’informations sur les vols spatiaux de l’ESA : http://www.esa.int/esaHS/index.html
Pour d’autres informations : ESA – Bureau relations avec les médias Tél. : + 33 1 5369 7155 Fax : + 331 5369 7299 media@esa.int
Hans Schlegel Données biographiques Informations personnelles Né le 3 août 1951 à Überlingen (Allemagne), il considère Aix-la-Chapelle comme sa ville natale. Marié à Heike Walpot, il a sept enfants. Ses loisirs favoris sont le ski, la plongée sous-marine et l’aviation. Il aime également la lecture et le bricolage.
Formation Il passe l’année 1968/69 aux États-Unis dans le cadre du programme d’échange scolaire de l’AFS (American Field Service) et obtient son baccalauréat au Lycée Lewis de Council Bluffs, dans l’Iowa, puis en 1970 au Lycée Hansa de Cologne (Allemagne), spécialisé dans l’enseignement des sciences et des mathématiques. En 1979, il passe son doctorat de physique à l’Université d’Aix-la-Chapelle (Allemagne). Organisations Membre de la Deutsche Physikalische Gesellschaft (Société allemande de Physique) et de l’AFS – Interkulturelle Begegnungen (AFS Allemagne). Distinctions Verdienstkreuz 1. Klasse des Verdienstordens der Bundesrepublik Deutschland (Croix du mérite de 1ère classe de la République fédérale d’Allemagne), Médaille de l’amitié russe et Médaille de la NASA pour service exceptionnel. Expérience Parachutiste au sein des Forces armées fédérales entre 1970 et 1972, il quitte l’armée au grade de sous-lieutenant et est nommé lieutenant colonel de réserve en 1980 à l’issue de plusieurs formations militaires. De 1979 à 1986, il travaille à l’École supérieure polytechnique de Rhénanie-Westphalie (RWTH), à l’Université d’Aix-la-Chapelle, dans le domaine de la physique expérimentale de l’état solide et étudie les propriétés de transmission électronique et les propriétés optiques des semi-conducteurs. De 1986 à 1988, il exerce la fonction d’expert en méthodes d’essai non destructives au sein du département de recherche et développement de l'Institut Dr. Förster Gmbh & Co. KG, à Reutlingen (Allemagne). Entre 1988 et 1990, il suit le Programme de formation de base des astronautes du Centre aérospatial allemand (DLR), alliant enseignement théorique et environ 1300 paraboles à bord d’un KC-135, qui lui donnent l’expérience de l’apesanteur. Il obtient un certificat de plongée de recherche sous-marine ainsi que son brevet de pilote privé, avec les qualifications de vol aux instruments et de voltige aérienne. En 1990, il est nommé spécialiste charge utile pour la mission D-2 et suit une formation spécifique à Cologne (Allemagne) ainsi qu’au Centre spatial Johnson, à Houston (Texas). Cette deuxième mission Spacelab allemande est menée à bien du 26 avril au 6 mai 1993 (mission STS-55 de Columbia). En août 1995, il est désigné comme doublure pour la mission germano-russe MIR 97 et se rend au Centre d'entraînement des cosmonautes Youri Gagarine, près de Moscou. Au cours de la mission (du 10 février au 2 mars 1997), il remplit le rôle de Coordinateur des liaisons avec l'équipage, chargé des communications de la Terre vers l’espace. De juin 1997 à janvier 1998, il suit une formation supplémentaire pour acquérir la qualification d’ingénieur de bord en second pour les missions vers la station spatiale russe MIR. En 1998, il rejoint le Corps d’astronautes européens de l’Agence spatiale européenne et est envoyé au Centre spatial Johnson, à Houston, où il suit la formation de spécialiste mission avec la promotion 98 des astronautes de la NASA. Depuis, il a suivi divers entraînements aux fonctions de spécialiste mission à bord d’un avion à réaction T-38, aux opérations de rendez-vous et d’amarrage de la Navette spatiale, aux instruments automatisées et aux sorties dans l’espace. En dehors de ces formations, les astronautes sont chargés de différentes tâches au sein de la NASA. C’est ainsi qu’il est affecté aux activités liées à ISS, dans le cadre desquelles il travaille sur les mécanismes et les structures, le matériel de l’équipage et les systèmes de l’ISS. Il prend également part aux activités axées sur la robotique et remplit les fonctions de CAPCOM pour l’ISS, responsable des communications vocales entre l’équipage de la Station spatiale internationale et le sol. La NASA le nomme CAPCOM principal pour le cycle opérationnel 10 de l’ISS. Vols spatiaux Du 26 avril au 6 mai 1993, Hans Schlegel remplit le rôle de spécialiste charge utile lors de la mission STS-55 à bord de la Navette spatiale Columbia. Dans le cadre de la mission allemande Spacelab D-2, il contrôle l’exécution de près de 90 expériences en sciences de la vie, en science des matériaux, en physique, en robotique, en astronomie ainsi que dans le domaine de l’observation de la Terre et de son atmosphère. Affectation actuelle Depuis mai 2005, Hans Schlegel est détaché en qualité d’astronaute principal de l’ESA auprès du Centre spatial Johnson, où il assume depuis septembre 2005 les fonctions de CAPCOM pour la Navette spatiale, d’instructeur CAPCOM pour l’ISS et de responsable des systèmes de l’ISS et des interfaces avec l’équipage, à la tête d’une équipe de 12 personnes. | |
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| Sujet: Premier satellite météorologique sur orbite polaire Mar 11 Juil - 16:19 | |
| n° 26-2006 – Paris, le 10 juillet 2006
MetOp-A, premier membre d'une nouvelle famille de satellites européens conçus pour la surveillance de l'atmosphère en orbite terrestre basse, sera lancé de Baïkonour (Kazakhstan) le 17 juillet. Il complétera les satellites européens Météosat exploités avec succès en orbite géostationnaire et prendra place au sein d'un système intégré élaboré avec les Etats-Unis afin d'améliorer les prévisions météorologiques et les données climatiques.
La série de satellites MetOp est un programme mené en commun par l'Agence spatiale européenne (ESA) et par l'Organisation européenne de satellites météorologiques (Eumetsat), qui sera chargée de l'exploitation en orbite. Ces nouveaux satellites constitueront le segment spatial du Système polaire d'Eumetsat (EPS) destiné à étudier l'atmosphère avec une grande précision depuis une orbite héliosynchrone. Ils survoleront le globe d'un pôle à l'autre à une altitude d'environ 817 km en recueillant des données à haute résolution afin de compléter le suivi de l'atmosphère conduit à l'échelle hémisphérique par le système Météosat depuis l'orbite géostationnaire.
Ces nouveaux satellites européens seront exploités en parallèle avec le système de satellites météorologiques sur orbite polaire de l'Administration nationale américaine des océans et de l'atmosphère (NOAA), les données ainsi obtenues permettant de suivre le climat de notre planète et d'améliorer les prévisions météorologiques. Tandis que les satellites de la NOAA fonctionnent sur "l'orbite de l'après-midi" (le franchissement de l'équateur ayant lieu l'après-midi, en heure locale), les satelittes européens MetOp assureront le service de "l'orbite du matin". Les satellites MetOp ont été conçus et réalisés par une équipe industrielle placée sous la conduite d'EADS Astrium, Toulouse. Trois modèles de vol ont été commandés et sont, pour l'essentiel, achevés ; ils seront lancés de manière échelonnée afin d'assurer la continuité des données à l'horizon 2020. Mesurant 6,5 m de hauteur et pesant environ 4 tonnes, MetOp-A, premier satellite de cette nouvelle série, emporte 11 instruments fonctionnant en synergie.
La charge utile comprendra une nouvelle génération d'instruments européens, fournis par l'ESA, Eumetsat et le CNES, qui offriront aux météorologues et aux climatologues des capacités de télédétection améliorées : le spectromètre IASI mesurera la température et l'humidité avec une haute précision, le spectromètre GOME-2 sondera l'atmosphère afin de déterminer les concentrations d'ozone et de gaz à l'état de traces, le diffusiomètre ASCAT mesurera la vitesse et la direction des vents à la surface des océans, tandis que l'instrument GRAS fournira des profils atmosphériques par la technique d'occultation des signaux radio des satellites GPS. L'instrument MHS, qui remplace l'AMSU-B des précédents satellites américains, procédera à des mesures de l'humidité par hyperfréquence.
Le satellite emportera également un groupe d'instruments fournis par les Etats-Unis, qui ont déjà fait la preuve de leurs capacités : le radiomètre d'imagerie globale AVHRR, le sondeur hyperfréquence AMSU /A, le sondeur infrarouge HIRS, un système Argos de collecte de données de haute technologie, un instrument de recherche et sauvetage et le spectromètre SEM-2 chargé de mesurer les flux de particules ionisées dans l'espace au service de la "météorologie spatiale".
Le premier satellite MetOp se trouve actuellement à Baïkonour (Kazakhstan), où il est soumis à ses derniers préparatifs avant le lancement, qui sera assuré par un lanceur russe Soyouz ST/Frégate le 17 juillet. Le lancement est prévu à 18 h 28 heure de Paris (16 h 28 TU).
Le service ESA TV retransmettra le lancement en direct depuis l'ESOC, le Siège d'EUMETSAT et le cosmodrome de Baïkonour. Cette retransmission sera disponible sur deux canaux satellitaires, l'un à l'intention du grand public sur Hot Bird (pour plus de détails, voir http://television.esa.int/photos/Eutelsat4.pdf), l'autre étant destiné aux diffuseurs sur Eutelsat W2. Il y aura également la possibilité d'obtenir des images du décollage telles qu'elles ont été prises à Baïkonour (clean feed) (pour plus de details, se reporter au site http://television.esa.int du 14 juillet).
Il est possible de suivre le lancement sur le site web http://www.esa.int/metop
Les représentants des médias en Europe pourront suivre le lancement à l'ESOC, Darmstadt (Allemagne), qui sera le principal centre européen de presse/VIP (cf. programme ci-joint), ainsi qu'au Siège de l'ESA, Paris (France), à l'ESTEC, Noordwijk (Pays-Bas), à l'ESRIN, Frascati (Italie) ou à l'ESAC, Villafranca (Espagne). Des spécialistes de l'ESA seront présents sur chaque site pour des interviews.
Les journalistes souhaitant participer à cet événement sont invités à remplir le formulaire ci-joint et à le retourner par télécopie à l'Etablissement de leur choix.
PROGRAMME Lundi 17 Juillet 2006 16 h 00 Allocution de bienvenue et point de presse chez EUMETSAT 16 h 20 Visite du Centre de contrôle EPS 16 h 35 Départ en bus pour l'ESOC 17 h 00 Séance photos dans la salle de contrôle de l'ESOC 17 h 30 Début du programme général 18 h 28 Lancement de MetOp (vidéo en direct) 21 h 00 Fin de l'événement
Veuillez noter que la date de lancement peut être modifiée à tout moment
Lancement de MetOP – Lundi 17 juillet 2008
Prénom : _________________________ Nom : __________________________________ Média : __________________________________________________________________ Adresse : _________________________________________________________________ Tél. : _______________________________ Télécopie : ___________________________ Portable : ___________________________ Adresse électronique : ___________________
Je souhaite assister au lancement de MetOP sur le site suivant : ( ) Allemagne Lieu : ESA/ESOC Adresse : Robert Bosch Strasse 5, Darmstadt, Allemagne Heures d'ouverture : 16 h 30 – 21 h 00 Contact : Jocelyne Landeau-Constantin, tél : +49.6151.90.2696 – télécopie : +49.6151.90.2961
( ) France Lieu : Siège de l'ESA Adresse : 8/10, rue Mario Nikis – Paris 15, France Heures d'ouverture : 18 h 00 – 20 h 30 Contact : Anne-Marie Rémondin – tél : +33(0)1.53.69.7155 – télécopie : +33(0)1.53.69.7690
( ) Pays-Bas Lieu : Centre des visiteurs “Space Expo” Adresse : Keplerlaan 3, Noordwijk, Pays-Bas Heures d'ouverture : 17 h 30 – 20 h 30 Contact : Michel van Baal, tél. + 31 71 565 3006, télécopie + 31 71 565 5728
( ) Italie Lieu : ESA/ESRIN, Salle de conférence Magellan Adresse : Via Galileo Galilei, Frascati (Rome), Italie Heures d'ouverture : 18 h 00 – 20 h 30 Contact : Simonetta Cheli – tél : +39.06.9418.0350 – télécopie : +39.06.9418.0352
( ) Espagne Lieu : ESA/ESAC, Salle B3-B4 Adresse : Apartado 50727, Villafranca del Castillo, Madrid, Espagne Heures d'ouverture : 18 h 00 – 20 h 30 Contact : Monica Oerke – tél : +34.91.813.1327 – télécopie : +34.91.813.1219 | |
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| Sujet: Un voyage dans l’espace au Salon international Jeu 6 Juil - 15:22 | |
| N° 24-2006 – Paris, le 6 juillet 2006
Un voyage dans l’espace au Salon international de l’aéronautique de Farnborough
L’Agence spatiale européenne (ESA) sera présente du 17 au 23 juillet au Salon international de l’aéronautique de Farnborough, où elle partagera avec le British National Space Centre (BNSC) et l’industrie spatiale britannique un stand au pavillon international de l’espace.
Avec ses partenaires, l’ESA invitera les visiteurs à un véritable voyage spatial en leur faisant découvrir les résultats spectaculaires de ses nombreuses missions d’exploration planétaire en cours, comme Mars Express, Venus Express, SMART-1 (actuellement en orbite autour de la Lune) et Huygens, qui a réalisé l’exploit d’atterrir en 2005 sur Titan, l’énigmatique lune de Saturne.
Les futurs programmes européens d’exploration spatiale à destination de Mars et au-delà seront représentés par un modèle en grandeur réelle du robot mobile d’ExoMars, dont le lancement est prévu pour la mi-2011. Le robot sera exposé sur une réplique du sol martien, cet environnement visuel étant complété par la projection d’une séquence impressionnante d’images 3D du « survol » de la planète rouge prises par la caméra stéréoscopique haute résolution de la sonde Mars Express.
En ce qui concerne l’espace plus proche de notre planète, les visiteurs pourront également jeter un coup d’œil à la Station spatiale internationale et à la mission Astrolab qui s’y déroule en ce moment, cette dernière marquant le début d’un séjour de six mois de l’astronaute de l’ESA Thomas Reiter à bord de l’ISS. Plus près encore de la Terre, les visiteurs découvriront le système de navigation par satellite Galileo, les satellites de télécommunications européens, les satellites de météorologie MetOp et Météosat de seconde génération (MSG), mais aussi le nouveau satellite Sentinelle, conçu dans le cadre de l’initiative de Surveillance globale pour l’environnement et la sécurité (GMES), menée conjointement par l’ESA et l’Union européenne. Grâce à un système de projection sphérique, les spectateurs saisiront la manière dont les satellites nous livrent une vision globale de notre planète et nous alertent sur certaines évolutions problématiques de notre environnement, cette projection servant de toile de fond aux missions Earth Explorer de l’ESA, qui doivent nous permettre de mieux appréhender le système Terre.
A cette occasion, le public mesurera l’importance que revêt pour l’Europe l’indépendance d’accès à l’espace. Les Européens peuvent être fiers de disposer de leur propre système de transport spatial, avec le lanceur lourd Ariane-5, le nouveau lanceur Vega adapté à de petits satellites, et la coopération euro-russe concernant le lanceur de catégorie moyenne Soyouz, qui sera bientôt exploité au Port spatial de l’Europe à Kourou, en Guyane française. En 2006, le Pavillon international de l’espace aura pour thème « l’espace dans notre vie quotidienne ». Ce thème sera repris dans une présentation interactive installée dans le hall.
L’ESA, le BNSC, l’industrie, les centres de recherche et d’autres agences spatiales internationales participeront à une série de conférences de haut niveau sur l’espace, organisées et conduites par l’industrie spatiale britannique. Parmi les intervenants figureront Lord Sainsbury, ministre britannique des sciences et de l’innovation, Jean-Jacques Dordain, Directeur général de l’ESA, ainsi que d’autres experts hautement qualifiés.
Différents thèmes seront abordés lors de ces conférences, par exemple le changement climatique (mardi 18 juillet), l’avenir international de l’espace (mercredi 19 juillet, avec Lord Sainsbury et de hauts représentants des agences des principales puissances spatiales) ou encore la navigation par satellite (jeudi 20 juillet). Un programme détaillé est joint ci-après, avec le formulaire d’accréditation à remplir par les journalistes qui souhaitent prendre part aux différentes sessions.
Pour tout complément d’information, veuillez contacter : Wendy Slater – ESA – Département Communication Téléphone : + 33 1 53 69 74 18 E-mail: Wendy.Slater@esa.int
Principales sessions de conférences sur l’espace organisées au Salon international de Farnborough Lieu : Pavillon international de l’espace (Conference Theatre)
Formulaire d’accréditation
Prénom : ___________________Nom :_______________________________ Média : ________________________________________________________ Adresse : _______________________________________________________ Tél :___________________________ Fax : ___________________________ Portable :_______________________ E-mail : _________________________
Je participerai aux sessions suivantes :
( ) Lundi 17 juillet 11h00-12h30 « Les débouchés commerciaux des activités spatiales – matinée ESA ». Evénement organisé par le Programme de transfert de technologie, l’initiative « Pépinière d’entreprises » et la Division Commercialisation de l’ISS de l’ESA, dans le but de promouvoir l’utilisation industrielle des infrastructures spatiales et des applications issues de l’espace. Les intervenants témoigneront des nouvelles perspectives qui s’offrent dans les domaines de la recherche, du transfert de technologie, de la promotion et des applications satellitaires, et présenteront plusieurs réseaux d’entreprises.
( ) Mardi 18 juillet 10h00-12h30 «Le changement climatique : comprendre ce phénomène et infléchir la tendance grâce aux techniques spatiales». Les conférenciers et les experts débattront de plusieurs aspects de ce dossier : politique et mesures adoptées en matière de changement climatique ; moyens mis en œuvre pour mesurer et prévoir ce changement ; incidences socio-économiques du changement climatique et utilisation des outils spatiaux pour y faire face ; futures missions spatiales ; mission globale d’observation du changement climatique (initiative GMES de surveillance globale pour l’environnement et la sécurité).
( ) Mercredi 19 juillet 10h30-11h30 « Un avenir international pour l’espace ». Intervenants prévus : Lord Sainsbury, ministre britannique des sciences et de l’innovation ; Jean-Jacques Dordain, Directeur général de l’ESA ; Mike Griffin, Administrateur de la NASA ; Anatoly Perminov, Directeur général de Roskosmos ; Kaoru Mamiya, Vice-Président de la JAXA. Cette session est organisée par UKspace et le PPARC et sera présidée par David Williams, Directeur général du BNSC.
( ) Jeudi 20 juillet 10h00-12h30 « La navigation par satellite ». Le groupe d’intervenants réunira des représentants de haut niveau de l’ESA, du gouvernement britannique, du consortium concessionnaire de Galileo et des utilisateurs institutionnels. La dimension internationale des systèmes mondiaux de navigation par satellite sera soulignée par un représentant de Lockheed Martin.
Prière de retourner ce formulaire par fax au plus tard le 12 juillet à : Anne-Marie Rémondin ESA – Bureau Relations avec les médias Fax. : + 33 1 5369 7690 E-mail : anne-marie.remondin@esa.int
N.B. : les journalistes qui souhaitent assister aux événements du Salon de l’aéronautique devront également déposer une demande d’accréditation :
Jusqu’au 10 juillet – demande en ligne sur le site www.farnborough.com/media/accreditation.asp Après le 10 juillet – les journalistes peuvent obtenir leur accréditation sur place, au Salon, en se présentant porte A munis d’une pièce d’identité et de leur carte professionnelle. Les navettes en provenance du parking et des gares s’arrêtent à la porte A. | |
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| Sujet: Les Différents Logos des Missions STS Dim 2 Juil - 8:48 | |
| STS-35 STS-38 STS-87 STS-61 STS-95 STS-99 STS-73 STS-9 STS-65 STS-84 STS-64 STS-96 STS-82 STS-44 STS-85 STS-26 STS-48 STS-94 STS-8 STS-103 ( je n'ai pas le temps de poursuivre aujourd'hui, alors je terminerai cette liste un peu plus tard.) Un sujet " SEPCIAL STS " sera ouvert prochainement où vous retrouverez les information présentent actuellement ainsi que tout ce qui concerne ces Missions STS ( Logos - Descriptifs Missions - Descriptif equipages) J'espère que vous aprécierez ce travail de fourmi, car je pense sincèrement que les Missions STS sont à suivre de près ! Amicalement, S.Ghislain | |
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| Sujet: Mission STS - 121 Dim 2 Juil - 8:26 | |
| L'équipage de la Mission STS-121. De Gauche à Droite: Wilson, Fossum, Lindsey, Fossum, Kelly, Reiter, Novak. Commandant Steve Lindsey Lindsey est affecté pour commander le servir d'équipier de STS-121. Il a volé en tant que pilote sur STS-87 en 1997 et STS-95 en 1998, et était commandant de mission sur STS-104 en 2001. Pilot Mark Kelly a volé sur STS-108 en 2001, et a noté presque 12 jours dans l'espace. La Il est assignée en tant que pilote sur STS-121. Spécialiste de Mission Mike Fossum Il est actuellement affecté pour servir d'équipier de STS-121 en tant que spécialiste de mission. Spécialiste de Mission Lisa Nowak Nowak a récemment servi dans la branche de robotique d'Office d'astronaute et dans la branche de CAPCOM. Elle est affectée au servir d'équipier de STS-121 sur son premier vol. Spécialiste de Mission Stephanie Wilson Choisi par la NASA en avril 1996, Wilson a fait rapport au centre de l'espace de Johnson en août 1996. Wilson est assigné au servir d'équipier de STS-121 sur son premier vol. Spécialiste de Mission Piers Sellers Il a accompli son premier vol sur STS-112, incluant presque 20 heures d'EVA dans trois spacewalks. Il est affecté au servir d'équipier de STS-121 en tant que spécialiste en mission. Spécialiste de Mission Thomas Reiter Représentant l'Agence européenne de l'espace (ESA), Reiter restera dans la station spatiale, fonctionnant avec la station pour servir d'équipier dans le cadre d'un contrat entre l'ESA et l'agence fédérale russe de l'espace. ------------ La NASA a relancé son compte à rebours pour le lancement de la navette Discovery aujourd'hui, mais les conditions météorologiques risquent d'entraîner un deuxième report. Les formations orageuses et les risques de foudre réduisent les probabilités d'un lancement au moment prévu, à 15 h 26 (19 h 26 GMT), à 30 % seulement, a annoncé un porte-parole de la NASA. Hier, la navette est restée clouée au sol en raison de nuages orageux au-dessus du centre spatial Kennedy, à Cap Canaveral, en Floride. La NASA a reporté la mission STS-121 pour la vers la station spatiale internationale (SSI) à quelques minutes seulement de l'heure de lancement prévue. Advenant un autre report, les services météorologiques donnent 40 % de chances de conditions favorables pour lundi, tandis qu'elles sont de 60 % pour mardi. L'agence spatiale dispose d'une fenêtre de tir de 19 jours à compter du 1er juillet. Au-delà de cette période, elle devra attendre la fin d'août. La mission de Discovery, qui a lieu près d'un an après le dernier vol d'une navette, est la deuxième depuis la catastrophe de Columbia en 2003. L'astronaute canadienne Julie Payette agira encore une fois comme CapCom. C'est elle qui communiquera avec la navette depuis Houston. Un lancement controverséLe chef de la sécurité à la NASA estime que ce lancement est prématuré, car le problème de la mousse isolante, qui a causé la perte de Columbia, n'est pas encore résolu. Selon Bryan O'Connor, procéder au lancement dans ces conditions imposera aux astronautes un risque trop élevé de perdre la vie. Le directeur de l'agence, Michael Griffin, a décidé de passer outre afin de respecter l'échéancier de construction de la SSI. La missionDiscovery et son équipage de sept astronautes, dont l'Allemand Thomas Reiter de l'Agence spatiale européenne, effectueront une mission de 12 jours en orbite. L'Allemand restera toutefois plusieurs mois dans la SSI. Il s'agira du premier séjour de longue durée d'un Européen. Durant cette mission, les astronautes testeront les procédures de sécurité établies après la tragédie de Columbia. L'équipage de Discovery procédera à des tests des techniques d'inspection visuelle et de réparation en orbite de la protection thermique de la navette. Il livrera aussi à la station 2 tonnes de vivres, contenues dans le module logistique pressurisé Leonardo, construit par l'Italie. Deux sorties dans l'espace d'une durée de six heures et demie chacune sont programmées. La Nasa envisage la possibilité d'une troisième sortie, qui nécessiterait cependant de prolonger la mission d'un jour. Une étapeCe lancement est une étape clé de la reprise des vols de la navette pour achever, d'ici 2010, la construction de l' ISS, dont plus de la moitié des travaux restent à faire. La NASA prévoit que 16 vols sont encore nécessaires afin de terminer les travaux.La station est jugée essentielle pour préparer le retour des Américains sur la Lune d'ici 2018 et, à plus long terme, des missions habitées vers Mars. | |
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| Sujet: Les sept astronautes de Columbia Dim 2 Juil - 7:47 | |
| L'équipage (de gauche à droite) : David Brown, Rick Husband, Laurel Clark, Kalpana Chawla, Michael Anderson, William McCool, Ilan Ramon. Rick Husband : 45 ans, le commandant de bord, ancien pilote d'essai, avait été sélectionné par la NASA en 1994. Il avait participé à une mission spatiale de 10 jours en 1999 durant laquelle l'équipage de la navette avait réussi le premier amarrage avec la station spatiale internationale. Michael Anderson : 42 ans, ancien instructeur de pilotage, avait passé 211 heures dans l'espace au cours d'une précédente mission en 1998. Sélectionné en 94, lieutenant-colonel des forces aériennes américaines, il participait à cette mission STS-107 en tant que responsable de la charge utile qui comprenait le module de recherche Spacehab RDM et quatre tonnes d'expériences scientifiques. Kalpana Chawla : 42 ans, Américaine d'origine indienne, était, avec plus de 376 heures dans l'espace à son actif, l'astronaute la plus expérimentée au sein de l'équipage de cette mission. Instructeur de vol, elle avait oursuivi des études d'aéronautique à l'école d'ingénieurs spécialisée dans l'aéronautique du Pendjab en Inde. Sélectionnée en 1994, elle était spécialiste de mission à bord de cette navette. David Brown : 46 ans, pilote de la Marine américaine et médecin. Il effectuait, en tant que spécialiste de mission, son premier vol spatial, sept ans après avoir été sélectionné en tant qu'astronaute. William McCool : 40 ans, le pilote de la navette, ancien pilote d'essai, avait été sélectionné par la NASA en 1996. C'était son premier vol spatial. Ilan Ramon : 47 ans, était le premier Israélien à participer à un vol spatial habité. Ce colonel, pilote de chasse des forces aériennes israéliennes, avait été admis en 1998 par la NASA pour ses programmes spatiaux et avait commencé son entrainement d'astronaute au cours de la même année. Laurel Clark : 41 ans, également spécialiste de mission, commandant de la marine américaine, et médecin, avait été selectionnée par la NASA en 1996. Elle était en outre diplomée de zoologie. C'était son premier vol dans l'espace. Concernant ce vol, nous avons tous apprit sa désintégration lors de sa rentrée atmosphérique, voici plusieurs vidéos de cette "catastrophe" : Couverture de la chaîne de Tv américaine WFAA montrant au monde entier la désintégration de Columbia avant l'annonce officielle de la NASA. Vidéo MPEG 50 sec. / 4.5 Mb. Vidéo du site WFAA-TV ( http://www.wfaa.com/ ) http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_US/shuttle/1996-2005/STS107/video%20wfaa.mpeg Vidéo de la désintégration au dessus du Texas. Vidéo AVI 29 s/ 876 Ko http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_US/shuttle/1996-2005/STS107/video%20amateur%20texas.avi Vidéo prise d'un hélicoptère Apache. Vidéo AVI 58 secondes/ 2Mo.Les images vidéo prises par l'équipage d'un hélicoptère Apache au cours d'un vol d'entraînement près de Fort Hood, Texas. L'opérateur caméraman parait avoir changer plusieurs fois de grossissement pendant la vidéo. Les deux premières images montrent " FLIR" (forward > looking infrared) dans le cadre et les 4 dernières " DTV". Les temps notés dessous sont les temps écoulés de la vidéo. Les secondes entre parenthèses sont les secondes de la fin des 32 secondes corrompues. La perte de signal LOS est à 8 h 59 mn 32 s. Ajoutez les 32 secondes de données on obtient 9 h 00 mn 04 s. La différence de temps entre parenthèse suppose que les données de la vidéo soient correcte. http://www.capcomespace.net/dossiers/espace_US/shuttle/1996-2005/STS107/video%20DutchChopper.avi La Zone du crash :Et comme si nous avions, nous, public, besoin d'être assuré qu'il s'agissait bien de la navette Columbia qui s'était écrasée, le "hazard " a voulu que l'on retrouve dans les débris, ce qui ne pouvait laisser planer aucun doute : l'un des "Patch" de Columbia : Qui pourrait douter à présent de Columbia s'est réellement crashé ? Je dois bien avouer que je suis l'un de ceux qui ne croient pas à ce crash ! | |
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| Sujet: Le MPLM Leonardo Dim 2 Juil - 7:19 | |
| Paris, le 29 juin 2006
Alcatel Alenia Space annonce aujourd'hui que le module pressurisé MPLM Leonardo (Multifunctional Pressurized Logistical Module), développé par Alcatel Alenia Space pour le compte de l'Agence Spatiale Italienne (ASI), sera lancé à bord de la navette Discovery (vol STS-121) en direction de la Station Spatiale Internationale (ISS). Le lancement aura lieu le 1er juillet depuis la base de Cap Canaveral en Floride.
Le module MPLM est un module de vol habitable qui permet de transporter jusqu'à 10 tonnes d'équipements, d'instruments scientifiques et de ravitaillement pour les astronautes vivant à bord de l'ISS. La charge utile transportée par le module Leonardo permettra de garder un troisième astronaute à bord de l'ISS, marquant ainsi la reprise des activités de recherche scientifique et technologique à bord de la station spatiale.
Alcatel Alenia Space, en coordination avec ALTEC, une de ses filiales responsable des opérations et de l'ingénierie du module MPLM, fournira un support continu durant les 12 jours de la mission. ALTEC est un des centres d'opérations terrestres de l'ISS depuis 2001 (date de l'envoi du premier module MPLM). ALTEC et Alcatel Alenia Space collaborent avec la NASA dans le cadre d'un accord bilatéral signé entre l'ASI et la NASA qui permet à l'ASI de participer aux missions à bord de l'ISS.
Alcatel Alenia Space est responsable de la conception, du développement et de l'intégration des trois modules MPLM - Leonardo, Raffaello et Donatello - fournit à la NASA par l'ASI.
" Le prochain lancement est une étape majeure dans la vie quotidienne de la station spatiale, " énonce Carlo Alberto Penazzi, directeur général d'Alcatel Alenia Space en Italie, " et son succès est un élément crucial pour la reprise des missions. Il permettra de continuer les expériences scientifiques à bord de la station spatiale, pour laquelle Alcatel Alenia Space a construit 50% des modules pressurisés. "
La mission STS-121, le 115eme vol de la navette spatiale, permettra de tester de nouveaux matériels et de nouvelles techniques d'inspection et de réparation en orbite destinés à améliorer la sécurité de la navette.
À propos d'Alcatel Alenia Space Alcatel Alenia Space est le numéro 1 européen des satellites et un acteur majeur dans le domaine de l'infrastructure orbitale. Créée en juillet 2005, la société réunit le savoir-faire et l'expertise d'Alcatel Space et d'Alenia Spazio. Alcatel Alenia Space s'affirme aujourd'hui comme une référence mondiale dans le développement de technologies spatiales dans des domaines aussi divers que les télécommunications, la navigation, la météorologie, la gestion de l'environnement, la défense et la sécurité, l'observation, les sciences. Alcatel Alenia Space est une filiale d'Alcatel (Paris: CGEP.PA et NYSE: ALA) (67%) et de Finmeccanica (Milan:SIFI.MI, FNC.IM) (33%).
À propos d'Alcatel Alcatel fournit des solutions de communication permettant aux opérateurs de télécoms, aux fournisseurs d'accès Internet et aux entreprises de disposer de moyens de communication voix, données, vidéo pour leurs clients ou leurs salariés. Avec des positions de leader dans les réseaux à haut débit fixes et mobiles ainsi que dans les applications et les services, Alcatel permet à ses clients et partenaires de mettre l'utilisateur au cœur du haut débit. Avec un chiffre d'affaires de 13,1 milliards d'euros et 58 000 salariés en 2005, Alcatel est présent dans plus de 130 pays. Pour plus d'informations, consultez le site: http://www.alcatel.fr | |
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| Sujet: Tous les équipages ayant visité la station internationale Dim 2 Juil - 7:14 | |
| Voici le détail de tous les équipages de navettes ayant visité l'ISS en orbite. Remarques : Les dates mentionnées correspondent aux moments de départ de la Terre, arrimage à l'ISS, décrochage de l'ISS et atterrissage. Le signe * signale une personne qui en était à sa seconde visite de l'ISS. Le signe ** signale une personne qui en était à sa troisième visite. Le signe (h) désigne un homme ; le signe (f) une femme. Equipages de navettes : 1) STS-88 : Endeavour Référence ISS : 2ADurant cette mission : Installation de l'élément Unity Node Lancement : 4 décembre 1998 à 8h35 GMT Arrimage : 6 décembre 1998 à 23h46 GMT Décrochage : 12 décembre 1998 à 20h25 GMTAtterrissage : 16 décembre 1998 à 3h53 GMT Equipage : 6 personnesCommandant : Robert D. Cabana (USA) (h) Pilote : Frederick W. Sturckow (USA) (h) Spécialiste de mission : Nancy J. Currie (USA) (f) Spécialiste de mission : Jerry L. Ross (USA) (h) Spécialiste de mission : James H. Newman (USA) (h) Spécialiste de mission : Sergueï K. Krikalev (Russie) (h) Remarque : Première visite d'êtres humains à l'ISS en orbite.2) STS-96 : Discovery Référence ISS : 2A.1Durant cette mission : Préparation de la station à sa première occupation permanente.Lancement : 27 mai 1999 à 10h50 GMT Arrimage : 29 mai 1999 à 4h24 GMT Décrochage : 3 juin 1999 à 22h39 GMTAtterrissage : 6 juin 1999 à 6h03 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Kent V. Rominger (USA) (h) Pilote : Rick Husband (USA) (h) Spécialiste de mission : Tamara Jernigan (USA) (f) Spécialiste de mission : Ellen Ochoa (USA) (f) Spécialiste de mission : Daniel Barry (USA) (h) Spécialiste de mission : Julie Payette (Canada) (f) Spécialiste de mission : Valery Ivanovitch Tokarev (Russie) (h) 3) STS-101 : Atlantis Référence ISS : 2A.2aDurant cette mission : Préparation de la station à sa première occupation permanente.Lancement : 19 mai 2000 à 10h11 GMT Arrimage : 21 mai 2000 à 4h31 GMT Décrochage : 26 mai 2000 à 23h03 GMTAtterrissage : 29 mai 2000 à 6h20 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : James Halsell, Jr. (USA) (h) Pilote : Scott Horowitz (USA) (h) Spécialiste de mission : Susan Helms (USA) (f) Spécialiste de mission : Iouri Usachev (Russie) (h) Spécialiste de mission : James Voss (USA) (h) Spécialiste de mission : Mary Ellen Weber (USA) (f) Spécialiste de mission : Jeffrey Williams (USA) (h) 4) STS-106 : Atlantis Référence ISS : 2A.2bDurant cette mission : Préparation de la station à sa première occupation permanente.Lancement : 8 septembre 2000 à 12h46 GMT Arrimage : 10 septembre 2000 à 5h51 GMT Décrochage : 18 septembre 2000 à 3h46 GMTAtterrissage : 20 septembre 2000 à 7h56 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Terrence Wilcutt (USA) (h) Pilote : Scott Altman (USA) (h) Spécialiste de mission : Dan Burbank (USA) (h) Spécialiste de mission : Ed Lu (USA) (h) Spécialiste de mission : Iouri Malenchenko (Russie) (h) Spécialiste de mission : Richard Mastracchio (USA) (h) Spécialiste de mission : Boris Morukov (Russie) (h) 5) STS-92 : Discovery Référence ISS : 3ADurant cette mission : Installation de la structure Z1 Lancement : 11 octobre 2000 à 23h17 GMT Arrimage : 13 octobre 2000 à 17h45 GMT Décrochage : 20 octobre 2000 à 15h08 GMTAtterrissage (à Edwards AFB, Californie) : 24 octobre 2000 à 21h00 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Brian Duffy (USA) (h) Pilote : Pamela Melroy (USA) (f) Spécialiste de mission : Koichi Wakata (Japon) (h) Spécialiste de mission : Leroy Chiao (USA) (h) Spécialiste de mission : Peter "Jeff" Wisoff (USA) (h) Spécialiste de mission : Michael Lopez-Alegria (USA) (h) Spécialiste de mission : William McArthur Jr. (USA) (h) 6) STS-97 : Endeavour Référence ISS : 4ADurant cette mission : Installation provisoire de la structure P6 au bout de la structure Z1 Lancement : 1 décembre 2000 à 3h06 GMT Arrimage : 2 décembre 2000 à 20h00 GMT Décrochage : 9 décembre 2000 à 19h13 GMTAtterrissage : 11 décembre 2000 à 23h03 GMT Equipage : 5 personnesCommandant : Brent Jett (USA) (h) Pilote : Michael J. Bloomfield (USA) (h) Spécialiste de mission : Joseph Tanner (USA) (h) Spécialiste de mission : Carlos Noriega (USA) (h) Spécialiste de mission : Marc Garneau (Canada) (h) 7) STS-98 : Atlantis Référence ISS : 5ADurant cette mission : Installation de l'élément Destiny (labo américain) et activation des Control Moment Gyros sur la structure Z1 Lancement : 7 février 2001 à 23h13 GMT Arrimage : 9 février 2001 à 16h51 GMT Décrochage : 16 février 2001 à 14h06 GMTAtterrissage : 20 février 2001 à 20h33 GMT Equipage : 5 personnesCommandant : Kenneth Cockrell (USA) (h) Pilote : Mark Polansky (USA) (h) Spécialiste de mission : Robert Curbeam (USA) (h) Spécialiste de mission : Thomas Jones (USA) (h) Spécialiste de mission : Marsha Ivins (USA) (f) STS-102 : Discovery Référence ISS : 5A.1Durant cette mission : Echange des équipages permanents 1 et 2, utilisation du MPLM LeonardoDépart : 8 mars 2001 à 11h42 GMT Arrimage : 10 mars 2001 à 6h38 GMT Décrochage : 19 mars 2001 à 4h32 GMTAtterrissage : 21 mars 2001 à 7h31 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : James Wetherbee (USA) (h) Pilote : James Kelly (USA) (h) Spécialiste de mission : Andrew Thomas (USA) (h) Spécialiste de mission : Paul Richards (USA) (h) Accompagnés à l'aller par le 2ème équipage permanent :Commandant : Iouri Usachev* (Russie) (h) Ingénieur de bord : James Voss* (USA) (h) Ingénieur de bord : Susan Helms* (USA) (f) Et au retour, par le premier équipage permanent :Commandant : William M. (Bill) Shepherd (USA) (h) Commandant du Soyouz : Iouri Pavlovich Gidzenko (Russie) (h) Ingénieur de bord : Sergueï K. Krikalev* (Russie) (h) 9) STS-100 : Endeavour Référence ISS : 6ADurant cette mission : Installation du bras robotisé Canadarm2, utilisation du MPLM Raffaello Lancement : 19 avril 2001 à 18h41 GMT Arrimage : 21 avril 2001 à 13h59 GMT Décrochage : 29 avril 2001 à 5h34 GMTAtterrissage : 1 mai 2001 à 16h11 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Kent V. Rominger* (USA) (h) Pilote : Jeffrey S. Ashby (USA) (h) Spécialiste de mission : Chris Hadfield (Canada) (h) Spécialiste de mission : John L. Phillips (USA) (h) Spécialiste de mission : Scott Parazynski (USA) (h) Spécialiste de mission : Umberto Guidoni (ESA - Italie) (h) Spécialiste de mission : Iouri Lonchakov (Russie) (h) 10) STS-104 : Atlantis Référence ISS : 7ADurant cette mission : Installation du Quest AirlockLancement : 12 juillet 2001 à 9h04 GMT Arrimage : 14 juillet 2001 à 3h08 GMT Décrochage : 22 juillet 2001 à 4h54 GMTAtterrissage : 25 juillet 2001 à 3h39 GMT Equipage : 5 personnesCommandant : Steven W. Lindsey (USA) (h) Pilote : Charles O. Hobaugh (USA) (h) Spécialiste de mission : Michael L. Gernhardt (USA) (h) Spécialiste de mission : Janet L. Kavandi (USA) (f) Spécialiste de mission : James F. Reilly (USA) (h) 11) STS-105 : Discovery Référence ISS : 7A.1Durant cette mission : Echange des équipages permanents 2 et 3, utilisation du MPLM LeonardoDépart : 10 août 2001 à 21h10 GMT Arrimage : 12 août 2001 à 18h42 GMT Décrochage : 20 août 2001 à 14h52 GMTAtterrissage : 22 août 2001 à 18h23 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Scott Horowitz* (USA) (h) Pilote : Frederick W. Sturckow* (USA) (h) Spécialiste de mission : Daniel Barry* (USA) (h) Spécialiste de mission : Patrick Forrester (USA) (h) Accompagnés à l'aller par le 3ème équipage permanent :Commandant : Frank Culbertson (USA) (h) Commandant du Soyouz : Vladimir Dezhurov (Russie) (h) Ingénieur de bord : Mikhaïl Tyurin (Russie) (h) Et au retour, par le 2ème équipage permanent :Commandant : Iouri Usachev* (Russie) (h) Ingénieur de bord : James Voss* (USA) (h) Ingénieur de bord : Susan Helms* (USA) (f) 12) STS-108 : Endeavour Référence ISS : UF-1Durant cette mission : Echange des équipages permanents 3 et 4, utilisation du MPLM RaffaelloDépart : 5 décembre 2001 à 22h19 GMT Arrimage : 7 décembre 2001 à 20h03 GMT Décrochage : 15 décembre 2001 à 17h28 GMTAtterrissage : 17 décembre 2001 à 17h55 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Dominic L. Gorie (USA) (h) Pilote : Mark E. Kelly (USA) (h) Spécialiste de mission : Linda M. Godwin (USA) (f) Spécialiste de mission : Daniel M. Tani (USA) (h) Accompagnés à l'aller par le 4ème équipage permanent :Commandant : Iouri I. Onufrienko (Russie) (h) Ingénieur de bord : Daniel W. Bursch (USA) (h) Ingénieur de bord : Carl E. Walz (USA) (h) Et au retour, par le 3ème équipage permanent :Commandant : Frank Culbertson (USA) (h) Commandant du Soyouz : Vladimir Dezhurov (Russie) (h) Ingénieur de bord : Mikhaïl Tyurin (Russie) (h) 13) STS-110 : Atlantis Référence ISS : 8ADurant cette mission : Installation de la structure S0 et du Mobile TransporterLancement : 8 avril 2002 à 20h44 GMT Arrimage : 10 avril 2002 à 16h05 GMT Décrochage : 17 avril 2002 à 18h31 GMTAtterrissage : 19 avril 2002 à 16h27 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Michael J. Bloomfield* (USA) (h) Pilote : Stephen N. Frick (USA) (h) Spécialiste de mission : Rex J. Walheim (USA) (h) Spécialiste de mission : Ellen Ochoa* (USA) (f) Spécialiste de mission : Lee M. E. Morin (USA) (h) Spécialiste de mission : Jerry L. Ross* (USA) (h) Spécialiste de mission : Steven L. Smith (USA) (h) 14) STS-111 : Endeavour Référence ISS : UF-2Durant cette mission : Echange des équipages permanents 4 et 5, installation du Mobile Base System, utilisation du MPLM LeonardoDépart : 5 juin 2002 à 21h23 GMT Arrimage : 7 juin 2002 à 16h25 GMT Décrochage : 15 juin 2002 à 14h32 GMTAtterrissage : 19 juin 2002 à 17h58 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Kenneth Cockrell* (USA) (h) Pilote : Paul Lockhart (USA) (h) Spécialiste de mission : Franklin Chang-Diaz (USA) (h) Spécialiste de mission : Philippe Perrin (France) (h) Accompagnés à l'aller par le 5ème équipage permanent :Commandant : Valery Korzun (Russie) (h) Ingénieur de bord : Peggy Whitson (USA) (f) Ingénieur de bord : Sergueï Treschev (Russie) (h) Et au retour, par le 4ème équipage permanent :Commandant : Iouri I. Onufrienko (Russie) (h) Ingénieur de bord : Daniel W. Bursch (USA) (h) Ingénieur de bord : Carl E. Walz (USA) (h) 15) STS-112 : Atlantis Référence ISS : 9ADurant cette mission : Installation de la structure S1, ainsi que du Crew and Equipment Translation Aid (CETA) Cart ALancement : 7 octobre 2002 à 19h46 GMT Arrimage : 9 octobre 2002 à 15h17 GMT Décrochage : 16 octobre 2002 à 13h13 GMTAtterrissage : 18 octobre 2002 à 15h44 GMT Equipage : 6 personnesCommandant : Jeffrey S. Ashby* (USA) (h) Pilote : Pamela Melroy* (USA) (f) Spécialiste de mission : Sandy Magnus (USA) (f) Spécialiste de mission : Piers Sellers (USA) (h) Spécialiste de mission : Dave Wolf (USA) (h) Spécialiste de mission : Fyodor Iourchikhine (Russie) (h) 16) STS-113 : Endeavour Référence ISS : 11ADurant cette mission : Echange des équipages permanents 5 et 6, installation de la structure P1 ainsi que du Crew and Equipment Translation Aid (CETA) Cart BLancement : 24 novembre 2002 à 0h50 GMT Arrimage : 25 novembre 2002 à 21h59 GMT Décrochage : 2 décembre 2002 à 20h05 GMTAtterrissage : 7 décembre 2002 à 19h37 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : James Wetherbee* (USA) (h) Pilote : Paul Lockhart* (USA) (h) Spécialiste de mission : Michael Lopez-Alegria* (USA) (h) Spécialiste de mission : John Herrington (USA) (h) Accompagnés à l'aller par le 6ème équipage permanent :Commandant : Kenneth Bowersox (USA) (h) Ingénieur de bord : Donald Pettit (USA) (h) Ingénieur de bord : Nikolaï Budarin (Russie) (h) Et au retour, par le 5ème équipage permanent :Commandant : Valery Korzun (Russie) (h) Ingénieur de bord : Peggy Whitson (USA) (f) Ingénieur de bord : Sergueï Treschev (Russie) (h) 17) STS-114 : Discovery Référence ISS : LF1Durant cette mission : Mission de test pour la reprise des vols après l'accident de la navette Columbia le 1er février 2003, utilisation du MPLM Raffaello, remplacement du CMG 1 (l'un des gyroscopes servant au contrôle de l'orientation de la station)... Lancement : 26 juillet 2005 à 14h39 GMT Arrimage : 28 juillet 2005 à 11h18 GMT Décrochage : 6 août 2005 à 7h24 GMTAtterrissage (à Edwards AFB, Californie) : 9 août 2005 à 12h11 GMT Equipage : 7 personnesCommandant : Eileen Collins (USA) (f) Pilote : James Kelly* (USA) (h) Spécialiste de mission : Stephen Robinson (USA) (h) Spécialiste de mission : Soichi Noguchi (Japon) (h) Spécialiste de mission : Andrew Thomas* (USA) (h) Spécialiste de mission : Wendy Lawrence (USA) (f) Spécialiste de mission : Charles Camarda (USA) (h) | |
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| Sujet: Les Missions " STS" Dim 2 Juil - 6:54 | |
| Missions (voici toutes les missions "STS") STS signifie Space Transportation System ou système de transport spatial. C'est le terme officiel pour désigner les navettes.
Date - Désignation - Notes - Durée du vol - Commandant
12 avril 1981 STS-1 Premier vol d'une navette 2 jours, 6 heures John W. Young
12 novembre 1981 STS-2 Première réutilisation d'un véhicule spatial habité 2 jours, 6 heures Joseph H. Engle
22 mars 1982 STS-3 Aterrissage à White Sands Missile Range à cause d'une mauvaise météo à la base d'Edwards 8 jours Jack Lousma
27 juin 1982 STS-4 Dernier vol de la phase de test de la navette 7 jours Thomas K. Mattingly
11 novembre 1982 STS-5 Premier équipage à quatre, première mission opérationelle avec deux satellites mis en orbite 5 jours, 2 heures Vance Brand
28 novembre 1983 STS-9 Premier équipage à six, dont deux civils. Premier vol d'un non étasunien (Urf Merbold, RFA) 10 jours, 7 heures John W. Young
12 janvier 1986 STS-61-C Nombreux reports au décollage, dont un à 14 secondes de l'envol. Bill Nelson, membre du congrès à bord. 6 jours, 2 heurs Robert L. Gibson
8 août 1989 STS-28 Mission militaire, déploiement de deux satellites 5 jours, 1 heure Brewster H. Shaw
9 janvier 1990 STS-32 Récupération d'un module LDEF (Long Duration Exposure Facility) 10 jours, 21 heures Daniel C. Brandenstein
2 décembre 1990 STS-35 Observations grace à des téléscopes ultra-violet et rayons X 8 jours, 23 heures Vance Brand
5 juin 1991 STS-40 Cinquième mission "Spacelab" expérimentations biologiques sur l'équipage, des rongeurs et des poissons 9 jours, 2 heures Bryan D. O'Connor
25 juin 1992 STS-50 Expériences en microgravité 13 jours, 19 heures Richard N. Richards
22 octobre 1992 STS-52 Déploiement du Laser Geodynamic Satellite II 9 jours, 20 heures James D. Wetherbee
26 avril 1993 STS-55 Experiences internationales en microgravité dont le module allemand Spacelab D-2 9 jours, 23 heures Steven R. Nagel
18 octobre 1993 STS-58 Mission Spacelab, études physiologiques sur l'équipages et des rats 14 jours John E. Blaha
4 mars 1994 STS-62 United States Microgravity Payload-2 (USMP-2) 13 jours, 23 heures John H. Casper
8 juillet 1994 STS-65 International Microgravity Laboratory (IML-2). Physique et biologie en microgravité 14 jours, 17 heurs Robert D. Cabana
20 octobre 1995 STS-73 United States Microgravity Laboratory (USML-2) 15 jours, 21 heures Kenneth D. Bowersox
22 février 1996 STS-75 Tethered Satellite System Reflight (TSS-1R). Etude de la ionosphère et des champs magnétiques. 15 jours, 17 heures Andrew M. Allen
20 juin 1996 STS-78 Life and Microgravity Spacelab (LMS) 16 jours, 21 heures Terence T. Henricks
19 novembre 1996 STS-80 Deux sorties hors de la navette. Déploiement puis récupération de deux satellites 17 jours, 15 heures Kenneth D. Cockrell
4 avril 1997 STS-83 Mission avortée au bout de 3 jours au lieu des 15 prévus, suite à un problème technique 3 jours, 23 heures James D. Halsell
1er juillet 1997 STS-94 Reprise de la mission STS-83 15 jours, 16 heures James D. Halsell
19 novembre 1997 STS-87 United States Microgravity Payload (USMP-4) 15 jours, 16 heures Kevin R. Kregel
13 avril 1998 STS-90 Neurolab - Spacelab. Effets de la microgravité sur le système nerveux 15 jours, 21 heures Richard A. Searfoss
23 juillet 1999 STS-93 Déploiement de Chandra X-ray Observatory 4 jours, 22 heures Eileen M. Collins
1er mars 2002 STS-109 Entretien du télescope spatial Hubble lors de 5 sorties d'environ 7 heures chacunes 10 jours, 22 heures Scott D. Altman 6 janvier 2003 STS-107 Endommagée au décollage, la navette se désintègre lors de la rentrée dans l'atmosphère, le 1er février 15 jours, 22 heures Rick D. Husband | |
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| Sujet: Le moteur du second étage de Vega Lun 26 Juin - 8:51 | |
| Communiqué de presse N° 21-2006 Paris, le 26 juin 2006
Le moteur du second étage de Vega subit son baptême du feu
Le petit lanceur Vega, de l’Agence spatiale européenne, a franchi une nouvelle étape vers son vol inaugural, qui devrait avoir lieu l’an prochain, avec la réussite du premier essai de mise à feu du moteur de son second étage, le Zefiro 23.
L’essai au banc, qui a eu lieu le 26 juin 2006, a été réalisé au centre d’essais du ministère italien de la Défense, à Salto di Quirra, en Sardaigne. Le moteur, d’une hauteur de 7,5 m et d’un diamètre de 2 m, possède un corps en filament bobiné en époxyde de carbone et délivre une poussée de plus de 100 tonnes (1 070 kN) en brûlant quelque 24 tonnes de propergol solide en 75 secondes.
Les nombreuses données collectées lors de cet essai sont en cours d'analyse afin d'améliorer les connaissances techniques du comportement du moteur et d'affiner les performances futures du lanceur. Cet essai a également permis de tester différents sous-systèmes, dont un système de contrôle du vecteur de poussée qui sert à manœuvrer la tuyère du moteur pour assurer le pilotage en vol. Après cet essai fructueux, le moteur passera la revue critique de conception afin que soient finalisées ses caractéristiques techniques.
Construit par Avio, à Colleferro, près de Rome, le moteur Zefiro 23 constituera la base du second étage du lanceur Vega de l’ESA. Le premier essai à feu du moteur du troisième étage, le Zefiro 9, a été réalisé en décembre 2005. Conduits dans le cadre du programme de développement de Vega de l’ESA, ces deux tests ont suivi trois essais au banc du démonstrateur Zefiro 16 en 1998, 1999 et 2000. Le Zefiro 23 et le Zefiro 9 subiront tous deux un essai de mise à feu au sol supplémentaire en vue d'achever leur développement et leur qualification.
« Le Zefiro 23 est l’un des plus grand moteurs à propergols solides avec corps en composite jamais testés en Europe occidentale », a déclaré Antonio Fabrizi, le Directeur des Lanceurs de l’ESA, « mais il sera bientôt détrôné, lorsque nous mettrons à feu, en novembre à Kourou, en Guyane, le moteur du premier étage de Vega, le P80, avec ses 88 tonnes d'ergols. »
« La mise à feu de ce nouveau moteur », ajoute M. Fabrizi, « montre que le programme Vega a franchi une nouvelle étape en temps et en heure ; à cet égard, j’adresse toutes mes félicitations à notre équipe industrielle et à notre partenaire, l’Agence spatiale italienne. A présent, continuons notre route et assurons-nous de respecter le calendrier lors des prochaines phases ».
Le premier vol de Vega, qui doit avoir lieu au port spatial guyanais, est pour le moment prévu fin 2007.
Développé depuis 1998 avec le soutien de 7 Etats membres de l’ESA (Italie, France, Belgique, Suisse, Espagne, Pays-Bas et Suède), le petit lanceur Vega de l’Agence spatiale européenne est un véhicule à trois étages, utilisant tous des propergols solides, avec un module d’injection à propergols liquides. ELV SpA, entreprise commune créée par Avio et l’Agence spatiale italienne (ASI), a été chargée du développement de Vega. L'Agence spatiale française (CNES) s'est vu confier une responsabilité similaire concernant le premier étage P80.
Vega est destiné à mettre en orbite jusqu’à 1 500 km d’altitude une ou plusieurs charges utiles. Sa capacité d’emport de référence est d’environ 1 500 kg sur une orbite circulaire héliosynchrone à 700 km d’altitude, mais Vega peut également mettre en orbite des satellites pesant de 300 kg à plus de 2 tonnes, ainsi que des microsatellites en tant que charges utiles auxiliaires. Cette palette de performances couvre les besoins de multiples applications dans le domaine de la télédétection, de la surveillance de l’environnement, des sciences de la Terre, des sciences spatiales, des sciences fondamentales, ainsi que de la recherche et de la technologie destinées aux applications et systèmes spatiaux du futur. Une fois qualifié, Vega sera commercialisé et exploité par Arianespace et complètera Ariane 5 et Soyouz en s’adressant au marché des lancements de petits satellites. | |
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| Sujet: Hubble est aveugle Lun 26 Juin - 7:54 | |
| dimanche 25 juin 2006, 16:48
La caméra principale de Hubble, le télescope spatial américain qui a révolutionné l'astronomie en transmettant des images saisissantes de galaxies lointaines dans l'univers, a cessé de fonctionner.La caméra de troisième génération dite "Advanced Camera for Surveys" ou ACS installée en 2002 lors d'une mission de la navette spatiale, a cessé de fonctionner lundi dernier et les ingénieurs tentent depuis de trouver l'origine de cette panne, a précisé l'institut, principal utilisateur du téléscope qui est géré par la Nasa. Les messages transmis par la caméra lundi indiquent que le voltage du générateur électrique avait dépassé ses limites maximum, provoquant l'arrêt du fonctionnement de la caméra. "Pour le moment, la caméra est stabilisée et des analyses informatiques sont en cours", indique le STSI, expliquant que le système peut être réparé du sol en travaillant sur le logiciel informatique gérant le système optique. Le système optique de la caméra ACS, composé de trois caméras capables de détecter toute la gamme des rayons ultraviolets de la lumière jusqu'à la limite avec les infrarouges, est le produit d'une coopération de l'Université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, est), du centre de la Nasa, Goddard Space Flight, de la Firme Ball Aerospace & Technologies Corp et du Space Telescope Science Institute. Le télescope spatial Hubble, lancé par la navette spatiale le 24 avril 1990, est situé en dehors de l'atmosphère terrestre à 600 km d'altitude. Arrivé en fin de vie, il a besoin de nouveaux gyroscopes pour maintenir sa stabilité en orbite ainsi que de nouveaux générateurs électriques. La Nasa envisage une ultime mission de la navette vers la fin 2007 pour effectuer ces opérations d'entretien et prolonger l'existence de Hubble de cinq ans. Il était prévu pour un cycle de fonctionnement de 15 ans. (D'après AFP) Source : http://www.lesoir.be/actualite/sciences_sante/2006/06/25/article_hubble_est_aveugle.shtml | |
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| Sujet: Vols habités: l'Europe vise la Lune Ven 23 Juin - 3:59 | |
| Vols habités: l'Europe vise la Lune L'Agence spatiale européenne a bel et bien mis à l'ordre du jour de son Conseil du 22 juin une proposition ambitieuse de participation dans un projet de système de transport lunaire avec la Russie. Aucun détail sur le concept de cet engin spatial n'a été rendu public de sorte que l'on peut seulement tirer des conclusions des vues d'artiste qui illustrent cet article, mais également de quelques documents officiels. L'étude du système de transport conjoint ESA/FSA concerne un vaisseau lunaire composé d'une capsule, de modules de service et d'habitation. La capsule de retour lunaire serait basée sur les capsules russes Soyouz. Les modules de service et d'habitation pourraient être développés à partir du laboratoire scientifique européen Columbus de la Station Spatiale Internationale (ISS), développé par l'Europe, et des véhicules automatiques de ravitaillement et de transfert vers l'ISS, comme l'ATV par exemple. Premier vol en 2014 ? Les premières spécifications font état d'un vaisseau spatial capable de transporter 4 passagers et leur équipement de mission. Bien qu'aucune date ne puisse être fixée pour un premier lancement, ce vaisseau spatial pourrait voler dès 2014 si toutefois les Agences spatiales Russe et Européenne obtiennent les premiers financements pour démarrer les premières études exploratoires (préparatoires) de deux ans. L'Agence spatiale européenne va donc réclamer 30 millions d'euros à ses Etats membres ce 22 juin de façon à débuter ces études dès cette année. Ce n'est seulement qu'à l'issue de ces études qu'une décision sera prise, lors du Conseil de l'ESA au niveau ministériel de 2008, de pousser plus en avant ce projet en lançant la phase de développement. Abandon de la participation dans Kliper Notez que cette décision condamne de fait la participation de l'Europe au projet d'avion spatial Kliper. Ses états membres n'étaient guère intéressés par ce projet d'avion spatial et seuls 6 millions d'euros ont été débloqués sur les 30 réclamés pour participer à Kliper. De toutes façons, on voit mal comment l'ESA pourrait financer ces deux projets, bien que menés en collaboration avec la Russie. Mais peut-être l'Europe choisit-elle là la voie de l'indépendance, celle de la sécurité. Une collaboration avec Klipper se serait traduite en un simple partenariat avec l'agence spatiale russe, or il ne faut pas perdre de vue que celle-ci s'avère financièrement incapable de produire de nouveaux Soyouz sans aide matérielle extérieure, requérant sans cesse l'aide des américains (transport d'équipages vers l'ISS). En élaborant son propre projet, l'Europe devient maître d'oeuvre, ce qui lui accorde plus d'autonomie, mais surtout lui procure le grand objectif novateur et fédérateur dont elle a besoin pour ne pas perdre pied dans ce qui se dessine comme un des grands objectifs de l'Humanité du XXIe siècle. Vols habités: l'Europe ne part pas de zéro En matière de vol habité, l'Europe a acquis ces dernières années une certaine expérience. Bien que son projet d'avion spatial Hermes ait été abandonné en 1992, l'Europe ne part pas de zéro. Loin s'en faut. Depuis 1992, des études exploratoires ont continué d'être menées et certaines d'entre elles ont donné naissance à des projets concrets, comme par exemple le démonstrateur de rentrée atmosphérique ARD lancé en octobre 1998, ou la participation de l'Europe au programme de développement du X-38, un démonstrateur qui devait préfigurer le véhicule de secours des équipages (CRV) de l'ISS. Bien qu'abandonné en 2001 par la NASA, l'ESA était impliquée notamment dans la conception du nez du X-38. Mais surtout, la formidable descente de Huygens (voir notre dossier) dans l'atmosphère de Titan et son atterrissage sur sa surface ont démontré les capacités de l'Europe à concevoir un bouclier thermique capable de s'affranchir des conditions propres à l'atmosphère de Titan. Enfin, l'Europe est également à l'initiative de démonstrateurs comme Pre-X qui vise à la maîtrise de la rentrée atmosphérique planée (2004), ou encore Phoenix qui en 2004 a exploré les phases critiques du lancement et de l'atterrissage. Source: flashespace.com Illustration: NASA | |
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| Sujet: Paolo Nespoli participera au vol STS-120 Mar 20 Juin - 15:51 | |
| N° 19-2006 – Paris, le 19 juin 2006 L’astronaute de l’ESA Paolo Nespoli participera au vol STS-120 de la Navette L’astronaute de l’ESA Paolo Nespoli (de nationalité italienne) a été désigné aujourd’hui comme membre d’équipage du vol de Navette spatiale qui, au cours de l’été 2007, transportera l’Élément de jonction 2 (module de connexion américain construit par l’Italie) à destination de la Station spatiale internationale. Pour son premier vol dans l’espace, Paolo Nespoli remplira la fonction de spécialiste mission. Cinq astronautes de la NASA prendront également part à ce vol : le colonel Pamela A. Melroy (pilote vétéran de la Navette et deuxième femme nommée commandant) de l’Armée de l’air américaine, qui commandera la mission STS-120 ; le colonel George D. Zamka du Corps des Marines qui, pour son premier vol dans l’espace, exercera la fonction de pilote ; ainsi que les spécialistes mission Scott E. Parazynski ; le colonel Douglas H. Wheelock des Forces terrestres américaines et le capitaine Michael J. Foreman de la Marine américaine dont ce sera également le premier vol dans l’espace. La mission de Paolo Nespoli sera exécutée dans le cadre du Mémorandum d’accord conclu entre l’Agence spatiale italienne (ASI) et la NASA concernant la fourniture à la NASA de trois modules logistiques polyvalents (MPLM) pressurisés et l’attribution à l’Italie d’occasions de vol et de temps d’utilisation de l’ISS. L’Élément de jonction 2 de la Station spatiale est un module pressurisé qui, comme les Éléments de jonction 1 et 3, reliera entre eux les modules de recherche, d’habitation et d’amarrage de la Station. Ces éléments serviront à la régulation et à la distribution des ressources entre les différents modules connectés. Cette mission précédera le lancement du laboratoire Columbus de l’ESA à destination de l’ISS. Note aux rédactions Paolo Nespoli est né le 6 avril 1957 à Milan (Italie). Il a obtenu une licence d’ingénierie aérospatiale en 1988 et une maîtrise d’aéronautique et d’astronautique en 1989 à l’Université polytechnique de New York. En 1990, l’Università degli Studi de Florence lui a attribué une maîtrise d’ingénierie mécanique. Nespoli est ingénieur qualifié et pilote privé avec qualification de vol aux instruments. Il est également titulaire d’un brevet supérieur de plongée autonome et d’une qualification de plongeur Nitrox. Au cours de ses années de service dans l’armée italienne, entre 1977 et 1984, il a acquis son brevet de parachutisme, avant de devenir instructeur parachutiste, moniteur de saut, parachutiste en chute libre et instructeur des forces spéciales. En 1985, Paolo Nespoli reprend ses études universitaires et il quitte l’armée en 1987. Après avoir obtenu sa maîtrise en 1989, il retourne en Italie pour travailler en tant qu’ingénieur d’études à Florence, où il conduit des analyses mécaniques et participe à la qualification des unités de vol du canon à électron, l’un des principaux éléments du système de satellite captif de l’Agence spatiale italienne. En 1991, il rejoint le Centre des astronautes européens de l’ESA à Cologne (Allemagne). En tant qu’ingénieur chargé de l’entraînement des astronautes, il contribue à la préparation et à la mise en œuvre du programme de formation de base des astronautes européens et est responsable du maintien des compétences des astronautes. Il est également chargé de la base de données relative à l’entraînement des astronautes, qui est le système logiciel utilisé pour préparer et gérer cet entraînement. En 1995, dans le cadre du projet EuroMir, il est détaché à l’ESTEC/ESA à Noordwijk (Pays-Bas), où il est responsable de l’équipe qui prépare, intègre et assure le suivi de l’ordinateur de soutien de la charge utile et de l’équipage utilisé à bord de la station spatiale russe Mir. En 1996, il est détaché au Johnson Space Center de la NASA à Houston (Texas), auprès de la Division d’entraînement aux vols spatiaux, et travaille à la préparation de l’entraînement de l’équipe au sol et de l’équipage de vol de la Station spatiale internationale. En juillet 1998, il est sélectionné comme astronaute par l’Agence spatiale italienne et, un mois plus tard, il rejoint le Corps des astronautes européens de l’ESA à Cologne. En août 1998, il est réaffecté au Johnson Space Center de la NASA et rejoint la XVIIe promotion des astronautes de la NASA. En 2000, il obtient les qualifications de base nécessaires pour accomplir une mission à bord de la Navette spatiale et de la Station spatiale. En juillet 2001, il suit le cours de formation au fonctionnement du bras télémanipulateur de la Navette. En septembre 2003, il suit l’entraînement pour les activités extra-véhiculaires. Éléments de jonction La Station spatiale internationale comportera trois Éléments de jonction fournis par la NASA. L’Élément 1, dénommé Unity, a été développé par la NASA. Après son lancement en décembre 1998, il est devenu le deuxième module de l’ISS en orbite. Les Éléments de jonction 2 et 3 sont en cours de développement, pour le compte de la NASA, dans le cadre d’un contrat que l’ESA a passé avec l’industrie européenne, avec Alcatel Alenia Space comme maître d’œuvre. L’ESA a confié la responsabilité du développement de l’Élément 2 à l’Agence spatiale italienne (ASI), afin que celle-ci utilise le même concept structurel que celui de Columbus et du module logistique polyvalent (MPLM), un conteneur de fret pressurisé acheminé dans la soute de la Navette. L’Élément de jonction 2 sera le premier élément européen à être lancé. Il permettra de connecter entre eux le laboratoire européen Columbus, le laboratoire américain Destiny et le laboratoire japonais Kibo. Il servira également de point d’ancrage pour le véhicule de transfert japonais HII. Il comportera un adaptateur d’amarrage destiné à la Navette spatiale américaine et servira de point d’ancrage pour les MPLM. L’Élément de jonction 2 est également conçu pour servir de point d’ancrage au bras télémanipulateur canadien, dénommé Canadarm 2, installé à l’extérieur de l’ISS. Quant à l’Élément de jonction 3, il accueillera ultérieurement les équipements de soutien-vie nécessaires pour assurer la présence permanente de six membres d’équipage et pourra également recevoir la coupole d’observation de l’ESA, structure en forme de dôme dotée de sept hublots à partir de laquelle Canadarm 2 sera commandé et d’où l’équipage aura une vue panoramique de l’espace. Cet Élément 3, qui sera raccordé au point nadir de l’Élément 1, sera fourni par l’ESA à la NASA début 2007. Pour davantage d’informations sur la contribution de l’ESA à la Station spatiale internationale, sur les astronautes de l’ESA, sur le futur programme d’exploration, etc. veuillez consulter le site : http://www.esa.int/esaHS/index.html Pour davantage d’informations sur l’ESA et ses missions, veuillez consulter le site : http://www.esa.int Pour davantage d’informations sur l’ASI : http://www.asi.it Pour la biographie complète des astronautes de la NASA, veuillez consulter le site : http://www.jsc.nasa.gov/Bios Pour davantage d’informations sur la NASA et ses missions, veuillez consulter le site : http://www.nasa.gov
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| Sujet: première mission de longue durée d’un astronaute Sam 17 Juin - 17:33 | |
| N° 18-2006 – Paris, le 17 juin 2006
Démarrage le 1er juillet de la première mission de longue durée d’un astronaute de l’ESA à bord de l’ISS
La décision, prise aujourd’hui par la NASA, de lancer la navette spatiale Discovery le 1er juillet prochain constitue une nouvelle importante pour l’astronaute de l’ESA Thomas Reiter, de nationalité allemande, qui doit prendre place à bord de cette navette en prévision d’un séjour de six à sept mois en orbite parmi les membres de l’équipage permanent de la Station spatiale internationale.
Discovery doit décoller du Centre spatial Kennedy (Cap Canaveral, Floride) le 1er juillet à 21h48 heure de Paris (19h48 GMT) et s’amarrer à l’ISS trois jours plus tard.
Dès son arrivée en orbite, l’astronaute européen prendra place aux côtés des deux membres actuels de l’équipage permanent de la station : le commandant russe Pavel Vinogradov et l’ingénieur de bord de la NASA Jeffrey Williams. Astronaute de l’ESA depuis 1992, Thomas Reiter a déjà acquis une expérience des vols spatiaux de longue durée à l’occasion d’une mission de 179 jours à bord de la station russe Mir en 1995-1996 (mission EuroMir 95 de l’ESA).
Cette nouvelle mission, baptisée Astrolab, constitue pour l’ESA le premier séjour de longue durée d’un astronaute européen à bord de l’ISS, de même qu’elle marque le retour à un équipage de trois personnes pour la conduite opérationnelle de la station. Ainsi renforcé, l’équipage pourra consacrer davantage de temps aux expériences scientifiques. Dans le contexte du retour en vol de la navette, cette mission donne également le feu vert à la reprise de la séquence d’assemblage de l’ISS, avec les prochains lancements des éléments de jonction européens 2 et 3 et du laboratoire Columbus de l’ESA. Discovery acheminera également certains équipements importants de l’ESA à intégrer à la station, par exemple le premier congélateur de laboratoire à -80°C (MELFI), conçu pour la conservation de longue durée d’échantillons biologiques et de résultats d’expérience.
Il s’agit par ailleurs de la première occasion pour un centre de contrôle européen d’intervenir dans une mission ISS de longue durée, ouvrant la voie au renforcement de la présence de l’ESA à bord de la station avec l’arrivée du laboratoire Columbus. Le Centre de contrôle Columbus, installé à Oberpfaffenhofen (Allemagne), servira de plateforme aux activités européennes lors de la mission Astrolab.
Cet événement important sera diffusé en direct au Siège de l’ESA et dans ses différents Etablissements. Des experts de l’ESA seront disponibles pour des interviews.
Le service de télévision de l’ESA assurera une couverture complète de la mission et de ses derniers préparatifs sur la base du calendrier ci-après : 19 juin B-roll de la mission STS-121 (incluant les images les plus intéressantes de la NASA) 20 juin Présentation du laboratoire Columbus 27 juin Dépêche vidéo sur la mission Astrolab 27 juin (en direct) Arrivée de la navette STS-121 en Floride, en vue de son lancement 29 juin (en direct) Conférence de presse au Centre spatial Kennedy 1er juillet (en direct) Couverture du jour du lancement, de 12h00 GMT à 14h00 GMT (couverture discontinue) 2 juillet (en direct) Point sur le déroulement de la mission, premier examen rapide des images de l’ascension de la navette 3 juillet (en direct) Amarrage de la navette à l’ISS, entrée de l’équipage de la navette dans la station 6 juillet (en direct) Conférence de presse avec les équipages 13 juillet (en direct) Atterrissage au Centre spatial Kennedy
Par ailleurs, les principaux événements de la journée en orbite (enregistrés par le service TV de la NASA) feront l’objet d’une rediffusion quotidienne le lendemain à 4h00 GMT. Le détail de ces dernières liaisons satellite et les horaires exacts des émissions figurant dans la liste ci-dessus seront précisés sur le site http://television.esa.int 3 à 5 jours à l’avance (prière de noter qu’il ne sera pas possible d’obtenir des copies sur bande des émissions en direct).
Le lancement et la mission peuvent être suivis sur internet : www.esa.int/astrolab.
Les représentants des médias qui souhaitent suivre cet événement dans l’un des Etablissements de l’Agence figurant dans la liste ci-dessous sont invités à remplir le formulaire d’accréditation ci-joint et à le retourner par télécopie au site de leur choix.
Pour tout complément d’information, veuillez contacter : ESA – Division Relations avec les médias Tél : +33(0)1.53.69.7155 Fax : +33(0)1.53.69.7690 Lancement de la mission ASTROLAB – STS 121
Prénom : _________________________ Nom : ________________________________ Média : ________________________________________________________________ Adresse : _______________________________________________________________ Tél : _______________________________ Fax : _______________________________ Mobile : ____________________________ E-mail : _____________________________
J’assisterai au lancement de la mission STS-121 dans l’établissement suivant : ( ) Allemagne Lieu : ESA/ESOC Adresse : Robert Bosch Strasse 5, Darmstadt, Allemagne Heures d’ouverture : 20h30 – 22h30 Contact : Bernard von Weyhe, Tel : +49.6151.902.861 – Fax: +49.6151.902.961 Informations enregistrées : +49.6151.902.609
Lieu : DLR Columbus Control Center Adresse : Oberpfaffenhofen, 82234-Wessling, Allemagne Heures d’ouverture : 20h00 – 22h30 Contact : Michaela Kircher Tel : +49.81.5328.2297 – Fax: 49.81.5328.1243 Informations enregistrées : +49.81.53.28.18.01
( ) France Lieu : Siège de l’ESA Adresse : 8/10, rue Mario Nikis – Paris 15, France Heures d’ouverture : 20h30 – 22h30 Contact: Anne-Marie Remondin – Tel: +33(0)1.53.69.7155 – fax: +33(0)1.53.69.7690
( ) Pays-Bas Lieu : Centre des visiteurs, Space Expo Adresse : Keplerlaan 3, Noordwijk, Pays-Bas Heures d’ouverture : 20h30 Contact : Michel van Baal, tel. + 31 71 565 3006, fax + 31 71 565 5728 Informations enregistrées : +31 71 565 8016
( ) Italie Lieu : ESA/ESRIN Adresse : Via Galileo Galilei, Frascati (Rome), Italie Heures d’ouverture : de 21h30 jusqu’à la fin de l’émission (23h00 en principe) Contact : Franca Morgia – Tel : +39.06.9418.0951 – Fax: +39.06.9418.0952 | |
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| Sujet: la mission d’astrométrie Gaia Mar 16 Mai - 12:16 | |
| L’ESA choisit le maître d’oeuvre de la mission d’astrométrie Gaia 16 mai 2006 Au cours d’une cérémonie qui s’est tenue à Toulouse, le 11 mai 2006, l’ESA a officiellement attribué à EADS Astrium le contrat pour le développement et la fabrication du satellite Gaia. L’objectif de cette mission spatiale, dont le lancement est actuellement prévu pour 2011, est de dresser la carte la plus importante et la plus précise de notre Galaxie jamais réalisée. Le contrat, d’une valeur de 317 millions d’euros, a été signé conjointement par le Pr. David Southwood, Directeur des Programmes Scientifiques de l’ESA, et Antoine Bouvier, directeur général d’EADS Astrium. Le développement de Gaia sera mené par le site de Toulouse d’Astrium. David Southwood, Directeur des Programmes Scientifiques de l’ESA (à droite), et Antoine Bouvier, directeur général d’EADS Astrium « Gaia représente notre prochain grand défi : la compréhension de notre Galaxie natale, la Voie Lactée », a déclaré David Southwood. « C’est un grand privilège de rencontrer l’équipe d’EADS Astrium et de leur transmettre nos voeux de réussite dans cette coopération sur ce grand projet ». Gaia sera le satellite d’astronomie optique le plus précis jamais construit. Il balayera le ciel en continu pendant au moins cinq ans depuis un point d’équilibre particulier de l’espace, le second point de Lagrange (L2), situé à environ 1,6 million de kilomètres de la Terre, dans la direction opposée au Soleil. Cette position assure un environnement thermique très stable, une très grande capacité d’observation (car ni le Soleil, ni la Terre, ni la Lune ne pénètrent jamais dans le champ de l’instrument) et un faible niveau de radiations. L’objectif de la mission Gaia est de réaliser le plus grand recensement possible des corps de notre Galaxie et d’en créer une carte en 3D d’une très grande précision. Le satellite déterminera la position, la couleur et le mouvement propre d’un milliard d’étoiles. Gaia identifiera également jusqu’à 10 000 planètes autour d’autres étoiles, et découvrira quelques dizaines de milliers de nouveaux corps – des comètes et des astéroïdes – dans notre propre Système Solaire. La précision des mesures effectuées par Gaia sera extrêmement élevée : depuis la Lune, il lui serait possible de mesurer le diamètre d’une pièce de monnaie sur Terre ! Le satellite utilisera le concept d’astronomie globale démontré avec succès par son prédécesseur – la mission Hipparcos de l’ESA – qui a réussi à dresser la carte de plus de 100 000 étoiles à la fin des années 1980. Le satellite Gaia sera équipé d’une charge utile de dernière génération, intégrant le télescope le plus sensible jamais mis en œuvre. Sa conception est basée sur la technologie du carbure de silicium (SiC), également utilisée sur Herschel, la prochaine mission de l’ESA dans le domaine de l’infrarouge. Le plan focal est d’une dimension impressionnante – près d’un demi mètre carré – et compte un milliard de pixels. Gaia comportera également deux éléments d’une importance clef. Le premier est un pare-soleil déployable, d’une surface de près de 100 m2, pour minimiser les fluctuations de température susceptibles d’affecter les équipements optiques extrêmement sensibles. Le second est un nouveau système de micropropulsion qui sera utilisé pour assurer un contrôle en douceur du satellite afin de ne pas perturber les mesures optiques pendant le balayage du ciel. | |
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| Sujet: La révolution astrophysique de Hubble Lun 15 Mai - 5:11 | |
| 15 mai 2006 L'AAAF organise le 16 mai à Paris une conférence sur les progrès considérables accomplis en astrophysique grâce au télescope spatial Hubble. Peu après le lancement du télescope Hubble, en mai 1990, un défaut de fabrication était constaté sur son miroir principal. Celui-ci était corrigé en décembre 1993 grâce à l'intervention des astronautes. Depuis, deux autres missions de maintenance ont été effectuées et, au cours de ces douze dernières années, Hubble est devenu une véritable machine à remonter le temps, jusqu'au moment où naissaient les premières galaxies. Avec une précision inégalée, il mesure l'expansion de l'Univers, nous dévoile l'origine et le destin des étoiles, et explore le système solaire presque aussi bien que les sondes interplanétaires elles-mêmes. Ces résultats fantastiques seront détaillés et commentés par le Pr. Roger-Maurice Bonnet, astrophysicien, qui fut Directeur du Programme Scientifique de l'ESA de 1983 à 2001, au cours d'une conférence organisée par l'Association Aéronautique et Astronautique de France (AAAF). Il reviendra également sur l'avenir du télescope Hubble et sur la mission de son successeur, le James Webb Space Telescope (JWST). Les progrès considérables accomplis en astrophysique grâce au télescope spatial Hubble Conférence du Pr. Roger-Maurice Bonnet Mairie du 5e Arrondissement 21, place du Panthéon, Paris 5e. Entrée gratuite Contact : Aude Montagut, AAAF Tél. : 01 56 64 12 30 Fax : 01 56 64 12 31 | |
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| Sujet: Re: ESA - les news de l'Espace (2006) | |
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| | | | ESA - les news de l'Espace (2006) | |
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